Bonjour,
J'ai cherché sur le forum avant de lancé ce post et ne pense pas que la question ait déjà été posée.
Je cherche des renseignements sur les régiments de pionniers et de sapeurs-mineurs allemands chargés en 1917, lors du retrait vers la ligne Hindenburg, des destructions de maisons, des installations industrielles et de miner les routes et les ponts.
Connaissez-vous des ouvrages, des articles sur le sujet ? Peut-être existe-t-il l'équivalent de JMO pour l'armée allemande ?
Je m'interroge notamment sur l'organisation de ces régiments, sur la manière dont les ordres étaient donnés, sur le matériel utilisé, etc.
J'ai bien lu des articles d'époque relatant ces dévastations. J'ai également vu quelques instantanés amateurs pris ici ou là au moment du retrait, mais rien de précis sur ceux chargés de cette tâche
Par avance merci.
Et surtout de bonnes fêtes à tous !
Cornette
pionniers et sapeurs mineurs allemands
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour Cornette,
Leur organisation n'est pas plus simple que la Française. L'idéal est de trouver le livre historique de l'unité concernée. Bien souvent c'est du succinct. Le seul que je connaisse concerne le "Das Württembergische Pionier Bataillon" qui dresse un historique sommaire des bataillons, compagnies de pionniers - pionniers mineurs d'active, de réserve, de Landwehr, de landsturm et d'ersatz, des compagnies de pont ainsi que celui de diverses sections quelque soit leur spécialité. On y trouve même les compagnies de Minenwerfer.
Quel secteur vous intéresse dans ce que les Allemands ont baptisé "opération Alberich" (repli sur la ligne Siegfried : 280 villages détruits par le Génie Allemand sans qu'il y eu combat).
Friedel Riedel a dans son livre "Das Gesicht des Krieges - Le visage de la guerre" publié des photographies prises par le Lt d'artillerie de réserve Von Armin Stäbler. Cet Officier qui s'insurgeait de ces destructions a en guise de témoignage photographié le secteur de Croisilles avant et après les destructions. Il était Wurtembourgeois.
Cordialement
Patrick
Leur organisation n'est pas plus simple que la Française. L'idéal est de trouver le livre historique de l'unité concernée. Bien souvent c'est du succinct. Le seul que je connaisse concerne le "Das Württembergische Pionier Bataillon" qui dresse un historique sommaire des bataillons, compagnies de pionniers - pionniers mineurs d'active, de réserve, de Landwehr, de landsturm et d'ersatz, des compagnies de pont ainsi que celui de diverses sections quelque soit leur spécialité. On y trouve même les compagnies de Minenwerfer.
Quel secteur vous intéresse dans ce que les Allemands ont baptisé "opération Alberich" (repli sur la ligne Siegfried : 280 villages détruits par le Génie Allemand sans qu'il y eu combat).
Friedel Riedel a dans son livre "Das Gesicht des Krieges - Le visage de la guerre" publié des photographies prises par le Lt d'artillerie de réserve Von Armin Stäbler. Cet Officier qui s'insurgeait de ces destructions a en guise de témoignage photographié le secteur de Croisilles avant et après les destructions. Il était Wurtembourgeois.
Cordialement
Patrick
Patrick
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Patrick bonsoir,
Merci pour votre message !
En fait, je m'intéresse à l'ensemble de la ligne Hindenburg...
Plus particulièrement les secteurs de St-Quentin-Péronne-Roye-Noyon-Soissons, mais aussi d'Arras-Bapaume.
J'ignore ce qui a bien pu se passer entre Orne et Arnaville et me demandais également si la politique de glacis avait concerné en 1917 certains secteurs de la Belgique.
Auriez-vous les références exactes de l'ouvrage de Friedel Riedel que vous citez ? Ce serait pour moi un bon point de départ.
Par avance merci.
Bien cordialement
Cornette
Merci pour votre message !
En fait, je m'intéresse à l'ensemble de la ligne Hindenburg...
Plus particulièrement les secteurs de St-Quentin-Péronne-Roye-Noyon-Soissons, mais aussi d'Arras-Bapaume.
