Bonjour Claude.
Pour ne prendre comme exemple que la ville de VANNES, les soldats décédés dans les différents hopitaux paraissaient dans la rublique d'état-civil des journeaux locaux, avec donc un enregistrement à la Mairie ; chaque année de guerre le service d'état-civil fera d'ailleurs paraitre son "bilan" en précisant les nombre de soldats décédés de même que ceux "non originaires de la commune".
Un rapport "sanitaire" était en outre adressé quasi hebdomadairement par les services sanitaires au Maire. Je ne saurais préciser s'il en était de même dans toutes les autres villes qui avaient des hopitaux.
Je suppose qu'il y avait en parallèle transmission à la commune de naissance ou de résidence, comme dans le cas des soldats tués au front, d'abord enregistrés par l'officier faisant fonction d'officier d'état-civil (décès attestés par 2 gradés).
Cordialement
Jean-Yves