Bonsoir à tous, bonsoir Lionel, je ne sais pas si j'ai mis dans le mille, mais cela y ressemble beaucoup, en comparant cette carte avec ta photo, le grand bâtiment présente plus que des similitudes, donc ce serait la caserne Sidi Brahim, à Trèves et au vu du nom qu'elle porte, cela pourrait correspondre!
amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Très sincèrement, je vous remercie pour le mal que vous vous donnez pour moi, le challenge n’est pas évident à relever mais je suis certain qu’on va y arriver !!!
En ce qui concerne la caserne Sidibrahim de Trèves, malheureusement, je crains que ce ne soit pas elle sur mon cliché…
En effet :
_ sur mon cliché il y deux rangées parallèles d’arbres alors que sur la tienne, il n’y en à qu’une.
_ sur votre photo, les fenêtres du 3ième étage sont cintrées, pas celles qui correspondent sur mon cliché.
_sur votre photo la corniche de la toiture est linéaire tandis que sur ma photo, il y a un décrochage en arrière-plan dû à la présence d’un pavillon formant un 4ième étage qui devrait normalement apparaître au premier plan de la vôtre…
Je suis sincèrement désolé, ceci-dit, c’était très bien essayé !!!
J'ai également un doute, mais c'est vrai que certains éléments architecturaux sont très proches...
A tout hasard, voici une très mauvaise vue d'ensemble de cette caserne (très "grossie" car elle se trouve dans un petit médaillon en haut à droite d'une CPA !).
J'ai quelques CPA de casernes et quartiers de Trèves ("Verdun", "Bouchavesnes", "Hartmanswillerkopf", ...) mais rien de concluant pour le moment...
Sinon, autre chose : maintenant qu'une petite bible sur les unités de chasseurs est sortie, n'y aurait-il pas moyen de pointer les bataillons qui se retrouvèrent troupes d'occupation juste après-guerre, et où ?
Enfin, une question : est-ce normal de ne trouver aucune tarte ou bérêt - je pense par exemple aux officiers - sur cette photo ?
A suivre...
Amicalement,
Stéphan
ICI > LE 74e R.I.
Actuellement : Le Gardien de la Flamme
Merci Stephan pour votre abnégation, bonjour à toutes et à tous !!!
Comme me l’avait suggéré P. Lamy, je me suis permis d’invité Joël Huret à venir faire un petit détour par cette page afin de faire parler ses satanés uniformes. J’espère du fond du cœur qu’il nous fera part de son érudition d’ici peu !!!
En ce qui concerne l’absence de tarte, il me semble que les Chasseurs à Pieds n’en étaient pas dotés, que cette coiffure était exclusivement l’apanage des Chasseurs Alpins. Si je ne me trompe pas, les Chasseurs à Pieds ont commencé le conflit en képi bleu foncé à liserés jonquille et l’on terminé avec le calot, en dehors de la ligne de front où le casque Adrian était de rigueur bien entendu !!!
Maintenant, l'idée m'a germé ce matin au saut du lit : je vais vous proposer un agrandissement de mon cliché pris avec mon APN en mode macro et flash. Je trouve le résultat plutôt satisfaisant et bien que j’ai désormais une petite idée, plutôt que de vous influencer, je préfère vous en laisser une nouvelle lecture…
Bonjour à tous, bonjour Lionel, un truc me chagrine, on en a déjà parlé, sur un des cols, je lis 66 en dessous du cor de chasse, le bataillon a été dissous en juin 18 il me semble, apparemment la photo nous montre le bataillon au grand complet, alors ne serait-ce pas une photo prise lors de la dissolution du bataillon, photo prise depuis un bâtiment à étage, cela va de soit, seulement, encore un hic, le bataillon revenu du plateau de Condé, n'est plus constitué que d'une centaine de chasseurs, alors ? Maintenant, autre chose, le 66 a été reconstitué puisqu'il a combattu en 40, alors peut être avons nous à faire dans ce cas à une photo de la reconstitution du 66ème, qu'en pensez vous ?
amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.