J'ignore ce qui a bien pu se passer entre Orne et Arnaville et me demandais également si la politique de glacis avait concerné en 1917 certains secteurs de la Belgique.
Auriez-vous les références exactes de l'ouvrage de Friedel Riedel que vous citez ? Ce serait pour moi un bon point de départ.
Par avance merci.
Bien cordialement
Cornette
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour.
Ah ! la ligne Hindenburg, ce n'est pas facile de trouver des documents sur sa construction (les documents existent pourtant en Allemagne certains ont hélas été détruits et pour trouver, il faut être sur place et bien utiliser la langue).
Quant à l'opération Alberich (4 février - 14 mars 1917) à part quelques annectodes comme les pièges explosifs déposés dans les caves de la mairie de Bapaume, il est difficile de connaître exactement quand et comment ces pièges ont été disposés.
Mairie de Vélu, maisons à Lebucquières, mines déposées dans les mûches d'Hermies, incendies de Metz en couture, de Trescault (début mars 17), destruction des châteaux de Vélu, de Manancourt, destruction de la raperie de Bertincourt, dynamitages des maisons à Hermies, destructions des voûtes du souterrain de Ruyaucourt, destruction du siphon de l'agache à Sains les Marquion, également dynamitage des clochers entre octobre et mars 1917, Ribécourt, Gouzeaucourt, Villers guislain, etc, etc.
Le sujet est vaste, les villages ont été saccagé mais par tronçon, des maisons laissées intactes mais piégées : explosifs dans les conduits de cheminées, ficelles reliées avec des explosifs aux portes, aux chaises,aux meubles. Le dynamitage des carrefours et des routes avec des obus tranformés en mines sous pression, etc.
J'ai cherché aussi des documents mais j'ai trouvé peu de choses si ce n'est que des approximations.
Si ces quelques lignes peuvent vous guider.
Cordialement
FVB.
Ah ! la ligne Hindenburg, ce n'est pas facile de trouver des documents sur sa construction (les documents existent pourtant en Allemagne certains ont hélas été détruits et pour trouver, il faut être sur place et bien utiliser la langue).
Quant à l'opération Alberich (4 février - 14 mars 1917) à part quelques annectodes comme les pièges explosifs déposés dans les caves de la mairie de Bapaume, il est difficile de connaître exactement quand et comment ces pièges ont été disposés.
Mairie de Vélu, maisons à Lebucquières, mines déposées dans les mûches d'Hermies, incendies de Metz en couture, de Trescault (début mars 17), destruction des châteaux de Vélu, de Manancourt, destruction de la raperie de Bertincourt, dynamitages des maisons à Hermies, destructions des voûtes du souterrain de Ruyaucourt, destruction du siphon de l'agache à Sains les Marquion, également dynamitage des clochers entre octobre et mars 1917, Ribécourt, Gouzeaucourt, Villers guislain, etc, etc.
Le sujet est vaste, les villages ont été saccagé mais par tronçon, des maisons laissées intactes mais piégées : explosifs dans les conduits de cheminées, ficelles reliées avec des explosifs aux portes, aux chaises,aux meubles. Le dynamitage des carrefours et des routes avec des obus tranformés en mines sous pression, etc.
J'ai cherché aussi des documents mais j'ai trouvé peu de choses si ce n'est que des approximations.
Si ces quelques lignes peuvent vous guider.
Cordialement
FVB.
1892
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour à tous, bonjour Cornette,
Voici le secteur concerné par Alberich
[URL=http://imageshack.us/photo/my-imag ... .jpg[/IMG]
Uploaded with ImageShack.us[/url]
Orne et Arnaville ? Le département et Arnaville en Meurthe et Moselle ?
Pour la Belgique, je ne pense pas car il n'y a pas eu de repli tactique allemand dans la Région. Le secteur de Messines était fortifié depuis 14 et du côté d'Ypres les allemands avaient maintenu le front existant.
Cordialement
Patrick
Voici le secteur concerné par Alberich
[URL=http://imageshack.us/photo/my-imag ... .jpg[/IMG]
Uploaded with ImageShack.us[/url]
Orne et Arnaville ? Le département et Arnaville en Meurthe et Moselle ?
