Voici une image colorisée du torpilleur 252 (en attendant de retrouver l'image originale)
A bientot
TORPILLEUR 252
-
Terraillon Marc
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- Inscription : mer. oct. 20, 2004 2:00 am
Re: TORPILLEUR 252
Bonjour
Voici une image colorisée du torpilleur 252 (en attendant de retrouver l'image originale)
A bientot
Voici une image colorisée du torpilleur 252 (en attendant de retrouver l'image originale)
A bientot
Cordialement
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Re: TORPILLEUR 252
Bonjour à tous,
TORPILLEUR 252 Torpilleur numéroté type 201 (1900-1920)
Chantier :
Ateliers & Chantiers de la Loire, Nantes.
Commencé : 1899
Mis à flot : 31.05.1900
Terminé : 1900
En service : 1900
Retiré : 12.01.1920
Caractéristiques : 86 t ; 1 600 cv ; 39,2 x 4,1 x 2,6 m.
Symbole de coque 252.
Armement : II de 37 + II TLT.
Observations :
Essais à Lorient
1918-1919 : utilisé comme torpilleur léger
1920 : rayé, réutilisé comme but de tir
01.1923 : condamné
Coulé au large de Cherbourg.
Cordialement,
Franck
TORPILLEUR 252 Torpilleur numéroté type 201 (1900-1920)
Chantier :
Ateliers & Chantiers de la Loire, Nantes.
Commencé : 1899
Mis à flot : 31.05.1900
Terminé : 1900
En service : 1900
Retiré : 12.01.1920
Caractéristiques : 86 t ; 1 600 cv ; 39,2 x 4,1 x 2,6 m.
Symbole de coque 252.
Armement : II de 37 + II TLT.
Observations :
Essais à Lorient
1918-1919 : utilisé comme torpilleur léger
1920 : rayé, réutilisé comme but de tir
01.1923 : condamné
Coulé au large de Cherbourg.
Cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
TORPILLEUR 252 — Torpilleur numéroté de type 201 (1900~1920).
Bonjour à tous,
■ Historique.
_________________________________________________________________________________________
■ Historique.
― 18 juin 1917 : Détruit au canon plusieurs mines déposées dans le chenal du port de Cherbourg par un sous-marin non identifié.
Ce qui valut une citation à l’ordre de la brigade du premier maître patron pilote Louis Émile KER-VERDO, commandant le bâtiment, et d’une citation à l’ordre du régiment du quartier-maître timonier Eugène ALLAIN.
• Torpilleur 252 ― alors commandé par le premier maître patron pilote Louis Émile KERVERDO ― : Journal de bord ― 15 mai / 17 août 1917 ― : Service historique de la Défense, Cote SS Y 498, p. num. 566.
Ce qui valut une citation à l’ordre de la brigade du premier maître patron pilote Louis Émile KER-VERDO, commandant le bâtiment, et d’une citation à l’ordre du régiment du quartier-maître timonier Eugène ALLAIN.
• Torpilleur 252 ― alors commandé par le premier maître patron pilote Louis Émile KERVERDO ― : Journal de bord ― 15 mai / 17 août 1917 ― : Service historique de la Défense, Cote SS Y 498, p. num. 566.
« Le Lundi 18 juin 1917
Journal de navigation
Minuit ― Soutien
Journal de navigation
Minuit ― Soutien
0 h. 45 ― Aperçu le remous d’un objet sphérique (Une mine en surface). Mouillé un orin en câble d’acier avec une bouée. Lancé trois fusées éclairantes pour reconnaître les alentours.
4 h. 35 ― Aperçu deux mines en surface.
4 h. 40 ― Fait sauter la première mine à coup de canon de 37 mm (2 coups).
4 h. 45 ― Fait sauter la deuxième mine (6 coups). Fait le dragage. En ramassant la drague, une mine monte en surface.
6 h. 06 ― Coulé la troisième mine (12 coups de canon).
8 h. 00 ― Rentré en rade.
8 h. 40 ― Sorti de rade avec les dragueurs.
9 h. 00 ― Accosté Les Baleines qui a une mine dans sa drague. Envoyé en baie de Querqueville. Nous la coulons de six coups de canon.
