
Je me pose beaucoup de questions concernant le cheminement ferroviaire des troupes intervenues lors des premiers mois du conflit.
Savions-nous débarquer une DI complète en plein milieu de la voie ferrée?
si oui, quels pouvaient être les effets et contraintes?
A l'instar un bataillon de chasseurs pouvait-il le faire très facilement?
Pouvait-on débarquer nos 75 sans gros aménagement particulier et sans opération de grutage?
Etions-nous contraints de faire embarquer et de faire débarquer notre artillerie lourde dans des gares pour bénéficier de leurs infrastructures ?
Le seul témoignage lu est celui-ci:
d'Henri d'Estre dans
"D'Oran à Arras, impression de guerre d'un officier d'Afrique"
(affecté à l'état-major de la 45°DI comme le précise JN-Cru à la p136)
Je lis aux pages 225/226
"Comme à B...., le débarquement s'effectue ici à pleine voie au moyen de rampes mobiles, opération délicate, sourtout quand elle comporte la descente de wagon de nombreuses voitures des types les plus divers"
Si vous en savez plus
merci de votre précieuse collaboration
BM Thiry