Pour la Belgique, je ne pense pas car il n'y a pas eu de repli tactique allemand dans la Région. Le secteur de Messines était fortifié depuis 14 et du côté d'Ypres les allemands avaient maintenu le front existant.
Cordialement
Patrick
Patrick
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonsoir,
Merci à tous les deux pour commencer pour ces indications.
J'avais déjà vu ce document reproduisant le tracé de l'opération Alberich.
J'avais cru comprendre qu'en Meurthe-et-Moselle (position Saint-Michel) des destructions avaient également été perpétrées.
Enfin, je m'étais demandée si en Belgique, dans la zone Anvers-Bruxelles-Meuse, des enlèvements de matériels, voire des destructions de machines n'avaient pas aussi eu lieu ? Il existait semble-t-il, comme en France du Nord, des commissions spéciales chargées de faire le relevé estimatif de toutes les machines ou matériel qui pourraient servir l’industrie allemande afin de procéder ensuite aux réquisitions.
Bonne soirée
Bien cordialement
Cornette
Merci à tous les deux pour commencer pour ces indications.
J'avais déjà vu ce document reproduisant le tracé de l'opération Alberich.
J'avais cru comprendre qu'en Meurthe-et-Moselle (position Saint-Michel) des destructions avaient également été perpétrées.
Enfin, je m'étais demandée si en Belgique, dans la zone Anvers-Bruxelles-Meuse, des enlèvements de matériels, voire des destructions de machines n'avaient pas aussi eu lieu ? Il existait semble-t-il, comme en France du Nord, des commissions spéciales chargées de faire le relevé estimatif de toutes les machines ou matériel qui pourraient servir l’industrie allemande afin de procéder ensuite aux réquisitions.
Bonne soirée
Bien cordialement
Cornette
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour
L'opération Alberich a totalement désorganisé les troupes françaises et anglaises qui ont perdu des hommes à cause des pièges, il a fallu visiter, fouiller en prenant de nombreuses précautions donc du temps.
Il a fallu reconstituer routes, ponts, voies ferrées au détriment de la mise en place d'un système défensif continu si bien que le 21 mars 1918, ce dispositif de défense continu était incomplet si n'est que des redoutes comme "Mancherter Hill" à Savy, 02, "le Saillant de FlesqUières" (partie de la position Hindenburg), Les alentours de la ferme Vaucelette à Villers-Guislain, 59, Epehy, Ronssoy, etc, etc.
Les destruction de l'opération Alberich se sont arrétées aux lisières de la position Siegfried hormis à Havricourt, 62 où la partie sud-ouest du village a été détruite afin d'avoir un espace de tir dégagé (parc du château, château, sucrerie, maisons au sud et à l'ouest, bois en partie, église totalement détruite.
Dans la position même et à l'arrière de celle-ci, les villages sont plus ou moins restés intacts hormis les cheminées d'usines, les clochers d'églises (les villages ont ensuite été détruits lors des combats)
Les villages intégrés dans le premier système étaient plus ou moins fortifiés comme à Moeuvres, Havrincourt, Banteux, Vendhuile, Le canal de Saint-Quentin (partie Maquincourt-Riqueval) zone située au-dessus du souterrain (6 km) Bellicourt, Bellenglise (la rive nord avec de nombreux blockhaus) etc.
La ligne Hindenburg (position Siegfried de Tilloy-les-mofflaines à Saint-Quentin) puis Alberich au-delà de cette ville vers La Fère comporte plusieurs systèmes avec des noms différents sans compter les nombreuses positions perpendiculaires appelées Riegel telles Buissy-Quéant Riegel, Havrincourt Riegel, Faffner nord et sud à Bourlon-Marquion et entre la position Siegried et Zwiechen les nombreux emplacements de minenwerfers enterrés (boisés ou bétonnés), et les différents Stronpoints (points forts ou blockhaus).
