Myosotis — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Société en nom collectif Leporc et Cie, Fécamp (1912~1916).
Trois-mâts goélette terre-neuvier armé par la société en nom collectif Leporc et Cie établie à Fécamp. Arraisonné, puis coulé au moyen de charges explosives, le 21 mai 1916, par le sous-marin allemand U-34 (Kapitänleutnant Claus RÜCKER), à 32 milles au Nord de Puerto de Sóller (Île de Majorque, Espagne). Capitaine Eugène TERRIER et 10 hommes d’équipage.
En 1914, capitaine Gonzague Anatole LE BOUTEILLER, maître au cabotage, inscrit au quartier de Fé-camp, n° 269.
Trois-mâts goélette terre-neuvier armé par la société en nom collectif Leporc et Cie établie à Fécamp. Arraisonné, puis coulé au moyen de charges explosives, le 21 mai 1916, par le sous-marin allemand U-34 (Kapitänleutnant Claus RÜCKER), à 32 milles au Nord de Puerto de Sóller (Île de Majorque, Espagne). Capitaine Eugène TERRIER et 10 hommes d’équipage.
En 1914, capitaine Gonzague Anatole LE BOUTEILLER, maître au cabotage, inscrit au quartier de Fé-camp, n° 269.
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• Le Temps, n° 20.046, Jeudi 25 mai 1916,
p. 2, en rubrique « Sur mer ».
« Navires coulés
p. 2, en rubrique « Sur mer ».
« Navires coulés
[…] Les navires coulés par les sous-marins sont au nombre de quatre ; un trois-mâts français, le Myo-sotis, de 356 tonnes, dont un dépêche du port de Fécamp auquel il appartient annonce la destruction, a été attaqué par un sous-marin autrichien. L’équipage, composé de onze hommes, a été débarqué. […] »
• Le Temps, n° 20.054, Vendredi 2 juin 1916,
p. 2, en rubrique « Sur mer ».
« Navires coulés
p. 2, en rubrique « Sur mer ».
« Navires coulés
[…] On écrit de Fécamp que les marins de l’équipage du Myosotis, dont nous avons annoncé le torpillage [sic], sont arrivés à Fécamp, port d’attache de leur navire. D’après leurs dires, un officier et deux marins vinrent à bord et enlevèrent tous les papiers et instruments du bord. L’équipage s’était réfugié dans la chaloupe et deux doris et put atteindre l’île de Majorque. »
