Depuis longtemps je suis à le recherche du livre:
"ATLAS DES NECROPOLES NATIONALES, FRANCE. DELEGATION A LA MEMOIRE ET A L'INFORMATION HISTORIQUE ISBN 2110027371
mais, en Angleterre où j'habite, il est tout-à-fait impossible à trouver. Quelqu'un pourrait-il m'aider à me le procurer, neuf, d'occasion ou en copie ?
Merci,
Robert
Atlas des Necroples Nationales
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Re: Atlas des Necroples Nationales
Bonjour Bob,
Apparemment, il date de 1994 (La Documentation Française) et est épuisé.
http://crdp.ac-reims.fr/memoire/ressources/travail.htm
Parfois, on le trouve sur un site d'enchères bien connu...
http://cgi.ebay.fr/Atlas-des-necropoles ... 286.c0.m14
Voici d'autres informations, à défaut de pouvoir vous procurer cet ouvrage :
<< Auteur : Ministère des Anciens Combattants
Titre : Atlas des nécropoles nationales, Paris, 1994, 54 p.
Témoins de l'histoire de notre pays, 265 cimetières classés "nécropoles nationales" s'inscrivent dans le paysage français comme autant de lieux de commémoration. Cet atlas se propose d'en fournir une cartographie.
Au sens législatif du terme, une nécropole nationale regroupe des corps de combattants "Morts pour la France" en temps de guerre, bénéficiant d'une sépulture perpétuelle entretenue aux frais de l'État dans un terrain acquis par celui-ci.
Longtemps réservée aux chefs de guerre, la tombe individuelle s'est généralisée pendant le conflit 1914-1918. La géographie de ces nécropoles, primitivement aménagées près des lieux de combats ou des hôpitaux d'arrière, a été modifiée par une politique de restitution des corps aux familles et de regroupement de cimetières. Pour la Seconde Guerre mondiale, les nécropoles françaises sont essentiellement, aujourd'hui, des nécropoles de regroupement.
Actuellement, sur quelques 330 ha, reposent les restes mortels de près de 730.000 combattants.
Certaines précisions doivent a priori être données au lecteur
* La définition fournie ci-dessus induit l'absence, dans ce document, des "carrés militaires" situés dans les cimetières communaux,
* N'y figure pas non plus la majorité des monuments - ossuaires concernant la guerre de 1870-1871, aucun recensement exhaustif n'en ayant été jusqu'alors réalisé.
Une telle opération devrait pouvoir être programmée, dont les résultats seraient intégrés dans des éditions ultérieures de cet atlas.
Celles-ci prendront aussi en compte les nécropoles françaises situées à l'étranger, sans lesquelles une vision des cimetières militaires en tant que lieux de mémoire ne serait pas complète.
Dans les nécropoles présentées ici reposent des "Morts pour la France" : militaires de l'armée française de 1855 à 1986, Résistants, Déportés, Travailleurs étrangers incorporés, etc.
Souvent, à leurs côtés, des militaires de diverses armées alliées mais aussi ennemies, sont ensevelis dans des sépultures distinctes.
Des volontaires étrangers engagés à la Légion combattirent dans les rangs de l'armée française, et cela depuis 1830. Tombés sous le drapeau tricolore, ils reposent dans les cimetières nationaux sans distinction de nationalité, au même titre que les militaires français.
La Nation entretient à perpétuité (loi du 29 décembre 1915) tous ces corps inhumés soit en tombes individuelles ou collectives, soit en ossuaires. La charge en incombe au Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.
Lorsque les visiteurs (pèlerins, historiens, voire simples touristes) parcourront ces lieux de recueillement, ils remarqueront que chacune des tombes est ornée d'un emblème croix latine pour le plus grand nombre. Celle-ci fut imposée sur toutes les tombes pour lesquelles une stèle différente n'était pas demandée (israélite, musulmane, animiste ou libre-penseur). Ceci pour les sépultures françaises. Quant aux autres nationalités, chaque pays a muni ses tombes d'un emblème particulier : ainsi, dans les cimetières britanniques, une stèle identique pour les divers contingents du Commonwealth ; une stèle pointue pour les Soviétiques, une croix orthodoxe pour les Russes impériaux ; une croix latine pour les Italiens, les Serbes, les Polonais, les Tchèques, une stèle avec chapiteau ionique pour les Belges ; une croix ou une stèle de marbre pour les Américains : une croix massive ou une stèle de granit pour les Allemands une croix latine tréflée pour les Roumains, etc...
