J'étudie cette photo. Merci au passage à Florent et Renaud pour leur aide precieuse. Peut etre le 132 aux Eparges en sept 15 avant de partir en Champagne ou alors le 25 RI dans la Somme en sept 16. Autre idée ?

Elle appelle une question pour moi : quel etait le statut du pretre au front ?
Certains etaient infirmier-brancardier comme Blaise Cheruy du 132 qui se comporte au front avec une vaillance héroïque, comme en font foi les trois citations à l'ordre de la Brigade et lors de la remise de la Médaille Militaire (1933). Brancardier-prêtre, il contribue à l'évacuation des nombreux blessés et participe à l'identification des morts dont la reconnaissance permet une inscription sur leur tombe. Il conserve sur lui hosties consacrées et huiles saintes pour être prêt aux secours religieux ou R.P. René Guilloux MPF , religieux prêtre et brancardier, frappé mortellement le 27 septembre, au moment ou il portait secours aux blessés du 132 (Merci Stephan).
Je crois que les infirmiers n'étaient pas armés ?
Il y avait aussi l'aumonier régimentaire ? divisionnaire ?
Le port de la soutane était il courant ? réglementaire ?
Merci d'avance pour vos apports en ce domaine
Cdt
Armand