[Les dragueurs en faisant le dragage ont coulé les deux orins de la bouée que nous avions mouillée. Deux gueuses de 50 kg et deux orins ont été perdus. (P. V.)].
10 h. 00 ― Rentré en rade.
10 h. 10 ― Amarré au Bouvines.
14 h. 20 ― Appareillé pour explorer le champ de mines.
17 h. 05 ― Commencé le dragage.
17 h. 20 ― Tiré un coup de canon à blanc (pour semoncer un bâtiment).
18 h. 20 ― Rentré en rade.
21 h. 00 ― Appareillé (soutien d’arraisonneur).
Temps orageux. Forts grains de pluie. Brumeux par moments. Mer belle.
(Dépensé 26 obus acier).
Le Patron de quart.
Signé : Illisible.
4 h. 35 ― Aperçu deux mines en surface.
4 h. 40 ― Fait sauter la première mine à coup de canon de 37 mm (2 coups).
4 h. 45 ― Fait sauter la deuxième mine (6 coups). Fait le dragage. En ramassant la drague, une mine monte en surface.
6 h. 06 ― Coulé la troisième mine (12 coups de canon).
8 h. 00 ― Rentré en rade.
8 h. 40 ― Sorti de rade avec les dragueurs.
9 h. 00 ― Accosté Les Baleines qui a une mine dans sa drague. Envoyé en baie de Querqueville. Nous la coulons de six coups de canon.
[Les dragueurs en faisant le dragage ont coulé les deux orins de la bouée que nous avions mouillée. Deux gueuses de 50 kg et deux orins ont été perdus. (P. V.)].
10 h. 00 ― Rentré en rade.
10 h. 10 ― Amarré au Bouvines.
14 h. 20 ― Appareillé pour explorer le champ de mines.
17 h. 05 ― Commencé le dragage.
17 h. 20 ― Tiré un coup de canon à blanc (pour semoncer un bâtiment).
18 h. 20 ― Rentré en rade.
21 h. 00 ― Appareillé (soutien d’arraisonneur).
Temps orageux. Forts grains de pluie. Brumeux par moments. Mer belle.
(Dépensé 26 obus acier).
Le Patron de quart.
Signé : Illisible.
Observations du commandant
A 1 h. 00, mouillé une bouée près d’une mine aperçue en surface à environ 1,7 mille 12 N. 6 O. du Fort Ouest.
A 1 h. 45, l’arraisonneur aperçoit un objet suspect ; son projecteur fonctionne mal. Je lui propose de lancer une fusée éclairante dans la direction indiquée pour le reconnaître. A 2 h. 05, l’arraisonneur aperçoit de nouveau la même chose devant lui et me demande de lancer une autre fusée (Il lui semble reconnaître le capot d’une sphère). Je fais route à bonne vitesse (14 n.) dans la direction indiquée ; au poste de combat pendant un mille. Ne voyant rien, je rallie l’arraisonneur à 2. h 50. Je reçois ordre de prévenir le contre-torpilleur Durandal que nous avons aperçu une mine. La brume s’épaissit. En ralliant mon poste de soutien, je trouve le chalutier anglais G.Y. 176 et un vapeur Now Li... Je les préviens de rester au large à cause des mines vues dans le chenal. 4 h. 00 – Je rejoins l’arraisonneur, puis je fais route pour rallier le 243 pour le dragage. A 600 m dans l’E. S.-E. de la bouée mouillée à 1 h. 00, j’aperçois deux mines en surface ; je fais mouiller une bouée. Voyant le courant de flot forcir, je fais tirer au canon de 37 mm pour les couler. Elles sont atteintes et coulent toutes les deux. Pendant le dragage avec le 243, une mine est traînée sur les petits fonds, puis coulée au canon sans exploser. A 9 h. 00, le Cormoran traîne une mine dans la baie de Querqueville. Nous la coulons sans qu’elle explose (deux antennes ont été arrachées).