Les services français prennent en charge les tombes étrangères situées dans ces nécropoles, à titre de réciprocité puisque des "Morts pour la France" sont inhumés dans des cimetières britanniques, allemands... >>
Source : bibliothèque de "La France Généalogique" (Centre d'Entraide Généalogique de France)
http://www.cegf.org/numeric/pages/biblio/_biblio.htm
Cordialement,
Yv'
Apparemment, il date de 1994 (La Documentation Française) et est épuisé.
http://crdp.ac-reims.fr/memoire/ressources/travail.htm
Parfois, on le trouve sur un site d'enchères bien connu...
http://cgi.ebay.fr/Atlas-des-necropoles ... 286.c0.m14
Voici d'autres informations, à défaut de pouvoir vous procurer cet ouvrage :
<< Auteur : Ministère des Anciens Combattants
Titre : Atlas des nécropoles nationales, Paris, 1994, 54 p.
Témoins de l'histoire de notre pays, 265 cimetières classés "nécropoles nationales" s'inscrivent dans le paysage français comme autant de lieux de commémoration. Cet atlas se propose d'en fournir une cartographie.
Au sens législatif du terme, une nécropole nationale regroupe des corps de combattants "Morts pour la France" en temps de guerre, bénéficiant d'une sépulture perpétuelle entretenue aux frais de l'État dans un terrain acquis par celui-ci.
Longtemps réservée aux chefs de guerre, la tombe individuelle s'est généralisée pendant le conflit 1914-1918. La géographie de ces nécropoles, primitivement aménagées près des lieux de combats ou des hôpitaux d'arrière, a été modifiée par une politique de restitution des corps aux familles et de regroupement de cimetières. Pour la Seconde Guerre mondiale, les nécropoles françaises sont essentiellement, aujourd'hui, des nécropoles de regroupement.
Actuellement, sur quelques 330 ha, reposent les restes mortels de près de 730.000 combattants.
Certaines précisions doivent a priori être données au lecteur
* La définition fournie ci-dessus induit l'absence, dans ce document, des "carrés militaires" situés dans les cimetières communaux,
* N'y figure pas non plus la majorité des monuments - ossuaires concernant la guerre de 1870-1871, aucun recensement exhaustif n'en ayant été jusqu'alors réalisé.
Une telle opération devrait pouvoir être programmée, dont les résultats seraient intégrés dans des éditions ultérieures de cet atlas.
Celles-ci prendront aussi en compte les nécropoles françaises situées à l'étranger, sans lesquelles une vision des cimetières militaires en tant que lieux de mémoire ne serait pas complète.
Dans les nécropoles présentées ici reposent des "Morts pour la France" : militaires de l'armée française de 1855 à 1986, Résistants, Déportés, Travailleurs étrangers incorporés, etc.
Souvent, à leurs côtés, des militaires de diverses armées alliées mais aussi ennemies, sont ensevelis dans des sépultures distinctes.
Des volontaires étrangers engagés à la Légion combattirent dans les rangs de l'armée française, et cela depuis 1830. Tombés sous le drapeau tricolore, ils reposent dans les cimetières nationaux sans distinction de nationalité, au même titre que les militaires français.
La Nation entretient à perpétuité (loi du 29 décembre 1915) tous ces corps inhumés soit en tombes individuelles ou collectives, soit en ossuaires. La charge en incombe au Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.
Lorsque les visiteurs (pèlerins, historiens, voire simples touristes) parcourront ces lieux de recueillement, ils remarqueront que chacune des tombes est ornée d'un emblème croix latine pour le plus grand nombre. Celle-ci fut imposée sur toutes les tombes pour lesquelles une stèle différente n'était pas demandée (israélite, musulmane, animiste ou libre-penseur). Ceci pour les sépultures françaises. Quant aux autres nationalités, chaque pays a muni ses tombes d'un emblème particulier : ainsi, dans les cimetières britanniques, une stèle identique pour les divers contingents du Commonwealth ; une stèle pointue pour les Soviétiques, une croix orthodoxe pour les Russes impériaux ; une croix latine pour les Italiens, les Serbes, les Polonais, les Tchèques, une stèle avec chapiteau ionique pour les Belges ; une croix ou une stèle de marbre pour les Américains : une croix massive ou une stèle de granit pour les Allemands une croix latine tréflée pour les Roumains, etc...
Les services français prennent en charge les tombes étrangères situées dans ces nécropoles, à titre de réciprocité puisque des "Morts pour la France" sont inhumés dans des cimetières britanniques, allemands... >>
Source : bibliothèque de "La France Généalogique" (Centre d'Entraide Généalogique de France)
http://www.cegf.org/numeric/pages/biblio/_biblio.htm
Cordialement,
Yv'
Re: Atlas des Necroples Nationales
Yv'
le merci pour votre aide et tous les informations. Avec optimisme cela pourrait me montrer où acheter celui,
Robert
le merci pour votre aide et tous les informations. Avec optimisme cela pourrait me montrer où acheter celui,
Robert