Frelon — Patrouilleur, ex-chalutier espagnol Bohemia (1916~1919).
Le patrouilleur Frelon fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 3 avril 1916 au 11 décembre 1918 ;
— du 5 avril au 18 août 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 743.]
Le patrouilleur Frelon, jaugeant brut 155 tx, fut mis en vente le 19 février 1920 par le Service de la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudi-cation publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.400, Mardi 3 février 1920, p. 4). Il fut alors adjugé pour le prix de 100.000 fr. à un sieur Filippi, établi à Marseille, au 21, place des Moulins (IIe Arr.) (J.O. 18 mars 1920, p. 4.497 — Partie « Avis et communications »).
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation trois patrouilleurs acquis par l’État au Japon durant la guerre : Glaïeul, ex-Sachi-Maru (199 tx jb), Glycine, ex-Yebisu-Maru-III (215 tx jb), et Lotus, ex-Shimonoseki-Maru (212 tx jb).
— du 3 avril 1916 au 11 décembre 1918 ;
— du 5 avril au 18 août 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 743.]
Le patrouilleur Frelon, jaugeant brut 155 tx, fut mis en vente le 19 février 1920 par le Service de la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudi-cation publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.400, Mardi 3 février 1920, p. 4). Il fut alors adjugé pour le prix de 100.000 fr. à un sieur Filippi, établi à Marseille, au 21, place des Moulins (IIe Arr.) (J.O. 18 mars 1920, p. 4.497 — Partie « Avis et communications »).
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation trois patrouilleurs acquis par l’État au Japon durant la guerre : Glaïeul, ex-Sachi-Maru (199 tx jb), Glycine, ex-Yebisu-Maru-III (215 tx jb), et Lotus, ex-Shimonoseki-Maru (212 tx jb).