Bonjour, j'aimerais connaitre (si elles existent) les statistiques concernant les origines sociales des morts de la guerre de14. Les catégories aux quelles je pense sont: Agriculteurs ou ouvriers agricoles, ouvriers de l'industrie, mineurs, employés de bureau, commerçants, fonctionnaires, cadres et ingénieurs, militaires de carrière.etc etc.
Connait on également les statistiques quant au niveau d'instruction des conscrits?
Merci
Berlac
origines sociales des morts de la guerre
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Re: origines sociales des morts de la guerre
Bonjour,
Une partie de vos réponses dans La France devant la conscription de Philippe Boulanger. Economica 2001
Cordialement CC
Une partie de vos réponses dans La France devant la conscription de Philippe Boulanger. Economica 2001
Cordialement CC
Re: origines sociales des morts de la guerre
Merci, je vais essayer de trouver ce livre pour répondre à mes questions
Cordialement
Berlac
Cordialement
Berlac
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Re: origines sociales des morts de la guerre
Si votre libraire n'a pas ou ne veut pas commander ce livre, essayez directement de contacter, internet peut-être, l'INSTITUT DE STATEGIE COMPAREE. CC
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Re: origines sociales des morts de la guerre
Bonjour
A noter la présence d'un excellent article d'André Loez (CRID):
"Autour d'un angle mort historiographique: la composition sociale de l'armée française en 1914-1918" André Loez - Matériaux pour l'histoire de notre temps - n°91 - juillet-septembre 2008 - BDIC
André Loez revient sur toute la difficulté d'établir des statistiques et l'absence de réelles études "sérieuses".
Je note d'ailleurs que le seul outil de référence "fiable" est le recensement de 1911, qui seul peut servir de référence.
Cordialement
Jérôme Charraud
A noter la présence d'un excellent article d'André Loez (CRID):
"Autour d'un angle mort historiographique: la composition sociale de l'armée française en 1914-1918" André Loez - Matériaux pour l'histoire de notre temps - n°91 - juillet-septembre 2008 - BDIC
André Loez revient sur toute la difficulté d'établir des statistiques et l'absence de réelles études "sérieuses".
Je note d'ailleurs que le seul outil de référence "fiable" est le recensement de 1911, qui seul peut servir de référence.
Cordialement
Jérôme Charraud
Les 68, 90, 268 et 290e RI dans la GG
Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

Re: origines sociales des morts de la guerre
De retour de vol(je suis pilote de ligne) je trouve votre réponse et je vous en remercie. Si effectivement le taux d'appel a été le même dans toutes les classes sociales, les affectations au front ou à l'arrière dépendaient beaucoup plus du niveau d'instruction, ce qui, je pense, entraine quelques distorsions par rapport au recensement. Je vais essayer de me procurer l'article de M.André Loez.Cordialement; Bernard Lacombe
- LABARBE Bernard
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Re: origines sociales des morts de la guerre
Bonsoir,
Trouvé un tableau sur le livre de Jean-Jacques Becker "Les français dans la grande guerre" (Robert Laffont 1980).
Bien lire en bas que c'est à prendre avec prudence...
Les chiffres sont en effet surprenants. Seulement 5 400 000 agriculteurs actifs en 1913 ? Je serais au passage intéressé par ce recensement bien précis, j'en était resté au global de 1911. De plus, pensons aux ouvriers retirés du front et renvoyés aux usines, et ce faible écart entre Agriculture et Industrie me parait louche. Mais nous en saurons peut-être plus, à suivre.
Cordialement,
Bernard

Trouvé un tableau sur le livre de Jean-Jacques Becker "Les français dans la grande guerre" (Robert Laffont 1980).
Bien lire en bas que c'est à prendre avec prudence...
Les chiffres sont en effet surprenants. Seulement 5 400 000 agriculteurs actifs en 1913 ? Je serais au passage intéressé par ce recensement bien précis, j'en était resté au global de 1911. De plus, pensons aux ouvriers retirés du front et renvoyés aux usines, et ce faible écart entre Agriculture et Industrie me parait louche. Mais nous en saurons peut-être plus, à suivre.
Cordialement,
Bernard
