Moi encore...
Cet Edmond Chapuis ressemble malheureusement au combinard que ma mere decrit. Pensez-vous que cela pourrait etre lui; ce qui expliquerai les mensonges a sa familles?
Il se maria en 1929 dans l'aisne - cet Edmond aurait en prison a ce moment, non?
Lors de sa mort, sa fille (ma mere) herita d'un revolver et d'un sabre qu'elle disait appartenir a son officier de pere. Ceci dit, ma mere n'y connait rien an affaire militaires. J'ai vendu ce revolver et ce sabre just avant de partir pour l'australie.
Wow, le mystere s'epaissit...
Merci encore pour ces renseignements.
Bonne nuit a tous.
Didier.
Une infirmiere en 1916
Re: Une infirmiere en 1916
Didier
- IM Louis Jean
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Re: Une infirmiere en 1916
Bonjour à toutes et à tous,

source La Recherche des disparus : organe de l'Association française pour la recherche des disparus sur Gallica
Une recherche de disparu qui finira bien ! En tout cas pour Lucienne
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
Lucienne Geiger, 18 ans en 1915, née à Moussey = il doit s'agir de votre grand-mère :Son père était fileur a Steige en Alsace, avant de partir vivre a Moussey (Lorraine)
source La Recherche des disparus : organe de l'Association française pour la recherche des disparus sur Gallica
Une recherche de disparu qui finira bien ! En tout cas pour Lucienne
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
<< On peut critiquer les parlements comme les rois, parce que tout ce qui est humain est plein de fautes.
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
- IM Louis Jean
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Re: Une infirmiere en 1916
Re bonjour à toutes et à tous,
Son portrait, datant possiblement du procès :

Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
Il est arrêté le 8 mai 1928, il était donc vraisemblablement en détention provisoire, et donc en prison en 1929.Il se maria en 1929 dans l'Aisne - cet Edmond aurait été en prison a ce moment, non?
Son portrait, datant possiblement du procès :
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
<< On peut critiquer les parlements comme les rois, parce que tout ce qui est humain est plein de fautes.
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Re: Une infirmiere en 1916
Bonjour,
Je suis un peu dubitatif pour le capitaine Chapuis, mais bon, on arrivera bien à tirer tout cela au clair, avec la fiche matricule...
Cordialement
Yves
Oui, pour le coup, je ne m'étais pas trompé.Lucienne Geiger, 18 ans en 1915, née à Moussey = il doit s'agir de votre grand-mère :
Je suis un peu dubitatif pour le capitaine Chapuis, mais bon, on arrivera bien à tirer tout cela au clair, avec la fiche matricule...
Cordialement
Yves
- IM Louis Jean
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Re: Une infirmiere en 1916
Oups! Hypnotisé par les extraits, je n'avais pas cliqué sur le lienOui, pour le coup, je ne m'étais pas trompé.

