Bonjour,
Ayant découvert qu'un des grands oncles avait été marin j'ai cherché à en savoir plus.
mes pas m'ont mené à Cherbourg où j'ai réussi à exhumer un(e) matricule.
Elle se trouvait dans les registres de l'Inscription provisoire, première interrogation ; que cela signifie t'il ?
Plus étonnant, après 3 ans de navigation à la petite pêche à Boulogne sur Mer le registre mentionne en 1909 que l'intéressé "a été informé des conséquences de son inscription définitive".
Je précise que ce grand oncle a été déclaré "exempté pour déformation du thorax "en 1906 par le conseil de révision de Boulogne sur Mer.
je perds ensuite sa trace,rien sur le matricule jusqu'en 1919 quand il reprend un embarquement.
Suite à cela on trouve la mention "rayé d'office"!
Je me permets de solliciter les membres du forum car la période de la guerre 14/18 est incuse dans les années que je cherche à éclaircir.
De plus il parlait anglais(de par sa mère) et que entre deux embarquements à la pèche il a envoyé des CP de New york..... à sa famille en France .....en parlant d'un cousin qui devait embarquer sur la TOURAINE de la CGT ??!!!
Tout cela a t'il un sens?
Au plaisir de vous lire.
Bernard
Inscription maritime
Re: Inscription maritime
des deux cotes de la manche
Re: Inscription maritime
Bonjour,
Tous les chemins mènent à Rome. Si j'ai bien compris votre démarche, au sens propre, puisque "mes pas m'ont mené à Cherbourg" (au fait, pourquoi Cherbourg et pas Toulon ou Rochefort ou ailleurs ?, peut-être en raison d'un lieu de naissance, non précisé ?), vous êtes un marcheur. Vous avez des talents de terrassier pour avoir "exhumer un(e) matricule. D'habitude, ce type de document est maintenu au sec, à température et hygrométrie constante, à l'abri de la lumière, conditions qui permettent la conservation dans le temps des écrits sur papier, ce que l'humus ne permet pas. Pour "exhumer", vous avez du avoir besoin d'une date de naissance, en plus du nom. Il est surprenant que vous ayez trouvé des "registres de l'Inscription provisoire" puisqu'une telle institution n'existe pas. On comprend dès lors que vous ayez eu une "première interrogation". Mais pourquoi n'avoir pas posé la question à Cherbourg qui aurait pu vous répondre de façon démonstrative, documents à l'appui, et exhaustive ? Ce qui existe, c'est le registre des inscrits provisoires, établis par l'Inscription Maritime. Qu'est ce que c'est ?
Avant 1661, pour disposer de marins à bord des navires de guerre, on pratiquait le système de la Presse. Cela consistait à fermer un port de commerce et à rafler toute la population mâle que l'on jugeait apte à servir quelque soit sa profession et sa situation". Système qui suscitait une véritable terreur, car il n'y avait pas de compensation ni de garanties, au risque de la durée, des blessures et de mort au combat ou encore de maladie. Cela nuisait aussi particulièrement au commerce qui perdait brutalement des équipages.
Lorsque Colbert prit la Direction des Affaires Navales de la France, il avait besoin de 8 à 10 000 hommes à la solde du Roi pour constituer les équipages de la Flotte. Il essaya d'abord l'appât de soldes plus fortes pour des engagements de deux à trois ans. Le résultat ne fut pas à la hauteur des espérances et il institua le système des classes : recensement de tous les gens de mer et leur division en classes. Il obtint ainsi un vivier de 60 000 hommes, avec 12 à 15 000 marins par classe, les hommes de la classe requise faisant une année de service. Nous sommes alors en 1669, alors que le service militaire obligatoire ne sera créé qu'en 1872…Pour compenser la servitude des marins, des secours furent accordés aux blessés et aux veuves, puis deux hôpitaux créés à Rochefort et à Toulon. En créant une retenue sur les soldes, il a financé l'Etablissement des Invalides qui pait les pensions des marins : les demi-soldes. L'Etablissement des Invalides recueille aussi le produit de la vente des prises en temps de guerre. L'ordonnance de 1681 a établi le détail du système des classes, devenu l'Inscription Maritime, et de son fonctionnement. Le système a perduré et c'est ainsi que l'on savait de quelle ressource on disposait en matière d'inscrits maritimes au début de la guerre de 1914-1918.
