□ Bâtiment du nom d'Eugène Pierre Marie BUINO, né le 7 octobre 1886 à Malensac (Morbihan), domi-cilié en dernier lieu à Vannes (– d° –), disparu le 13 décembre 1917 avec le patrouilleur auxiliaire Paris-II (Lieutenant de vaisseau Louis Victor Mars ROLLIN, commandant), coulé par une batterie terrestre turque dans la crique du cap Avova, patrouilleur à bord duquel il était embarqué en qualité d’officier en second. Maître timonier, inscrit au quartier d’Auray, f° 2.334, n° 4.668.
Avait été promu au grade de maître timonier à compter du 1er octobre 1916 par une décision minis-térielle du 26 septembre 1916 (J.O. 28 sept. 1916, p. 8.567 et 8.568).
• Fils de Jean Pierre Marie BUINO, né le 29 mars 1856 à Pluherlin (Morbihan), facteur [Tisserand en 1881 ~ Receveur des Postes en 1912], et de Marie Rose GAIN, née le 25 mars 1859 à Pluherlin, « ménagère » [Cultivatrice en 1881] ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 22 février 1881 (Registre des actes de mariage de la commune de Pluherlin, Année 1881, f° 2, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Malensac, Année 1886, f° 15, acte n° 53).
• Époux de Léonie Anastasie Jeanne Marie LE VÉCHER, née le 10 juillet 1892 à Trédion (Morbihan), institutrice, avec laquelle il avait contracté mariage à Étables-sur-Mer (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), le 6 mai 1912 (Registre des actes de mariage de la commune d’Étables-sur-Mer, Année 1912, f° 7, acte n° 6).
□ Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 19 oct. 1918, p. 9.109) : « Buino (Eugène-Pierre-Marie), maître timonier, Auray 4.568, du Paris-II : blessé grièvement, est resté à son poste de combat près de son commandant blessé. A pris la barre et a gouverné jusqu’à ce que le bâtiment coule. Présumé disparu avec le bâtiment. »
□ Par décision ministérielle du 3 janvier 1918 (J.O. 22 juin 1917, p. 4.814), promu à titre posthume au grade de premier maître timonier à compter du 1er octobre 1917.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 4 juin 1919, inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier dans les termes suivants (J.O. 6 juin 1919, p. 5.933 et 5.937) : « Buino (Eugène), 4.668 Auray, maître timonier : blessé grièvement le 13 décembre 1917, est resté à son poste de combat près de son commandant blessé. A pris la barre et a gouverné jusqu’à ce que le bâtiment coule. Présumé disparu avec le bâtiment. »
□ Son nom a été donné à une rue de Malensac.
Avait été promu au grade de maître timonier à compter du 1er octobre 1916 par une décision minis-térielle du 26 septembre 1916 (J.O. 28 sept. 1916, p. 8.567 et 8.568).
• Fils de Jean Pierre Marie BUINO, né le 29 mars 1856 à Pluherlin (Morbihan), facteur [Tisserand en 1881 ~ Receveur des Postes en 1912], et de Marie Rose GAIN, née le 25 mars 1859 à Pluherlin, « ménagère » [Cultivatrice en 1881] ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 22 février 1881 (Registre des actes de mariage de la commune de Pluherlin, Année 1881, f° 2, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Malensac, Année 1886, f° 15, acte n° 53).
• Époux de Léonie Anastasie Jeanne Marie LE VÉCHER, née le 10 juillet 1892 à Trédion (Morbihan), institutrice, avec laquelle il avait contracté mariage à Étables-sur-Mer (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), le 6 mai 1912 (Registre des actes de mariage de la commune d’Étables-sur-Mer, Année 1912, f° 7, acte n° 6).
□ Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 19 oct. 1918, p. 9.109) : « Buino (Eugène-Pierre-Marie), maître timonier, Auray 4.568, du Paris-II : blessé grièvement, est resté à son poste de combat près de son commandant blessé. A pris la barre et a gouverné jusqu’à ce que le bâtiment coule. Présumé disparu avec le bâtiment. »
□ Par décision ministérielle du 3 janvier 1918 (J.O. 22 juin 1917, p. 4.814), promu à titre posthume au grade de premier maître timonier à compter du 1er octobre 1917.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 4 juin 1919, inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier dans les termes suivants (J.O. 6 juin 1919, p. 5.933 et 5.937) : « Buino (Eugène), 4.668 Auray, maître timonier : blessé grièvement le 13 décembre 1917, est resté à son poste de combat près de son commandant blessé. A pris la barre et a gouverné jusqu’à ce que le bâtiment coule. Présumé disparu avec le bâtiment. »
□ Son nom a été donné à une rue de Malensac.