Bonjour
Un article sur le camp de prisonniers de Parchim avec quelques belles photos
https://www.ndr.de/geschichte/schauplae ... ml#content
Cordialement
Pierre
Camp de Parchim
Re: Camp de Parchim
Bonjour,
Voici ce que j'ai publié sur ce camp:
PARCHIM
Camp de la « terreur », installé sur une plaine sablonneuse. 40 000 détenus, dont 25 000 en Kommando et plus de 2 000 civils (de 12 à 77 ans), qui subissaient des sévices particuliers.
Kommandant: Oberst Kothe, puis Oberst von Leyser.
Lazarett : nombreux tuberculeux. En fait il s’agissait, pour la plupart de malades qui devaient sortir nus dans la nuit glaciale pour répondre à un appel. Quelques temps plus tard ces mêmes malades présentaient les signes de la tuberculose. « Le médecin ne cachait pas sa joie d’avoir découvert des français tuberculeux. » Lettre de Pierre à sa femme.
Journal : La Fusée.
Anecdotes : Les civils étaient surtout des instituteurs, des industriels, de la région de Lille, Roubaix, Tourcoing. On trouvait également des paysans, des ouvriers, des mineurs et voyous de la prison de Loos les Lille. Les déportés qui ne saluaient pas les gardes et sous-officiers allemands recevaient des gifles.
Les latrines, des plus simples, se composaient d’une perche soutenue par deux sortes de chevalets, au dessus d’un trou. Le trou plein et rebouché tant bien que mal, les prisonniers allaient creuser une autre fosse, un peu plus loin. Monument aux morts.
Ce texte ne correspond pas (comme d'habitude chez les allemands de l'époque), avec les photos et cartes postale présentées.
Cordialement.
Stcypre.
Voici ce que j'ai publié sur ce camp:
PARCHIM
Camp de la « terreur », installé sur une plaine sablonneuse. 40 000 détenus, dont 25 000 en Kommando et plus de 2 000 civils (de 12 à 77 ans), qui subissaient des sévices particuliers.
Kommandant: Oberst Kothe, puis Oberst von Leyser.
Lazarett : nombreux tuberculeux. En fait il s’agissait, pour la plupart de malades qui devaient sortir nus dans la nuit glaciale pour répondre à un appel. Quelques temps plus tard ces mêmes malades présentaient les signes de la tuberculose. « Le médecin ne cachait pas sa joie d’avoir découvert des français tuberculeux. » Lettre de Pierre à sa femme.
Journal : La Fusée.
Anecdotes : Les civils étaient surtout des instituteurs, des industriels, de la région de Lille, Roubaix, Tourcoing. On trouvait également des paysans, des ouvriers, des mineurs et voyous de la prison de Loos les Lille. Les déportés qui ne saluaient pas les gardes et sous-officiers allemands recevaient des gifles.
Les latrines, des plus simples, se composaient d’une perche soutenue par deux sortes de chevalets, au dessus d’un trou. Le trou plein et rebouché tant bien que mal, les prisonniers allaient creuser une autre fosse, un peu plus loin. Monument aux morts.
Ce texte ne correspond pas (comme d'habitude chez les allemands de l'époque), avec les photos et cartes postale présentées.
Cordialement.
Stcypre.
la vérité appartient à ceux qui la recherchent et non à ceux qui croient la détenir.
Re: Camp de Parchim
Bonjour
Les dessins de Maxime Bourrée figurant dans son livre Souvenir de ma captivité en Allemagne. 1914-1918 : Carnet de dessins de Maxime Bourrée devraient eux correspondre à la vérité, du moins du pont de vue français.
Cordialement
Pierre
Les dessins de Maxime Bourrée figurant dans son livre Souvenir de ma captivité en Allemagne. 1914-1918 : Carnet de dessins de Maxime Bourrée devraient eux correspondre à la vérité, du moins du pont de vue français.
Cordialement
Pierre