Bonjour,
La fiche Miramar du vapeur brésilien LEOPOLDINA (ex BLÜCHER - Allemagne) en location avec promesse de vente exploité par la Flotte d'Etat à compter de 1917 :
et un petit rappel du contrat entre la France et le Brésil :
Tiré du sujet : viewtopic.php?t=78823 (Flotte d'Etat)
Voir également le sujet : viewtopic.php?t=46016 (Navires capturés)
A bientôt.
LEOPOLDINA - Flotte d'Etat - Vapeur brésilien
LEOPOLDINA - Flotte d'Etat - Vapeur brésilien
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: LEOPOLDINA - Flotte d'Etat - Vapeur brésilien
Bonjour,
Un sujet connexe où on peut voir une photo du SUFFREN ex LEOPOLDINA : viewtopic.php?p=338781&hilit=LEOPOLDINA#p338781
A bientôt.
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Marc.
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LÉOPOLDINA ― Paquebot brésilien, ex-Blücher allemand ― Flotte de l’État (1917~1922).
Bonsoir à tous,
Léopoldina ― Paquebot brésilien, ex-Blücher allemand, futur Suffren ― Flotte de l’État (1917~ 1922).
Léopoldina ― Paquebot brésilien, ex-Blücher allemand, futur Suffren ― Flotte de l’État (1917~ 1922).
Paquebot en acier lancé le 23 novembre 1901 sous le nom de Blücher par le chantier de Steinwerder (Allemagne) de la société Blohm und Voss GmbH pour le compte de la Hamburg-Amerikanische Packet-fahrt-Actien-Gesellschaft (H.A.P.A.G.) dont le siège était à Hambourg (‒ d° ‒) ; achevé en Février 1902. Attaché au port de Hambourg ; signal distinctif : R.M.N.Q. (1) Affecté à la ligne d’Amérique du Sud [Hamburg-Amerika Linie (H.-A.L.)].
Ce bâtiment fut interné en Août 1914 dans le port de Pernambouco (Brésil). Le 2 juin 1917, avec 41 autres navires, dont certains sabotés par leur équipage, il fut saisi à titre conservatoire par l’État brésilien, en application d’une loi adoptée la veille, abandonnant la neutralité de ce pays en ce qui concerne la guerre entre les États-Unis et l’Allemagne (Journal du droit international, 1917, p. 1.382). Renommé Léopoldina (2) sur proposition du Lloyds (Journal du droit international, 1918, p. 166), il fut alors donné en gérance à la Companhia de Navegação Lloyd Brasileiro ; son équipage fut interné à Ilha das Flores (État du Sergipe) et remplacé par un équipage brésilien (Journal du droit international, 1917, p. 1.382).
Puis, avec 26 autres navires, ce paquebot fut affrété par le Brésil à la France, en application d’une convention conclue le 3 décembre 1917 entre les deux États, dont l’article V disposait cependant que les ex-navires allemands remis à la France continueraient à avoir des états-majors et des équipages bré-siliens, à l’exception toutefois de marins français chargés de servir leur armement défensif. Le Léo-poldina fut livré à un représentant du gouvernement français à Pernambuco début Janvier 1918 (Jour-nal du droit international, 1918, p. 933). (3) La convention devait normalement prendre fin le 1er avril 1919, mais la France manquant encore, à cette date, du tonnage nécessaire au ravitaillement du pays ainsi qu’à la démobilisation des armées, un nouvel accord, conclu le 12 avril 1919, en prorogea pour un temps les effets. Enfin, le 14 décembre 1920, après d’âpres négociations, un accord de principe mit fin à l’application de la convention du 3 décembre 1917. Fin Décembre 1918, ce bâtiment assura le rapa-triement de Rotterdam (Pays-Bas) au Havre de prisonniers de guerre qui venaient d’être libérés des camps allemands.
