Salut Laurent
je dirais que c'est normal comme pour Sinoquet http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... m_rotate=F
ces deux soldats ont la même fiche matricule http://recherche.archives.somme.fr/ark: ... 54IN17/1/1
voir jmo service santé 72
Quand le blessé d'un régiment ,le 128 , est transporté par un autre régiment le 72 < qui le consigne > a l'entrée de son poste de secours ou de l'ambulance < 2 par exemple > et y décède ;il est peut être normal que le numéro du régiment <soigneur>? sur la fiche MPLF soit annoté en marge
c'est la traçabilité ?
on ne voit pas apparaître le n° 72 dans ces deux fiches matricules
Cordialement
alain
Quand le blessé d'un régiment ,le 128 , est transporté par un autre régiment le 72 < qui le consigne > a l'entrée de son poste de secours ou de l'ambulance < 2 par exemple > et y décède ;il est peut être normal que le numéro du régiment <soigneur>? sur la fiche MPLF soit annoté en margec'est la traçabilité ?
Cordialement
alain
sur ce point je ne confirme pas cette information (...)
Sur les 3/4 des fiches des soldats retrouvés, nous trouvons ce coup de tampon du 72ème RI.
Seuls CHAMPION (blessé), VILCOT et BECQUET ne l'ont pas.
Les brancardier du 128ème étant débordés (d'après le JMO des brancardiers du 72ème) la majorité des morts a sans doute été relevé par ceux du 72ème, ce qui pourrait expliquer la présence de ce tampon.
Sur les 3/4 des fiches des soldats retrouvés, nous trouvons ce coup de tampon du 72ème RI.
Seuls CHAMPION (blessé), VILCOT et BECQUET ne l'ont pas.
Les brancardier du 128ème étant débordés (d'après le JMO des brancardiers du 72ème) la majorité des morts a sans doute été relevé par ceux du 72ème, ce qui pourrait expliquer la présence de ce tampon.
A+
Matthieu
Dans ce cas c'est bien possible, je n'ai pas d'autres documents qui confirment cette hypothèse. rien de précis dans mes carnets de brancardiers du 72e RI, ils participent à l'enlèvement des corps mais il n'y a pas de détails.
Bonjour à tous, j'ai ici un témoignage d'un brancardier du 72e RI (extrait de son carnet de notes) à la date du 11 décembre 1914 il écrit:" Nous sommes relevés par le 128e RI pour aller au repos à Chaudefontaine, pour nous y rendre nous traversons Vienne le Château où un bombardement vient d'avoir lieu. 5 obus sont tombés sur la 6e Cie du 128e RI qui faisait la pause: 17 tués et cinquante blessés. Les morts sont déchiquetés, j'assiste à leur enlèvement."
Le JMO du SS du 72e RI donne cette précision: " un obus allemand de 105mm a éclaté au dessus de cette compagnie à 3m du sol. Bilan: 17 tués et 45 blessés (...).
Laurent
Laurent,
ce témoignage d'un brancardier du 72ème, vous en avez juste une retranscription ou vous avez un scan?
Si c'était possible, je souhaiterais en avoir une copie.
ce témoignage d'un brancardier du 72ème, vous en avez juste une retranscription ou vous avez un scan?
Si c'était possible, je souhaiterais en avoir une copie.
Merci
Matthieu
il ne détaille pas cette journée à part le fait qu'il y participe...rien de plus...par sa part il indique: 17 tués et cinquante blessés. voir mon message plus haut...
nous avons commémoré hier l'évènement du Tulipier de Vienne-Le-Château.
C'était simple, émouvant et efficace. En un mot, et selon moi, parfait!
Les enfants de Vienne-Le-Château ont déposé des mots pour la paix au pied de l'arbre, en présence d'un "poilu" en tenue de 1914.
Le souvenir Français de Stenay nous a accompagné, nous permettant ainsi d'avoir un porte-drapeau.
Les enfants de Vienne-Le-Château ont ensuite entonné la Marseillaise.
Après cela, nous sommes allé fleurir la tombe des soldats morts sous cet arbre, qui ont aujourd'hui été identifiés et sont enterrés à Vienne-le-Château (11 soldats) ou à Ste-Menehould (2 soldats).
Merci à tous ceux qui ont rendu cette journée possible, malgré un temps de préparation ultra-court.
Le tulipier, 100 ans après, jour pour jour...
Les enfants déposent des mots pour la paix
5 des soldats identifiés (NN St-Thomas-en-Argonne)
4 des soldats identifiés (NN St-Thomas-en-Argonne)
2 des soldats identifiés (NN St-Thomas-en-Argonne)
2 des soldats identifiés (NN Ste-Menehould) (blessés décédés à l'Ambulance)
Bonjour, merci Matthieu pour ce compte rendu photo et pour la mise sur pied de cette cérémonie. Comme quoi il n'y a pas besoin de tout un battage pour rendre un hommage émouvant.
Cordialement
Alain
Bonsoir,
nous avons commémoré hier l'évènement du Tulipier de Vienne-Le-Château.
C'était simple, émouvant et efficace. En un mot, et selon moi, parfait!
Les enfants de Vienne-Le-Château ont déposé des mots pour la paix au pied de l'arbre, en présence d'un "poilu" en tenue de 1914.
Le souvenir Français de Stenay nous a accompagné, nous permettant ainsi d'avoir un porte-drapeau.
Les enfants de Vienne-Le-Château ont ensuite entonné la Marseillaise.
Après cela, nous sommes allé fleurir la tombe des soldats morts sous cet arbre, qui ont aujourd'hui été identifiés et sont enterrés à Vienne-le-Château (11 soldats) ou à Ste-Menehould (2 soldats).
Merci à tous ceux qui ont rendu cette journée possible, malgré un temps de préparation ultra-court.
— FORESTIER Fernand Odile Éloi, né le 1er décembre 1882 à Léalvillers (Somme), mort le 11 décembre 1914 à Vienne-le-Château (Marne), « tué à l’ennemi », Soldat de 2e classe, 128e Régiment d’infanterie, Matricule n° 011.728 au corps, classe 1902, n° 314 au recrutement d’Abbeville (Acte transcrit à Léalvillers, le 28 juin 1915).
— JACOB René Louis Henri, né le 18 avril 1883 à Cayeux-sur-Mer (Somme), mort le 11 décembre 1914 à Vienne-le-Château (Marne), « tué », Caporal, 128e Régiment d’infanterie, Matricule n° 012.166 au corps, classe 1903, n° 1.167 au recrutement d’Abbeville (Acte transcrit à Cayeux-sur-Mer, le 23 déc. 1915).
— MAUPIN Laurent François, né le 10 août 1882 à Cayeux-sur-Mer (Somme), mort le 11 décembre 1914 à Vienne-le-Château (Marne), « tué à l’ennemi », Soldat de 2e classe, 128e Régiment d’infanterie, Matricule n° 011.705 au corps, classe 1902, n° 1.186 au recrutement d’Abbeville (Acte transcrit à Cayeux-sur-Mer, le 16 sept. 1915).
• Soldat mort après le 11 décembre 1914.
— LUIZARD Louis Auguste, né le 24 février 1894 à Pantin (Seine – aujourd’hui Seine-Saint-Denis –), décédé le 16 décembre 1914 à l’Ambulance n° 2 du 2e Corps d’armée alors établie à Sainte-Menehould (Marne), des suites de « blessures de guerre », Soldat de 2e classe, 128e Régiment d’infanterie, Matricule n° 5.604 au corps, classe 1914, n° 4.340 au recrutement de la Seine, 1er Bureau (Acte transcrit à Pantin, le 8 avr. 1915).