Pour Edmond, je suis aussi dubitatif.
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
<< On peut critiquer les parlements comme les rois, parce que tout ce qui est humain est plein de fautes.
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Re: Une infirmiere en 1916
Bonsoir a tous,
Merci pour toutes ces recherches. Vous etes des magiciens de la recherche internet. J'ai passe des heures a chercher ces noms mais n'ai rien trouve... Peut-etre mon moteur de recherche?
Mais bon, je suis quand meme soulage hehe. Cet Edmond ne ressemble pas a mon grand-pere. Cependant, je suis revenu a la case "depart" et n'ai plus d'autre choix que d'ecrire aus archives departementales - ou aller voir ma mere en France et visiter la nievre.
Quant a ma grand-mere, c'est bien elle. Elle a raconte a sa fille l'histoire lorsque son pere opta pour la nationalite Francaise et fut expulse par les allemands avec seulement quelques uns de ses 5 enfants. Eugene et Lucienne durent restes a Moussey (je ne sais pas pourquoi), mais furent rapatries vers Pau en passant par Geneve en 1915 - avec une tante. J'ai trouve le document de rapatriement et la demande de nationalite francaise pour Lucienne et Eugene, demandee par leur pere. La vie que ces gens ont eu, c'est assez fascinant.
Merci infiniment.
Bien cordialement.
Didier.
Merci pour toutes ces recherches. Vous etes des magiciens de la recherche internet. J'ai passe des heures a chercher ces noms mais n'ai rien trouve... Peut-etre mon moteur de recherche?
Mais bon, je suis quand meme soulage hehe. Cet Edmond ne ressemble pas a mon grand-pere. Cependant, je suis revenu a la case "depart" et n'ai plus d'autre choix que d'ecrire aus archives departementales - ou aller voir ma mere en France et visiter la nievre.
Quant a ma grand-mere, c'est bien elle. Elle a raconte a sa fille l'histoire lorsque son pere opta pour la nationalite Francaise et fut expulse par les allemands avec seulement quelques uns de ses 5 enfants. Eugene et Lucienne durent restes a Moussey (je ne sais pas pourquoi), mais furent rapatries vers Pau en passant par Geneve en 1915 - avec une tante. J'ai trouve le document de rapatriement et la demande de nationalite francaise pour Lucienne et Eugene, demandee par leur pere. La vie que ces gens ont eu, c'est assez fascinant.
Merci infiniment.
Bien cordialement.
Didier.
Re: Une infirmiere en 1916
Bonjour a tous et toutes,
Le nouveau post pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-servic ... 2028_1.htm a souleve quelques questions que je me pose maintenant.
Si l'on se fit a l'information sur la carte du service de sante que j'ai poste plus haut, peut-on deduire que ma grand-mere etait une infirmiere benevole ou militaire?
Dans les 2 cas, quel sorte de formation pensez-vous qu'elle aurait pu recevoir? (Elle avait seulement 20 ans en 1916)...
Merci d'avance.
Bien cordialement.
Didier.
Le nouveau post pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-servic ... 2028_1.htm a souleve quelques questions que je me pose maintenant.
Si l'on se fit a l'information sur la carte du service de sante que j'ai poste plus haut, peut-on deduire que ma grand-mere etait une infirmiere benevole ou militaire?
Dans les 2 cas, quel sorte de formation pensez-vous qu'elle aurait pu recevoir? (Elle avait seulement 20 ans en 1916)...
Merci d'avance.
Bien cordialement.
Didier.
Didier
Re: Une infirmiere en 1916
D'après la photo en début de conversation et selon la notice n° 27 du Règlement sur le service de santé de l’armée à l’intérieur, 4e édition, mis à jour jusqu’au 1er mai 1911, Éd. Henri Charles-Lavauzelles, Paris, 1911, P. 459, il y a discordance :
Art. 12 "A l'intérieur de l'hôpital, les infirmières sont astreintes à porter la tenue suivant :
Pour toutes les infirmières : robe en mérinos noir et le bonnet blanc en mousseline du modèle fixé par l’administration militaire, chaussures noires.
Sur le côté gauche du bonnet, les infirmières stagiaires portent une cocarde tricolore de 3 centimètres de diamètre. Cette cocarde mesure 5 centimètres de diamètre pour les infirmières titulaires et principales. Ces dernières portent en outre, sur le devant du bonnet, une étoile à cinq branches de 2 centimètres de hauteur.
Dans le service des salles, les infirmières revêtent le sarrau et prennent un tablier blanc à bavette. Ces effets-leur sont fournis gratuitement par l’hôpital. Elles portent également des pantoufles, en cuir noir, dont l’achat leur incombe."
A priori donc elle n'était pas infirmière laïque des hôpitaux militaires.
Cordialement
Art. 12 "A l'intérieur de l'hôpital, les infirmières sont astreintes à porter la tenue suivant :
Pour toutes les infirmières : robe en mérinos noir et le bonnet blanc en mousseline du modèle fixé par l’administration militaire, chaussures noires.
Sur le côté gauche du bonnet, les infirmières stagiaires portent une cocarde tricolore de 3 centimètres de diamètre. Cette cocarde mesure 5 centimètres de diamètre pour les infirmières titulaires et principales. Ces dernières portent en outre, sur le devant du bonnet, une étoile à cinq branches de 2 centimètres de hauteur.
Dans le service des salles, les infirmières revêtent le sarrau et prennent un tablier blanc à bavette. Ces effets-leur sont fournis gratuitement par l’hôpital. Elles portent également des pantoufles, en cuir noir, dont l’achat leur incombe."
A priori donc elle n'était pas infirmière laïque des hôpitaux militaires.
Cordialement
« Il n’y a pas de vents favorables pour qui ne connaît pas son port. » Sénèque
Re: Une infirmiere en 1916
Merci pour cette info Meb.
Bien cordialement.
Didier.
Bien cordialement.
Didier.