Le 16 octobre 1919, au Havre, le Léopoldina fut armé au long-cours par le Transit maritime (n° 138), étant désormais exploité en gérance par la Compagnie générale transatlantique sur la ligne Le Havre ~ New-York principalement pour le transport d’immigrants — armement qui fut rétroactivement validé le 20 avril 1920, n° 138. Il fut alors placé sous le commandement d’Albert André VIARD, né le 19 mai 1872 au Havre (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), capitaine au long-cours, inscrit au quartier du Havre, n° 318, débarqué le 9 février 1920, puis remplacé par Marius Joseph AMIC, né le 9 octobre 1869 à Saint-Tropez (Var), ½ soldier inscrit au quartier de Saint-Tropez, n° 133. (4) Désarmé le 15 oc-tobre 1920 au Havre, n° 333, il y fut réarmé dès le lendemain, n° 470, demeurant commandé par Marius Joseph AMIC (5) ; en Janvier 1921, il fut toutefois momentanément reconverti en hôtel pour ac-cueillir au Havre les nombreux émigrants refoulés par les services sanitaires des États-Unis, la capacité hôtelière de la ville étant insuffisante pour les héberger tous. (6) A partir de Novembre de la même année, avec le paquebot Niagara, il fut affecté, à la « Ligne mixte sur Cuba et New-Orléans », qui touchait à Gijon, La Corogne, Vigo, La Havane et New-York, avec retour au Havre, via Vigo. Désarmé le 28 septembre 1921 au Havre, n° 382, il y fut réarmé dès le lendemain, n° 429, étant successivement commandé par Marius Joseph AMIC, débarqué le 28 décembre 1921, Marcel Sta-nislas BÉZIAU, né le 1er novembre 1896 à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlan-tique), capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Saint-Nazaire, n° 330, débarqué le 29 mars 1922, Charles PERRIN, né le 28 mai 1896 à Avranches (Manche), reçu capitaine au long-cours le 30 mars 1922 au Havre, et, enfin, Joseph BRÉHAUT, né le 15 janvier 1891 au Havre, capitaine au long-cours, inscrit au quartier du Havre, n° 544. Désarmé le 23 août 1922 au Havre. (7)
Le 17 mars 1921, le Sous-secrétaire d’État à la Marine marchande avait informé le Ministre des affaires étrangères que le terme de la convention d’affrètement serait définitivement arrêté au 31 mars 1921. En Avril 1922, le Léopoldina, avec le Sobral, ex-Cap-Vilano allemand, fut cédé par l’État brésilien à l’État français (L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 7.469, Dimanche 16 avril 1922, p. 7, en rubrique « Nouvelles maritimes ») pour le prix global de 11.000.000 fr. ; ces deux navires se trouvaient respec-tivement désarmés dans les ports de Brest et du Havre. En exécution de l’article 2 de la loi du 9 août 1921 ayant prescrit la liquidation de la flotte de l’État avant le 31 juillet 1923 (J.O. 10 août 1921, p. 9.390), il fut ensuite cédé par l’État à la Compagnie générale transatlantique pour le prix de 6.500.000 fr., avec 5 ans de crédit [Loi du 21 janvier 1928 portant approbation des contrats de vente de navires de la flotte de l’État, Annexe III. : J.O. 28 janv. 1928, p. 1.011 et 1.013]. Francisé le 5 mai 1923 au quartier du Havre, n° 5.802, il y fut immatriculé le 8, f° 698, n° 2.111, sous le nom de Suffren, ayant pour signal distinctif les lettres : O.V.Q.H. (8)
Armé en dernier lieu au long-cours le 23 avril 1923 au Havre, n° 157, il y fut définitivement désarmé le 17 décembre 1928, n° 481, ayant eut pour dernier commandant Robert Jules Marie Émile ROBERT, capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Rouen, n° 640. (9) Puis, débarassé de ses aménagements intérieurs, il fut vendu à la démolition fin Décembre 1928 à un chantier du port de Gênes pour le prix de 30.700 £., soit environ 3.800.000 fr. de l’époque. (10) Il quitta le Havre le 10 janvier 1929 sous pavillon italien et parvint à Gênes le 20. (11)
Caractéristiques générales. ― Jauge : 11.947,99 tx jb et 6.954,92 tx jn (1923). Dimensions : 160,87 x 18,99 x 10,85. Propulsion : Deux machines à pilon à quadruple expansion comportant chacune quatre cylindres et développant respectivement 4.500 cv ; 16 chaudières ; deux cheminées, deux hélices. Vitesse : 16 nœuds. Capacité d’accueil lors de sa mise en service en 1902 : 2.102 passagers, soit 333 en 1re classe, 169 en deuxième classe et 1.600 en 3e classe. Équipage en 1902 : 252 hommes.
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(1) Lloyd’s Register of Shipping 1902~1903, Steamers, Lettre B., n° 565, p. num. 145 ~ Lloyd’s Register of Shipping 1914~1915, Steamers, Lettre B., n° 827, p. num. 146 ~ Lloyd’s Register of Shipping 1917~1918, Steamers, Lettre B., n° 786, p. num. 138.
(2) Lloyd’s Register of Shipping 1917~1918, Steamers, Suppl., Lettre L., n° 37, p. num. 127.
(3) Lloyd’s Register of Shipping 1921~1922, Steamers, Lettre L., n° 22.340, p. num. 739.
(4) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1920 ) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 317 à 413, 20 avril 1920, n° 138 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_645, p. num. 268 à 450.
(5) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1921) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 274 à 410 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_648, p. num. 564 à 744.