"En 1914, le nombre des inscrits maritimes était de 204 000 dont 60 000 âgés de plus de 50 ans et 24 500 de moins de 18 ans. Il ne restait donc que 120 000 inscrits mobilisables, dont 25 000 étaient déjà sous les drapeaux en juillet 1914, soit pour accomplir leur service militaire, soit comme sous-officiers de la flotte, la plupart des sous-officiers étant inscrits maritimes. Les 95 000 autres inscrits étaient en position de sursis ou de disponibilité, ou bien classés dans les diverses catégories de la réserve."
Source : La mobilisation de la flotte commerciale, capitaine de frégate de Rivoyre, page 353, tome V, La guerre navale racontée par nos amiraux, Librairie Schwarz, Paris, 1928.
Le registre des provisoires est le premier sur lequel sont inscrits les hommes qui demandent à devenir marins et qui doivent remplir des conditions, entre autres d'âge (minimum de 14 ans, avec le consentement des parents), et d'embarquement (il faut être engagé à bord d'un navire). Pour l'essentiel, ce sont les mousses et les novices qui sont concernés par le registre des provisoires. A dix-huit ans, ils passent dans le registre des définitifs. les conséquences principales sont les retenues sur salaire pour les Invalides, l'obligation de service militaire. Ils seront rayés de ce registre lorsqu'ils ne seront plus en service pour cause d'âge, de maladie, d'arrêt de la navigation. Ils passent alors au registre des hors services, jusqu'à leur mort et où on peut trouver leurs ayants droits, veuves et enfants. Eventuellement, ils peuvent être inscrits sur un quatrième registre, celui des maîtres au cabotage et des capitaines au long cours, lorsqu'ils exerçent un commandement.
La matricule a du vous fournir la date et le lieu des embarquements de votre ancêtre, avec le nom du bateau, le type de navigation pratiqué, la date débarquement et le lieu, la durée de navigation exprimée en années, mois et jours. Il est donc possible de reconstituer la carrière maritime d'un intéressé de façon précise. Vous n'indiquez pas la date de la fin des embarquements. On est donc dans le domaine des conjonctures, sachant que si la matricule ne détaille forcément la carrière dans la Marine nationale, le récapitulatif final précise la durée du service à la pêche, au commerce et à la guerre.
Si votre grand-oncle a pratiqué la petite pêche (à proximité des côtes), vous pratiquez la pêche à la ligne en ne donnant que des bribes d'informations sur sa carrière. Vous ne pouvez donc recueillir que quelques poissons. Pour faire bonne pêche, il faut un filet : un maximum d'informations précises (nom, date et lieu de naissance, éléments maritimes et autres).
Le sens marin n'est pas celui des terriens, et tous les marins ne l'ont pas…
Cordialement.
Tous les chemins mènent à Rome. Si j'ai bien compris votre démarche, au sens propre, puisque "mes pas m'ont mené à Cherbourg" (au fait, pourquoi Cherbourg et pas Toulon ou Rochefort ou ailleurs ?, peut-être en raison d'un lieu de naissance, non précisé ?), vous êtes un marcheur. Vous avez des talents de terrassier pour avoir "exhumer un(e) matricule. D'habitude, ce type de document est maintenu au sec, à température et hygrométrie constante, à l'abri de la lumière, conditions qui permettent la conservation dans le temps des écrits sur papier, ce que l'humus ne permet pas. Pour "exhumer", vous avez du avoir besoin d'une date de naissance, en plus du nom. Il est surprenant que vous ayez trouvé des "registres de l'Inscription provisoire" puisqu'une telle institution n'existe pas. On comprend dès lors que vous ayez eu une "première interrogation". Mais pourquoi n'avoir pas posé la question à Cherbourg qui aurait pu vous répondre de façon démonstrative, documents à l'appui, et exhaustive ? Ce qui existe, c'est le registre des inscrits provisoires, établis par l'Inscription Maritime. Qu'est ce que c'est ?
Avant 1661, pour disposer de marins à bord des navires de guerre, on pratiquait le système de la Presse. Cela consistait à fermer un port de commerce et à rafler toute la population mâle que l'on jugeait apte à servir quelque soit sa profession et sa situation". Système qui suscitait une véritable terreur, car il n'y avait pas de compensation ni de garanties, au risque de la durée, des blessures et de mort au combat ou encore de maladie. Cela nuisait aussi particulièrement au commerce qui perdait brutalement des équipages.
