Merci Marck.
C'est intéressant.
A part pour la mise en place du caisson à munitions, on voit bien les rôles que vous avez énumérés plus haut.
Amicalement.
Composition d'un RAC
Re: Composition d'un RAC
Bonjour Shiva,
J'ai indiqué, à tort, que les plus mauvais cavaliers devaient être sur les avant-trains.
Chaque artilleur se situait bien, dans la batterie, par rapport à la fonction qu'il exerçait.
Maintenant, de la à penser que sa fonction dépendait directement de ses qualités équestres
Voyez le lien ci-dessous dans la section : "Organisation de la pièce de 75mm modèle 1897"
http://basart.artillerie.asso.fr/articl ... rticle=345
Conclusion:
A part le sous-off chef de pièce et le brigadier pointeur qui sont sur chevaux de selle, les autres "membres actifs" du service du canon sont sur les avant-trains.
Les conducteurs vont faire la navette avec l'échelon pour re-alimenter la batterie de tir ou se trouvent seulement les 5 premières pièces (4 canons et 6 caissons).
Les avant-trains, qui se regroupent au sein de l'échelon, sont progressivement vidés dans les caissons qui remplaceront les casiers vides de la batterie de tir.
Deux cartes postales perso (1ere bataille de la Marne) ou les voitures sont tractées par 4 chevaux au lieu de 6 :
Neufmontiers

Et maintenant

Chauconin

Et maintenant

Amic.
Marck
J'ai indiqué, à tort, que les plus mauvais cavaliers devaient être sur les avant-trains.
Chaque artilleur se situait bien, dans la batterie, par rapport à la fonction qu'il exerçait.
Maintenant, de la à penser que sa fonction dépendait directement de ses qualités équestres

Voyez le lien ci-dessous dans la section : "Organisation de la pièce de 75mm modèle 1897"
http://basart.artillerie.asso.fr/articl ... rticle=345
Conclusion:
A part le sous-off chef de pièce et le brigadier pointeur qui sont sur chevaux de selle, les autres "membres actifs" du service du canon sont sur les avant-trains.
Les conducteurs vont faire la navette avec l'échelon pour re-alimenter la batterie de tir ou se trouvent seulement les 5 premières pièces (4 canons et 6 caissons).
Les avant-trains, qui se regroupent au sein de l'échelon, sont progressivement vidés dans les caissons qui remplaceront les casiers vides de la batterie de tir.
Deux cartes postales perso (1ere bataille de la Marne) ou les voitures sont tractées par 4 chevaux au lieu de 6 :
Neufmontiers

Et maintenant

Chauconin

Et maintenant

Amic.
Marck
Re: Composition d'un RAC
Intéressant.Merci Marck.
C'est intéressant.
A part pour la mise en place du caisson à munitions, on voit bien les rôles que vous avez énumérés plus haut.
Amicalement.
Mon GP avait effectué son service comme cavalier au 29° Dragons en 1906.
Rappelé à la mobilisation générale, il était réputé (fiche matricule) être "chauffeur auto" de profession.
Il a d'abord été détaché dans une ambulance, ce qui semble logique.
Puis dans divers régiments d'artillerie.
Dans un cas comme dans l'autre, je me demande s'il officiait à un volant ou sur un cheval, étant donné que ses compétences pouvaient justifier aussi bien l'un que l'autre.
Il était au 104 RAL à partir du 11/11/1917.
Les pièces étaient vraiment exclusivement hippomobiles ?
Re: Composition d'un RAC
Boujour à tous,
A toutes fins utiles :
Vers le milieu de l’année 1917, l’armée de campagne belge possédait plus de 42.500 chevaux, dont au moins 6.500 en écurie, à la base de Calais-Gravelines.
A la même époque l’armée française en possédait 750.000 !
Le chiffre officiel estimé par la Section Vétérinaire de l'armée française des chevaux morts est gravé sur une plaque au château de Saumur (France). En voici le texte :
« Aux 1.140.000 chevaux de l'armée française morts pendant la guerre mondiale 1914 – 1918 ».
Belle journée,
l’amiral.
A toutes fins utiles :
Vers le milieu de l’année 1917, l’armée de campagne belge possédait plus de 42.500 chevaux, dont au moins 6.500 en écurie, à la base de Calais-Gravelines.
A la même époque l’armée française en possédait 750.000 !
Le chiffre officiel estimé par la Section Vétérinaire de l'armée française des chevaux morts est gravé sur une plaque au château de Saumur (France). En voici le texte :
« Aux 1.140.000 chevaux de l'armée française morts pendant la guerre mondiale 1914 – 1918 ».
Belle journée,
l’amiral.