Nous avons loupé ça d’une semaine !
Nous y étions le 30 octobre et ce sont des jeunes ados que nous avons vu travailler ver la roche Sermet. Merci à eux.
Pour la légende et la photo … Je me trompe peut-être ?
Jusqu’à aujourd’hui, je n’ais pas entendu parler du champ de bataille du 2ème Génie, unique un abri portant ce nom, car construit par une de ses compagnies.
Une entrée de l’abri
Cordialement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Gerhard Schröder était bien présent lors des commémorations du débarquement en 2004. Pas toutes certes, mais sa présence était hautement symbolique. Je pense qu'au moment où disparaissent les derniers survivants il est nécessaire de resserrer les rangs si je puis dire et d'oeuvrer en commun afin que le passé survive.
Merci Cédric, j'ai la même. Il y a UN abri du 2ème Génie (qui ne ressemble pas à la photo du journal) mais pas de champ de bataille portant ce nom.
Cordialement
Gilles
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Cette année, la cérémonie a été originale puisqu'on a pu voir le drapeau allemand flotter au fronton de la mairie et le maire de notre ville jumelle, Geislingen, déposer une gerbe ( de fleurs ) au pied du monument.
A ce propos, selon la presse locale, il parait que là-bas on ne commémore pas trop :
la légende de l'article doit être fausse, ce n'est pas le champ de bataille du 2ème génie (dans l'article il est stipulé "lieu-dit du 2ème génie").
par contre d'après ce que je sais il y a plusieurs abris.
Bonsoir
En écoutant ce 11/11 le message de M. Hamlaoui Mekachera, qui a(urait?) du être lu à toutes les cérémonies aux monuments aux morts, puis en le relisant attentivement (là par exemple)
j'ai trouvé que c'était un modèle de....(rien/vide/diplomatie ?). J'attends avec impatience que l'on invite enfin nos voisins d'outre-Rhin, mais je me demande tous les ans si ce n'est pas la crainte de défriser quelques anciens combattants qui n'auraient décidément rien compris. (Quand on ré-ré-écoute les reportages sur les derniers poilus, on constate pourtant qu'ils ont largement dépassé ce cap)
Cordialement
Alain
Bonjour à tous,
Il me revient une parole d'un ancien du fort de Vaux qui m'a dit : "Hans (un ancien du fort mais de l'autre côté) n'était pas un ennemi, c'était un copain de misère, tout ça on l'a fait pour des gros...".
Egalement à signaler le travail effectué par les personnes des deux nations à Vauquois...
Cordialement.
Pour le 50° anniversaire de la bataille de Verdun, en 1966, mon père a discuté longuement avec un ancien d'en face. Ils se sont rendu compte qu'ils étaient à 50, 100 mètres en septembre 16...
D'aprés mon beau-frère présent, ils ne semblaient pas vindicatifs, ils se parlaient simplement...
Les uns et les autres étaient logés sous les mêmes abeilles de mitrailleuses, les mêmes marmites, les mêmes poux, rats, et le restes...
Je pense qu'ils en avaient trop vu durant ces quatre ans de souffrance pour en vouloir à un péquenot d'outre-Rhin aussi malheureux qu'eux, car ils se sont rendu comptent qu'ils étaient là pour des messieurs, comme ils disaient...