Lorsque Colbert prit la Direction des Affaires Navales de la France, il avait besoin de 8 à 10 000 hommes à la solde du Roi pour constituer les équipages de la Flotte. Il essaya d'abord l'appât de soldes plus fortes pour des engagements de deux à trois ans. Le résultat ne fut pas à la hauteur des espérances et il institua le système des classes : recensement de tous les gens de mer et leur division en classes. Il obtint ainsi un vivier de 60 000 hommes, avec 12 à 15 000 marins par classe, les hommes de la classe requise faisant une année de service. Nous sommes alors en 1669, alors que le service militaire obligatoire ne sera créé qu'en 1872…Pour compenser la servitude des marins, des secours furent accordés aux blessés et aux veuves, puis deux hôpitaux créés à Rochefort et à Toulon. En créant une retenue sur les soldes, il a financé l'Etablissement des Invalides qui pait les pensions des marins : les demi-soldes. L'Etablissement des Invalides recueille aussi le produit de la vente des prises en temps de guerre. L'ordonnance de 1681 a établi le détail du système des classes, devenu l'Inscription Maritime, et de son fonctionnement. Le système a perduré et c'est ainsi que l'on savait de quelle ressource on disposait en matière d'inscrits maritimes au début de la guerre de 1914-1918.
"En 1914, le nombre des inscrits maritimes était de 204 000 dont 60 000 âgés de plus de 50 ans et 24 500 de moins de 18 ans. Il ne restait donc que 120 000 inscrits mobilisables, dont 25 000 étaient déjà sous les drapeaux en juillet 1914, soit pour accomplir leur service militaire, soit comme sous-officiers de la flotte, la plupart des sous-officiers étant inscrits maritimes. Les 95 000 autres inscrits étaient en position de sursis ou de disponibilité, ou bien classés dans les diverses catégories de la réserve."
Source : La mobilisation de la flotte commerciale, capitaine de frégate de Rivoyre, page 353, tome V, La guerre navale racontée par nos amiraux, Librairie Schwarz, Paris, 1928.
Le registre des provisoires est le premier sur lequel sont inscrits les hommes qui demandent à devenir marins et qui doivent remplir des conditions, entre autres d'âge (minimum de 14 ans, avec le consentement des parents), et d'embarquement (il faut être engagé à bord d'un navire). Pour l'essentiel, ce sont les mousses et les novices qui sont concernés par le registre des provisoires. A dix-huit ans, ils passent dans le registre des définitifs. les conséquences principales sont les retenues sur salaire pour les Invalides, l'obligation de service militaire. Ils seront rayés de ce registre lorsqu'ils ne seront plus en service pour cause d'âge, de maladie, d'arrêt de la navigation. Ils passent alors au registre des hors services, jusqu'à leur mort et où on peut trouver leurs ayants droits, veuves et enfants. Eventuellement, ils peuvent être inscrits sur un quatrième registre, celui des maîtres au cabotage et des capitaines au long cours, lorsqu'ils exerçent un commandement.
La matricule a du vous fournir la date et le lieu des embarquements de votre ancêtre, avec le nom du bateau, le type de navigation pratiqué, la date débarquement et le lieu, la durée de navigation exprimée en années, mois et jours. Il est donc possible de reconstituer la carrière maritime d'un intéressé de façon précise. Vous n'indiquez pas la date de la fin des embarquements. On est donc dans le domaine des conjonctures, sachant que si la matricule ne détaille forcément la carrière dans la Marine nationale, le récapitulatif final précise la durée du service à la pêche, au commerce et à la guerre.
Si votre grand-oncle a pratiqué la petite pêche (à proximité des côtes), vous pratiquez la pêche à la ligne en ne donnant que des bribes d'informations sur sa carrière. Vous ne pouvez donc recueillir que quelques poissons. Pour faire bonne pêche, il faut un filet : un maximum d'informations précises (nom, date et lieu de naissance, éléments maritimes et autres).
Le sens marin n'est pas celui des terriens, et tous les marins ne l'ont pas…
Cordialement.
Memgam
Re: Inscription maritime
Bonsoir et merci pour votre réponse.
Mon message ne comportait pas, en effet, beaucoup de détails , mais votre réponse prouve que les considérations générales sur un sujet, ici l'Inscription maritime, permettent de faire une première recherche.
