Je viens de recevoir photocopies du dossier militaire du colonel Garnier, commandant le 112e RI, de la mobilisation à sa mort en mai 1916, et j’y apprends que cet officier a été condamné par trois fois à des jours d’arrêts simples :
15 jours en mai 1915, 4 jours puis 2 jours en août 15 pour des motifs qui, selon moi, sont sommes toutes futiles :
« N’a pas rendu compte qu’un cheval avait été abandonné dans un cantonnement… »
« A adressé des états de pertes incomplets… »
Ces jours d’arrêts, surtout pour un officier supérieur, étaient-ils réellement effectués ? Et dans ce cas, va t-il en prison ? Ou bien était-ce une mesure disciplinaire de sursis ?
Par ailleurs, que signifie arrêt simple ?
Merci pour vos réponses

Cordialement,
Olivier