Un poilu du 326e qui à bien de la chance.
Je ne l'ai pas vu dans mémoires des hommes, il a dut s'urvivre à la guerre.
Cordialement, Mic
"la capote écumoir"
Re: "la capote écumoir"
Bonsoir à tous,
Un poilu du 326e qui à bien de la chance.
Je ne l'ai pas vu dans mémoires des hommes, il a dut s'urvivre à la guerre.
Cordialement, Mic
Un poilu du 326e qui à bien de la chance.
Je ne l'ai pas vu dans mémoires des hommes, il a dut s'urvivre à la guerre.
Cordialement, Mic
Re: "la capote écumoir"
Superbe !
Un gars du 326 de Brive-La-Gaillarde !!!
Où avez-vous trouvé ce document il est superbe
Amicalement,
Guillaume
Un gars du 326 de Brive-La-Gaillarde !!!
Où avez-vous trouvé ce document il est superbe
Amicalement,
Guillaume
Re: "la capote écumoir"
Bonsoir,
C'est une C P empruntée dans un site bien connu.
Cordialement, Mic
C'est une C P empruntée dans un site bien connu.
Cordialement, Mic
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nefer51100
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Re: "la capote écumoir"
Bonsoir,
vu les alignements de trous,la capote devait être roulée dans le sac.dans ce cas,une balle fait plusieurs trous.
et pour ce qui est de la boule de pain,de deux choses l'une..ou les balles étaient tirées de très très très loin,ou le pain était vraiment dur.
Je rejoins P.Mercadal
propagande,quand tu nous tiens.
cordialement
P.
vu les alignements de trous,la capote devait être roulée dans le sac.dans ce cas,une balle fait plusieurs trous.
et pour ce qui est de la boule de pain,de deux choses l'une..ou les balles étaient tirées de très très très loin,ou le pain était vraiment dur.
Je rejoins P.Mercadal
propagande,quand tu nous tiens.
cordialement
P.
Peu m'importe l'Enfer ou le Paradis.J'ai des copains des deux côtés.(A/C Hoche.3eme de Marine)
Re: "la capote écumoir"
Encore moi..
De plus,la carte est marquée Septembre 1914.
Nous avons de nombreux témoignages des journées torrides d'août et début septembre 14..
je ne pense pas que nos soldats se battaient en capote.
cordialement
P.
De plus,la carte est marquée Septembre 1914.
Nous avons de nombreux témoignages des journées torrides d'août et début septembre 14..
je ne pense pas que nos soldats se battaient en capote.
cordialement
P.
Peu m'importe l'Enfer ou le Paradis.J'ai des copains des deux côtés.(A/C Hoche.3eme de Marine)
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Stephan @gosto
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Re: "la capote écumoir"
Bonsoir,
Et puisqu'on parle d'écumoire, en voici une - plus modeste, certes, et n'ayant pas fait l'objet d'une carte postale ! - du 74e datant également de septembre 14 :
"Pour ma part, plusieurs trous de balles dans ma capote, ma baïonnette tordue par une balle attestent la violence d’un feu mal réglé pour la distance"
Bonne soirée.
Stéphan
Si, si.je ne pense pas que nos soldats se battaient en capote.
Justement, et je viens donc de jeter un oeil dans les divers témoignage du 74e R.I. concernant cette période, et pas de doute : combats en capote.Nous avons de nombreux témoignages des journées torrides d'août et début septembre 14.
Et puisqu'on parle d'écumoire, en voici une - plus modeste, certes, et n'ayant pas fait l'objet d'une carte postale ! - du 74e datant également de septembre 14 :
"Pour ma part, plusieurs trous de balles dans ma capote, ma baïonnette tordue par une balle attestent la violence d’un feu mal réglé pour la distance"
Bonne soirée.
Stéphan
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Stephan @gosto
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Re: "la capote écumoir"
Bonsoir,
Et celui-ci... 23 août 14... il semble avoir tout perdu... même la tête. Il ne lui reste que la capote...
"Un fantassin, nue tête, sans sac, sans fusil, sans équipement, les mains crispées sur sa capote qu’il maintient ouverte sur sa poitrine nue, s’avance droit vers nous ; il lance, en passant devant la musique, un regard de brute méchante.
– Où vas-tu ? lui crie HACHARD.
– Est-ce que je sais où je vais, imbécile !
Les blessés se traînent, appuyés sur les branches d’arbres, ou sur des fusils brisés. Ceux qui ne peuvent pas marcher sont emportés par des moyens de fortune. On les a empilés, pêle-mêle, dans des charrettes trouvées dans les villages."
Bonne soirée.
Stéphan
Et celui-ci... 23 août 14... il semble avoir tout perdu... même la tête. Il ne lui reste que la capote...
"Un fantassin, nue tête, sans sac, sans fusil, sans équipement, les mains crispées sur sa capote qu’il maintient ouverte sur sa poitrine nue, s’avance droit vers nous ; il lance, en passant devant la musique, un regard de brute méchante.
– Où vas-tu ? lui crie HACHARD.
– Est-ce que je sais où je vais, imbécile !
Les blessés se traînent, appuyés sur les branches d’arbres, ou sur des fusils brisés. Ceux qui ne peuvent pas marcher sont emportés par des moyens de fortune. On les a empilés, pêle-mêle, dans des charrettes trouvées dans les villages."
Bonne soirée.
Stéphan