Il se trouve par ailleurs que je suis depuis trente ans exploitant d'un autre type de marine , les transports fluviaux en France et à l'étranger.
Ce sens marin là n'est peut être pas celui attendu sur le sujet présent.
Ceci dit mon grand-oncle est Edouard Hubert TOUZET, né le 28/04/1886 à Boulogne sur Mer (d'ou Cherbourg) et décédé le 31/01/1952 à Lille.
Il a été inscrit (numéro 4006) dans la matricule des Inscrits Provisoires de Boulogne sur Mer le 28/11/1906, date de son premier embarquement.
La date de son dernier débarquement est le 08/11/1919.
Sa fiche matricule indique en date du 17/11/1909 "qu'il a été prévenu des conséquences que son inscription définitive entraînerait".
Aurait il refusé de rejoindre la Marine Nationale ? (il était par ailleurs exempté parle conseil de révision en 1906).
Les cartes postales envoyées de New York et ailleurs, à des périodes où il n'était pas à la pèche peuvent elles faire penser à des embarquements sur les transatlantiques de compagnies étrangères qui fréquentaient très souvent le port de Boulogne?
Aurait il pu servir sur ce type de bateau sans que son registre matricule le mentionne?
De plus ses connaissances de l'anglais l'ont peut être orienté vers les postes d'Agent du Service Général qui ont peut être été répertoriés dans d'autres registres (pour les embarqués n'étant ni à la machine, ni au pont ou à la passerelle) .
Comme mentionné dans mon premier message je n'ai aucune trace de son parcours du 27 avril 1909 au 21/10/1919
Qu'en pensez vous ?
Au plaisir de vous lire
Bernard
Mon message ne comportait pas, en effet, beaucoup de détails , mais votre réponse prouve que les considérations générales sur un sujet, ici l'Inscription maritime, permettent de faire une première recherche.
Il se trouve par ailleurs que je suis depuis trente ans exploitant d'un autre type de marine , les transports fluviaux en France et à l'étranger.
Ce sens marin là n'est peut être pas celui attendu sur le sujet présent.
Ceci dit mon grand-oncle est Edouard Hubert TOUZET, né le 28/04/1886 à Boulogne sur Mer (d'ou Cherbourg) et décédé le 31/01/1952 à Lille.
Il a été inscrit (numéro 4006) dans la matricule des Inscrits Provisoires de Boulogne sur Mer le 28/11/1906, date de son premier embarquement.
La date de son dernier débarquement est le 08/11/1919.
Sa fiche matricule indique en date du 17/11/1909 "qu'il a été prévenu des conséquences que son inscription définitive entraînerait".
Aurait il refusé de rejoindre la Marine Nationale ? (il était par ailleurs exempté parle conseil de révision en 1906).
Les cartes postales envoyées de New York et ailleurs, à des périodes où il n'était pas à la pèche peuvent elles faire penser à des embarquements sur les transatlantiques de compagnies étrangères qui fréquentaient très souvent le port de Boulogne?
Aurait il pu servir sur ce type de bateau sans que son registre matricule le mentionne?
De plus ses connaissances de l'anglais l'ont peut être orienté vers les postes d'Agent du Service Général qui ont peut être été répertoriés dans d'autres registres (pour les embarqués n'étant ni à la machine, ni au pont ou à la passerelle) .
Comme mentionné dans mon premier message je n'ai aucune trace de son parcours du 27 avril 1909 au 21/10/1919
Qu'en pensez vous ?
Au plaisir de vous lire
Bernard
des deux cotes de la manche
Re: Inscription maritime
Bonjour,
Il y a probablement plus de similitudes entre le transport fluvial et le transport maritime, ne serait-ce que par les navires fluvio-maritimes, qu'avec le transport terrestre.
S'il n'y a pas de trace d'embarquement entre le 27 avril 1909 et le 21 octobre 1919, c'est peut-être qu'il n'a pas navigué sous un régime française quelconque (guerre, commerce ou pêche) durant cette période (CQFD). On remarquera que cette période est supérieure à dix ans, durée de certaines amnisties…Si sa dernière période d'embarquement a été si courte, du 21 octobre au 8 novembre 1919, terminée par un "rayé d'office", c'est peut-être que l'administration a découvert qu'il ne répondait pas aux conditions d'inscrits maritimes. Bien sûr on est dans le domaine des conjectures, faute d'éléments probants. C'est le raisonnement par syllogisme, dont l'illustration est la suivante : L'homme descend du singe, le singe descend de l'arbre, donc nous sommes tous des végétaux (SGDG). On notera qu'en 1906, il est exempté de service militaire pour un motif médical, à 20 ans et que cette même année, il devient inscrit maritime, ce qui est intrigant. Par ailleurs, un marin français peut naviguer sur des navires étrangers pour peu que cela soit déclaré, et on en retrouve la trace.