(6) Marthe BARBANCE : « Histoire de la Compagnie générale transatlantique. Un siècle d’exploitation mari-time », préface de Roger Vercel, Art et métiers graphiques, 1955. — p. 235.
(7) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1922) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 339 à 470 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_652, p. num. 9 à 10, puis 61 à 145.
(8) Inscription maritime — Quartier du Havre — Matricules des bâtiments de commerce — 1920~1940 — f°ˢ 1.797 à 2.392 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 4399W039, p. num. 114. [f° 698, n° 2.111] ~ Lloyd’s Register of Shipping 1923~1924, Steamers, Lettre L., n° 25.682, p. num. 694.
(9) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1928) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 436 à 491 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_674, p. num. 494 et s.
(10) Le Petit Havre, n° 17.265, Lundi 31 décembre 1928, p. 2.
Ce bâtiment fut interné en Août 1914 dans le port de Pernambouco (Brésil). Le 2 juin 1917, avec 41 autres navires, dont certains sabotés par leur équipage, il fut saisi à titre conservatoire par l’État brésilien, en application d’une loi adoptée la veille, abandonnant la neutralité de ce pays en ce qui concerne la guerre entre les États-Unis et l’Allemagne (Journal du droit international, 1917, p. 1.382). Renommé Léopoldina (2) sur proposition du Lloyds (Journal du droit international, 1918, p. 166), il fut alors donné en gérance à la Companhia de Navegação Lloyd Brasileiro ; son équipage fut interné à Ilha das Flores (État du Sergipe) et remplacé par un équipage brésilien (Journal du droit international, 1917, p. 1.382).
Puis, avec 26 autres navires, ce paquebot fut affrété par le Brésil à la France, en application d’une convention conclue le 3 décembre 1917 entre les deux États, dont l’article V disposait cependant que les ex-navires allemands remis à la France continueraient à avoir des états-majors et des équipages bré-siliens, à l’exception toutefois de marins français chargés de servir leur armement défensif. Le Léo-poldina fut livré à un représentant du gouvernement français à Pernambuco début Janvier 1918 (Jour-nal du droit international, 1918, p. 933). (3) La convention devait normalement prendre fin le 1er avril 1919, mais la France manquant encore, à cette date, du tonnage nécessaire au ravitaillement du pays ainsi qu’à la démobilisation des armées, un nouvel accord, conclu le 12 avril 1919, en prorogea pour un temps les effets. Enfin, le 14 décembre 1920, après d’âpres négociations, un accord de principe mit fin à l’application de la convention du 3 décembre 1917. Fin Décembre 1918, ce bâtiment assura le rapa-triement de Rotterdam (Pays-Bas) au Havre de prisonniers de guerre qui venaient d’être libérés des camps allemands.
Le 16 octobre 1919, au Havre, le Léopoldina fut armé au long-cours par le Transit maritime (n° 138), étant désormais exploité en gérance par la Compagnie générale transatlantique sur la ligne Le Havre ~ New-York principalement pour le transport d’immigrants — armement qui fut rétroactivement validé le 20 avril 1920, n° 138. Il fut alors placé sous le commandement d’Albert André VIARD, né le 19 mai 1872 au Havre (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), capitaine au long-cours, inscrit au quartier du Havre, n° 318, débarqué le 9 février 1920, puis remplacé par Marius Joseph AMIC, né le 9 octobre 1869 à Saint-Tropez (Var), ½ soldier inscrit au quartier de Saint-Tropez, n° 133. (4) Désarmé le 15 oc-tobre 1920 au Havre, n° 333, il y fut réarmé dès le lendemain, n° 470, demeurant commandé par Marius Joseph AMIC (5) ; en Janvier 1921, il fut toutefois momentanément reconverti en hôtel pour ac-cueillir au Havre les nombreux émigrants refoulés par les services sanitaires des États-Unis, la capacité hôtelière de la ville étant insuffisante pour les héberger tous. (6) A partir de Novembre de la même année, avec le paquebot Niagara, il fut affecté, à la « Ligne mixte sur Cuba et New-Orléans », qui touchait à Gijon, La Corogne, Vigo, La Havane et New-York, avec retour au Havre, via Vigo. Désarmé le 28 septembre 1921 au Havre, n° 382, il y fut réarmé dès le lendemain, n° 429, étant successivement commandé par Marius Joseph AMIC, débarqué le 28 décembre 1921, Marcel Sta-nislas BÉZIAU, né le 1er novembre 1896 à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlan-tique), capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Saint-Nazaire, n° 330, débarqué le 29 mars 1922, Charles PERRIN, né le 28 mai 1896 à Avranches (Manche), reçu capitaine au long-cours le 30 mars 1922 au Havre, et, enfin, Joseph BRÉHAUT, né le 15 janvier 1891 au Havre, capitaine au long-cours, inscrit au quartier du Havre, n° 544. Désarmé le 23 août 1922 au Havre. (7)
