Bonjour,
"Chantier : Japon
En service : 1916
Retiré : 1919
Caractéristiques : 215 t.
Chalutier japonais SEIRYO MARU
1916 : Acheté par la Marine française
Renommé HELIOTROPE
Service à Brest
1919 : Vendu à la pêche."
Selon l'ouvrage de JM Roche.
A bientôt.
HELIOTROPE - Patrouilleur ex-chalutier japonais
HELIOTROPE - Patrouilleur ex-chalutier japonais
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
HÉLIOTROPE — Patrouilleur, ex-chalutier japonais Seiryo-Maru (1916~1919).
Bonsoir à tous,
Héliotrope — Patrouilleur, ex-chalutier japonais Seiryo-Maru (1916~1919).
Héliotrope — Patrouilleur, ex-chalutier japonais Seiryo-Maru (1916~1919).
Le patrouilleur Héliotrope fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 25 janvier 1917 au 11 décembre 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 746.]
Avec, d'une part, six autres chalutiers de fort tonnage (Cyclamen, Gorille, Guenon, Martin-Pêcheur, Mauviette et Ortolan) et, d'autre part, dix-huit plus petits chalutiers (Aussière, Batayolle, Beaupré, Blaireau, Bonite, Bonnette, Bosse, Bras, Brigantine, Capelage, Cosse, Éperlan, Flèche, Foc, Hau-ban, Plie, Saumon, Tapecul et Vergue), il fut mis en vente par le Sous-secrétariat à la liquidation des stocks le 4 décembre 1919 dans les locaux de la Préfecture maritime de Rochefort selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.238, Dimanche 23 novembre 1919, p. 6).
Il fut alors adjugé pour le prix de 270.000 fr. à un sieur Ramolina, domicilié à Paris (Le Yacht, n° 1.918, Samedi 27 décembre 1919, p. 720).
En 1923, ce bâtiment était attaché au port de Lorient, ayant pour patron François LE MEAUX, inscrit au quartier d’Auray, n° 2.635 (Cf. J.O. 24 sept. 1923, p. 9.315).
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 746.]
Avec, d'une part, six autres chalutiers de fort tonnage (Cyclamen, Gorille, Guenon, Martin-Pêcheur, Mauviette et Ortolan) et, d'autre part, dix-huit plus petits chalutiers (Aussière, Batayolle, Beaupré, Blaireau, Bonite, Bonnette, Bosse, Bras, Brigantine, Capelage, Cosse, Éperlan, Flèche, Foc, Hau-ban, Plie, Saumon, Tapecul et Vergue), il fut mis en vente par le Sous-secrétariat à la liquidation des stocks le 4 décembre 1919 dans les locaux de la Préfecture maritime de Rochefort selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.238, Dimanche 23 novembre 1919, p. 6).
Il fut alors adjugé pour le prix de 270.000 fr. à un sieur Ramolina, domicilié à Paris (Le Yacht, n° 1.918, Samedi 27 décembre 1919, p. 720).
En 1923, ce bâtiment était attaché au port de Lorient, ayant pour patron François LE MEAUX, inscrit au quartier d’Auray, n° 2.635 (Cf. J.O. 24 sept. 1923, p. 9.315).
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.