Dragage du soir : R.A.S.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo. »
A 1 h. 45, l’arraisonneur aperçoit un objet suspect ; son projecteur fonctionne mal. Je lui propose de lancer une fusée éclairante dans la direction indiquée pour le reconnaître. A 2 h. 05, l’arraisonneur aperçoit de nouveau la même chose devant lui et me demande de lancer une autre fusée (Il lui semble reconnaître le capot d’une sphère). Je fais route à bonne vitesse (14 n.) dans la direction indiquée ; au poste de combat pendant un mille. Ne voyant rien, je rallie l’arraisonneur à 2. h 50. Je reçois ordre de prévenir le contre-torpilleur Durandal que nous avons aperçu une mine. La brume s’épaissit. En ralliant mon poste de soutien, je trouve le chalutier anglais G.Y. 176 et un vapeur Now Li... Je les préviens de rester au large à cause des mines vues dans le chenal. 4 h. 00 – Je rejoins l’arraisonneur, puis je fais route pour rallier le 243 pour le dragage. A 600 m dans l’E. S.-E. de la bouée mouillée à 1 h. 00, j’aperçois deux mines en surface ; je fais mouiller une bouée. Voyant le courant de flot forcir, je fais tirer au canon de 37 mm pour les couler. Elles sont atteintes et coulent toutes les deux. Pendant le dragage avec le 243, une mine est traînée sur les petits fonds, puis coulée au canon sans exploser. A 9 h. 00, le Cormoran traîne une mine dans la baie de Querqueville. Nous la coulons sans qu’elle explose (deux antennes ont été arrachées).
Dragage du soir : R.A.S.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo. »
• Torpilleur 252, Registre d’ordres du Front de mer de Cherbourg ― 6 mai 1917 ~ 2 oct. 1918 ― : Service historique de la Défense, Cote SS Y 499, p. num. 301.
« Ordre n° 8 du Commandant du Front de mer
Le Capitaine de vaisseau, Commandant le Front de mer de Cherbourg, cite à l’ordre du jour (citation de brigade) le premier-maître patron-pilote KERVERDO, Commandant le Torpilleur 252 :
" A fait preuve, en plusieurs circonstances, de brillantes qualités de sang-froid, de manœuvre et surtout de décision, notamment dans la nuit du 18 juin 1917 au cours de laquelle, après avoir découvert un champ de mines et l’avoir repéré, il s’est porté de sa propre initiative au devant de navires qui faisaient une route dangereuse vers le champ de mines, les sauvant ainsi d’une perte certaine ; est revenu au petit jour sur le champ de mines, en a coulé deux et dragué une troisième."
Cherbourg, le 2 août 1917,
Signé : Lavenir » (*)
_________________________________________________________________________________________
(*) Marie Eugène Joseph LAVENIR , qui avait alors pour adjoint l’enseigne de vaisseau BOURGAIN.
_________________________________________________________________________________________" A fait preuve, en plusieurs circonstances, de brillantes qualités de sang-froid, de manœuvre et surtout de décision, notamment dans la nuit du 18 juin 1917 au cours de laquelle, après avoir découvert un champ de mines et l’avoir repéré, il s’est porté de sa propre initiative au devant de navires qui faisaient une route dangereuse vers le champ de mines, les sauvant ainsi d’une perte certaine ; est revenu au petit jour sur le champ de mines, en a coulé deux et dragué une troisième."
Cherbourg, le 2 août 1917,
Signé : Lavenir » (*)
_________________________________________________________________________________________
(*) Marie Eugène Joseph LAVENIR , qui avait alors pour adjoint l’enseigne de vaisseau BOURGAIN.
• Torpilleur 252, Registre d’ordres du Front de mer de Cherbourg ― 6 mai 1917 ~ 2 oct. 1918 ― : Service historique de la Défense, Cote SS Y 499, p. num. 302.
« Ordre n° 9 du Commandant du Front de mer.
Le Capitaine de vaisseau, Commandant le Front de mer de Cherbourg, cite à l’ordre du jour (citation du régiment) le quartier-maître de timonerie ALLAIN Eugène Jean Joseph, n° 264, f ° 2.764 – Cherbourg, embarqué sur le Torpilleur 252 :
" A par deux fois, grâce à une veille attentive, découvert dans des circonstances de vue très difficiles, notamment par nuit brumeuse et par mer agitée, des mines menaçant la sécurité de son torpilleur et a fait preuve de sang-froid et de décision en commandant lui-même la manœuvre qu’il y avait à faire immédiatement pour éviter de tomber sur une de ces mines."