Je pourrais aussi parles des accidents du terrain comme la tranchée vide du Canal du Nord (Hermies- Sains-les-Marquion), le canal de Saint-quentin (rive est), les rivières Hirondelle, Escaut et Torrent d'Esnes, les zones innondées de Honnecourt, Ossu,(Escaut) Bellenglise, Pontruet (l'Omignon), etc.
le système défensif allemand est vaste les réserves d'eau du Canal de St-Quentin (Cambrai-St-Quentin) et Escaut Rivière servent à alimenter des zones inondables par mise en place de barrages en BA (construits par les Allemands) et de vannes existantes du service navigation ou mis en place par les Allemands pour alimenter en eau ces différentes zones.
je m'explique dans les zones où le canal est en remblai on crée de futures zones inondables par création dans la berge ouest d'ouvertures qui sont fermées par des poutrelles (batardeaux)
Dans les zones en déblai on installe à chaque extrémité un barrage en BA (exemple à Bellenglise) ou un barrage avec barges lestées de béton de façon à créer un zone en eau infranchissable, largeur entre 22 et 25 m.
L'Escaut rivière a eu son lit fermé en plisieurs endroits afin de faire monter les eaux pour inonder les abords du canal et de la rivière (à Honnecourt et Bantouzelle.
Des blocages d'écluses par immersion de barges remplies de sacs de béton pour povoquer ou inondations ou zones d'accès difficiles (à Morcourt par exemple.
tout ceci pour rappeler la complexité du système Hindenburg.
Des informations sans doute connues de tous mais il est parfois bon de rappeler certains détails.
Cordialement.
FVB
L'opération Alberich a totalement désorganisé les troupes françaises et anglaises qui ont perdu des hommes à cause des pièges, il a fallu visiter, fouiller en prenant de nombreuses précautions donc du temps.
Il a fallu reconstituer routes, ponts, voies ferrées au détriment de la mise en place d'un système défensif continu si bien que le 21 mars 1918, ce dispositif de défense continu était incomplet si n'est que des redoutes comme "Mancherter Hill" à Savy, 02, "le Saillant de FlesqUières" (partie de la position Hindenburg), Les alentours de la ferme Vaucelette à Villers-Guislain, 59, Epehy, Ronssoy, etc, etc.
Les destruction de l'opération Alberich se sont arrétées aux lisières de la position Siegfried hormis à Havricourt, 62 où la partie sud-ouest du village a été détruite afin d'avoir un espace de tir dégagé (parc du château, château, sucrerie, maisons au sud et à l'ouest, bois en partie, église totalement détruite.
Dans la position même et à l'arrière de celle-ci, les villages sont plus ou moins restés intacts hormis les cheminées d'usines, les clochers d'églises (les villages ont ensuite été détruits lors des combats)
Les villages intégrés dans le premier système étaient plus ou moins fortifiés comme à Moeuvres, Havrincourt, Banteux, Vendhuile, Le canal de Saint-Quentin (partie Maquincourt-Riqueval) zone située au-dessus du souterrain (6 km) Bellicourt, Bellenglise (la rive nord avec de nombreux blockhaus) etc.
La ligne Hindenburg (position Siegfried de Tilloy-les-mofflaines à Saint-Quentin) puis Alberich au-delà de cette ville vers La Fère comporte plusieurs systèmes avec des noms différents sans compter les nombreuses positions perpendiculaires appelées Riegel telles Buissy-Quéant Riegel, Havrincourt Riegel, Faffner nord et sud à Bourlon-Marquion et entre la position Siegried et Zwiechen les nombreux emplacements de minenwerfers enterrés (boisés ou bétonnés), et les différents Stronpoints (points forts ou blockhaus).
Je pourrais aussi parles des accidents du terrain comme la tranchée vide du Canal du Nord (Hermies- Sains-les-Marquion), le canal de Saint-quentin (rive est), les rivières Hirondelle, Escaut et Torrent d'Esnes, les zones innondées de Honnecourt, Ossu,(Escaut) Bellenglise, Pontruet (l'Omignon), etc.
le système défensif allemand est vaste les réserves d'eau du Canal de St-Quentin (Cambrai-St-Quentin) et Escaut Rivière servent à alimenter des zones inondables par mise en place de barrages en BA (construits par les Allemands) et de vannes existantes du service navigation ou mis en place par les Allemands pour alimenter en eau ces différentes zones.
je m'explique dans les zones où le canal est en remblai on crée de futures zones inondables par création dans la berge ouest d'ouvertures qui sont fermées par des poutrelles (batardeaux)
Dans les zones en déblai on installe à chaque extrémité un barrage en BA (exemple à Bellenglise) ou un barrage avec barges lestées de béton de façon à créer un zone en eau infranchissable, largeur entre 22 et 25 m.
