Bien bien malheureuse histoire que la sienne et triste mentalité d'après guerre. Et dire que, parfois il y avait, en plus, une certaine forme de jalousie envers ceux qui s'en étaient sortis. Mais pour votre soldat, ce fut pire encore. Tant de souffrances durant et après la guerre. Je le plains de tout coeur et comprends la peine de la famille. Mais elle peut être très fière de lui en effet.
Je vous souhaite une belle réussite dans vos recherches afin que la famille de votre compagnon puisse trouver l'apaisement.
Cordialement,
Anne
Je vous remercie Anne, et si vous avez besoin d'un coup de main pour des recherches, n'hésitez pas, je ferai ce que je peux.
Cordialement
Bonjour.Il faut savoir qu a l epoque, a cote du discredit populaire,s ajoutait l ostracisme professionnel.Des reglements intérieurs d entreprises privees,des conventions collectives signees par les syndicats interdisaient l embauche de condamnes militaires ou d anciens des bat d Af.Cordialement.
Bonjour.Il faut savoir qu a l epoque, a cote du discredit populaire,s ajoutait l ostracisme professionnel.Des reglements intérieurs d entreprises privees,des conventions collectives signees par les syndicats interdisaient l embauche de condamnes militaires ou d anciens des bat d Af.Cordialement.
Bonsoir,
Comme quoi on apprend tous les jours ! Merci pour l'info.
Merci à vous tous qui avez lu mon sujet, et grand merci, à vous Anne et Zéphyr Joyeux, qui m'avez répondu, j'ai un projet de livre qui commence à pointer le bout du nez, car j'ai un arrière grand-père paternel qui est mort tué dans les premiers jours de la guerre, dont je ne savais rien, mais dont la mort a eu des conséquences effroyables, ainsi que l'arrière grand-père de mon ex-mari, mort à Souain en 1915 et dont la mort a aussi eu des conséquences dramatiques. J'ai fait ces découvertes grâce à tous les internautes qui travaillent à cette guerre et qui partagent leurs recherches et leur savoir. Rien que dans ma famille, trois décès de soldats et la condamnation d'un jeune au bagne militaire malgré ses mérites reconnus après, ont encore aujourd'hui des retentissements lourds.
Je sais que j'ai beaucoup de travail encore et quand je pense à mes "mes" morts et que je me dis qu'ils sont une goutte d'eau dans l'océan de toutes ces vies fauchées par cette guerre, de recherches en recherches , je suis atterrée.
Si toute cette somme de témoignages pouvaient servir à nos enfants pour qu'ils évoluent de façon positive et fassent évoluer l'humanité....
Merci encore à tous
Cordialement
Nancy
Bonsoir Madame.On disait cela en 1919 et on a vu la suite.La barbarie ne cessera jamais et ne pourra etre contenue que par le maintien du sentiment de defense interieure et exterieure.Cordialement.
Comme vous mentionnez le 147è et le parcours de G. Tobot, Je souhaiterais l'évoquer prochainement sur le blog.
Si vous le souhaitez, le message pourrait être enrichi d'une photo de Georges ou des deux frères (Jules et Georges).
Et dire que, parfois il y avait, en plus, une certaine forme de jalousie envers ceux qui s'en étaient sortis. Mais pour votre soldat, ce fut pire encore.
Tant de souffrances durant et après la guerre. Je le plains de tout coeur et comprends la peine de la famille. Mais elle peut être très fière de lui en effet.