Rien de bien tangible sur ces pistes, mais il y en a d'autres, généalogiques notamment, des actes d'état-civil peuvent livrer des informations à caractère professionnel.
Bonnes recherches.
Cordialement
Il y a probablement plus de similitudes entre le transport fluvial et le transport maritime, ne serait-ce que par les navires fluvio-maritimes, qu'avec le transport terrestre.
S'il n'y a pas de trace d'embarquement entre le 27 avril 1909 et le 21 octobre 1919, c'est peut-être qu'il n'a pas navigué sous un régime française quelconque (guerre, commerce ou pêche) durant cette période (CQFD). On remarquera que cette période est supérieure à dix ans, durée de certaines amnisties…Si sa dernière période d'embarquement a été si courte, du 21 octobre au 8 novembre 1919, terminée par un "rayé d'office", c'est peut-être que l'administration a découvert qu'il ne répondait pas aux conditions d'inscrits maritimes. Bien sûr on est dans le domaine des conjectures, faute d'éléments probants. C'est le raisonnement par syllogisme, dont l'illustration est la suivante : L'homme descend du singe, le singe descend de l'arbre, donc nous sommes tous des végétaux (SGDG). On notera qu'en 1906, il est exempté de service militaire pour un motif médical, à 20 ans et que cette même année, il devient inscrit maritime, ce qui est intrigant. Par ailleurs, un marin français peut naviguer sur des navires étrangers pour peu que cela soit déclaré, et on en retrouve la trace.
Rien de bien tangible sur ces pistes, mais il y en a d'autres, généalogiques notamment, des actes d'état-civil peuvent livrer des informations à caractère professionnel.
Bonnes recherches.
Cordialement
Memgam
Re: Inscription maritime
Bonjour,
En effet beaucoup d'hypothèses que j'ai aussi imaginées.
Le mot que vous employez :"intrigant" correspond bien au parcours atypique de ce grand oncle.
Généalogiquement parlant , marié en 1908, père en 1914, veuf en 1917 je n'ai pas de trace de sa vie avec (ou sans) sa fille orpheline de mère.
Les recherches de tutelle éventuelle n'ont rien donné aux AD62.
Quelles peuvent être les traces laissées par ses embarquements sous pavillon étranger (à Boulogne ..ou ailleurs).
Les recherches faites auprès de French Line (cf CGT) n'ont rien donné.
Savez vous si on peut trouver quelque part les registres des Agents du Service Général originaires du Pas de Calais?
Merci d'avance
Bernard
En effet beaucoup d'hypothèses que j'ai aussi imaginées.
Le mot que vous employez :"intrigant" correspond bien au parcours atypique de ce grand oncle.
Généalogiquement parlant , marié en 1908, père en 1914, veuf en 1917 je n'ai pas de trace de sa vie avec (ou sans) sa fille orpheline de mère.
Les recherches de tutelle éventuelle n'ont rien donné aux AD62.
Quelles peuvent être les traces laissées par ses embarquements sous pavillon étranger (à Boulogne ..ou ailleurs).
Les recherches faites auprès de French Line (cf CGT) n'ont rien donné.
Savez vous si on peut trouver quelque part les registres des Agents du Service Général originaires du Pas de Calais?
Merci d'avance
Bernard
des deux cotes de la manche
Re: Inscription maritime
Bonjour à tous,
Normalement les embarquements sous pavillons étrangers doivent être déclarés aux Affaires Maritimes afin de les faire valider pour la retraite.
Il serait peut être judicieux de vous renseigner aux affaires maritimes
rue octave gréard à Paris.
Bien cordialement MONCEY
Normalement les embarquements sous pavillons étrangers doivent être déclarés aux Affaires Maritimes afin de les faire valider pour la retraite.
Il serait peut être judicieux de vous renseigner aux affaires maritimes
rue octave gréard à Paris.
Bien cordialement MONCEY
MONCEY1842