L'Escaut rivière a eu son lit fermé en plisieurs endroits afin de faire monter les eaux pour inonder les abords du canal et de la rivière (à Honnecourt et Bantouzelle.
Des blocages d'écluses par immersion de barges remplies de sacs de béton pour povoquer ou inondations ou zones d'accès difficiles (à Morcourt par exemple.
tout ceci pour rappeler la complexité du système Hindenburg.
Des informations sans doute connues de tous mais il est parfois bon de rappeler certains détails.
Cordialement.
FVB
1892
- stefbreizh56
- Messages : 417
- Inscription : ven. juil. 13, 2007 2:00 am
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour,
Deux extraits du livre "Recueil de documents militaires allemands de la Grande Guerre 1914-1918" par l'officier -interprète GRIFFON - Ed° Chapelot (1920).
Vous y trouverez quelques informations sur l'organisation et l'évolution de l'organisation des pionniers durant le conflit. Il est précisé en fin de page que les matériels utilisés ainsi que les conditions d'emploi de la troupe étaient analogues à ceux du génie français.


Cdt,Stef
Deux extraits du livre "Recueil de documents militaires allemands de la Grande Guerre 1914-1918" par l'officier -interprète GRIFFON - Ed° Chapelot (1920).
Vous y trouverez quelques informations sur l'organisation et l'évolution de l'organisation des pionniers durant le conflit. Il est précisé en fin de page que les matériels utilisés ainsi que les conditions d'emploi de la troupe étaient analogues à ceux du génie français.


Cdt,Stef
"En essayant continuellement,on finit par réussir.
Donc: plus ça rate,plus on a de chance que ça marche" (Les Shadocks)
Donc: plus ça rate,plus on a de chance que ça marche" (Les Shadocks)
- stefbreizh56
- Messages : 417
- Inscription : ven. juil. 13, 2007 2:00 am
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonjour,
Je joins également un cliché tiré de la revue allemande "Illustrierte Geschichte des Weltkrieges 1914/17" page 320.
Cette vue aérienne,d'après la légende,représente une portion de la route ROYE-LIANCOURT détruite par les allemands. Les véhicules stationnés devant le premier cratère seraient français,toujours d'après la légende.
Malheureusement,ce cliché n'est pas daté mais l'ensemble du numéro traite des évènements entre mars et avril 1917 :

Cdt,Stef
Je joins également un cliché tiré de la revue allemande "Illustrierte Geschichte des Weltkrieges 1914/17" page 320.
Cette vue aérienne,d'après la légende,représente une portion de la route ROYE-LIANCOURT détruite par les allemands. Les véhicules stationnés devant le premier cratère seraient français,toujours d'après la légende.
Malheureusement,ce cliché n'est pas daté mais l'ensemble du numéro traite des évènements entre mars et avril 1917 :

Cdt,Stef
"En essayant continuellement,on finit par réussir.
Donc: plus ça rate,plus on a de chance que ça marche" (Les Shadocks)
Donc: plus ça rate,plus on a de chance que ça marche" (Les Shadocks)
Re: pionniers et sapeurs mineurs allemands
Bonsoir,
Merci à Steph' et à FVB pour ces documents et ces précisons ! Tout ceci commence à prendre de l'épaisseur.
Je n'avais pas pensé à l'Illustrierte Geschichte des Weltkrieges 1914/17, titre que je découvre.
Je me penche sur tout cela.
Bonne soirée.
Bien cordialement.
Cornette
Merci à Steph' et à FVB pour ces documents et ces précisons ! Tout ceci commence à prendre de l'épaisseur.
Je n'avais pas pensé à l'Illustrierte Geschichte des Weltkrieges 1914/17, titre que je découvre.
Je me penche sur tout cela.
Bonne soirée.
Bien cordialement.
Cornette