Le 17 mars 1921, le Sous-secrétaire d’État à la Marine marchande avait informé le Ministre des affaires étrangères que le terme de la convention d’affrètement serait définitivement arrêté au 31 mars 1921. En Avril 1922, le Léopoldina, avec le Sobral, ex-Cap-Vilano allemand, fut cédé par l’État brésilien à l’État français (L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 7.469, Dimanche 16 avril 1922, p. 7, en rubrique « Nouvelles maritimes ») pour le prix global de 11.000.000 fr. ; ces deux navires se trouvaient respec-tivement désarmés dans les ports de Brest et du Havre. En exécution de l’article 2 de la loi du 9 août 1921 ayant prescrit la liquidation de la flotte de l’État avant le 31 juillet 1923 (J.O. 10 août 1921, p. 9.390), il fut ensuite cédé par l’État à la Compagnie générale transatlantique pour le prix de 6.500.000 fr., avec 5 ans de crédit [Loi du 21 janvier 1928 portant approbation des contrats de vente de navires de la flotte de l’État, Annexe III. : J.O. 28 janv. 1928, p. 1.011 et 1.013]. Francisé le 5 mai 1923 au quartier du Havre, n° 5.802, il y fut immatriculé le 8, f° 698, n° 2.111, sous le nom de Suffren, ayant pour signal distinctif les lettres : O.V.Q.H. (8)
Armé en dernier lieu au long-cours le 23 avril 1923 au Havre, n° 157, il y fut définitivement désarmé le 17 décembre 1928, n° 481, ayant eut pour dernier commandant Robert Jules Marie Émile ROBERT, capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Rouen, n° 640. (9) Puis, débarassé de ses aménagements intérieurs, il fut vendu à la démolition fin Décembre 1928 à un chantier du port de Gênes pour le prix de 30.700 £., soit environ 3.800.000 fr. de l’époque. (10) Il quitta le Havre le 10 janvier 1929 sous pavillon italien et parvint à Gênes le 20. (11)
Caractéristiques générales. ― Jauge : 11.947,99 tx jb et 6.954,92 tx jn (1923). Dimensions : 160,87 x 18,99 x 10,85. Propulsion : Deux machines à pilon à quadruple expansion comportant chacune quatre cylindres et développant respectivement 4.500 cv ; 16 chaudières ; deux cheminées, deux hélices. Vitesse : 16 nœuds. Capacité d’accueil lors de sa mise en service en 1902 : 2.102 passagers, soit 333 en 1re classe, 169 en deuxième classe et 1.600 en 3e classe. Équipage en 1902 : 252 hommes.
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(1) Lloyd’s Register of Shipping 1902~1903, Steamers, Lettre B., n° 565, p. num. 145 ~ Lloyd’s Register of Shipping 1914~1915, Steamers, Lettre B., n° 827, p. num. 146 ~ Lloyd’s Register of Shipping 1917~1918, Steamers, Lettre B., n° 786, p. num. 138.
(2) Lloyd’s Register of Shipping 1917~1918, Steamers, Suppl., Lettre L., n° 37, p. num. 127.
(3) Lloyd’s Register of Shipping 1921~1922, Steamers, Lettre L., n° 22.340, p. num. 739.
(4) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1920 ) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 317 à 413, 20 avril 1920, n° 138 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_645, p. num. 268 à 450.
(5) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1921) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 274 à 410 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_648, p. num. 564 à 744.
(6) Marthe BARBANCE : « Histoire de la Compagnie générale transatlantique. Un siècle d’exploitation mari-time », préface de Roger Vercel, Art et métiers graphiques, 1955. — p. 235.
(7) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1922) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 339 à 470 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_652, p. num. 9 à 10, puis 61 à 145.
(8) Inscription maritime — Quartier du Havre — Matricules des bâtiments de commerce — 1920~1940 — f°ˢ 1.797 à 2.392 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 4399W039, p. num. 114. [f° 698, n° 2.111] ~ Lloyd’s Register of Shipping 1923~1924, Steamers, Lettre L., n° 25.682, p. num. 694.
(9) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Désarmement des bâtiments de commerce (1928) ― Compa-gnie générale transatlantique, n°ˢ 436 à 491 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6P6_674, p. num. 494 et s.
(10) Le Petit Havre, n° 17.265, Lundi 31 décembre 1928, p. 2.
(11) Le Petit Havre, n° 17.277, Vendredi 11 janvier 1929, p. 3 ~ Le Petit Havre, n° 17.291, Vendredi 25 janvier 1929, p. 2.
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Dernière modification par Rutilius le lun. mars 11, 2024 1:19 pm, modifié 1 fois.