Cherbourg, le 2 août 1917,
Signé : Lavenir. »
" A par deux fois, grâce à une veille attentive, découvert dans des circonstances de vue très difficiles, notamment par nuit brumeuse et par mer agitée, des mines menaçant la sécurité de son torpilleur et a fait preuve de sang-froid et de décision en commandant lui-même la manœuvre qu’il y avait à faire immédiatement pour éviter de tomber sur une de ces mines."
Cherbourg, le 2 août 1917,
Signé : Lavenir. »
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― 19 août 1917 : Sauve les survivants de l’équipage de la drague Général-du-Temple, qui venait de sauter sur une mine au large de Cherbourg, à environ 6 milles au Nord du Fort de l’Est, par 49° 43’ N. et 1° 34’ W., mine posée par le sous-marin allemand UC-65 (Kapitänleutnant Max VIEBEG).
• Torpilleur 252 — alors commandé par le premier maître patron pilote Louis Émile Kerverdo —, Journal de bord — 18 août ~ 11 déc. 1917— : Service historique de la Défense, Cote SS Y 498, p. num. 622.
• Torpilleur 252 — alors commandé par le premier maître patron pilote Louis Émile Kerverdo —, Journal de bord — 18 août ~ 11 déc. 1917— : Service historique de la Défense, Cote SS Y 498, p. num. 622.
« Le Dimanche 19 août 1917.
Journal de navigation.
Journal de navigation.
0 h. 00 — Soutien d’arraisonneur.
0 h. 15 — Rentré en rade.
0 h. 20 — Amarré en baie de Sainte-Anne.
9 h. 00 — Appareillé pour surveillance.
18 h. 05 — Le vapeur Général-du-Temple touche une mine. Fait route à toute vitesse pour porter secours à l’équipage du vapeur. Tiré trois coups de canon à blanc pour donner l’alerte.
18 h. 25 — Fait sauter une mine (11 coups de canon) ; mouillé une bouée à 3 milles et demi sur alignement Roule – Fort Est. (Par suite de l’explosion de la mine, quelques objets de la gamelle de combat ont été cassés.) Mouillé une deuxième bouée à 600 mètres au Nord de la première.
18 h. 35 — Le Général-du-Temple se retourne et coule instantanément.
18 h. 34 — Embarqué les deux hommes et le capitaine du Général-du-Temple. Fait route sur l’entrée.
19 h. 25 — Débarqué les rescapés à l’Imprenable à bord du Roule.
19 h. 45 — Appareillé. Croisé sur le méridien de Levi et parallèle 49° 48’.
Le Patron de quart.
[Aucune signature]
0 h. 15 — Rentré en rade.
0 h. 20 — Amarré en baie de Sainte-Anne.
9 h. 00 — Appareillé pour surveillance.
18 h. 05 — Le vapeur Général-du-Temple touche une mine. Fait route à toute vitesse pour porter secours à l’équipage du vapeur. Tiré trois coups de canon à blanc pour donner l’alerte.
18 h. 25 — Fait sauter une mine (11 coups de canon) ; mouillé une bouée à 3 milles et demi sur alignement Roule – Fort Est. (Par suite de l’explosion de la mine, quelques objets de la gamelle de combat ont été cassés.) Mouillé une deuxième bouée à 600 mètres au Nord de la première.
18 h. 35 — Le Général-du-Temple se retourne et coule instantanément.
18 h. 34 — Embarqué les deux hommes et le capitaine du Général-du-Temple. Fait route sur l’entrée.
19 h. 25 — Débarqué les rescapés à l’Imprenable à bord du Roule.
19 h. 45 — Appareillé. Croisé sur le méridien de Levi et parallèle 49° 48’.
Le Patron de quart.
[Aucune signature]
Observations du commandant
Vers 18 h. 00, arraisonné le vapeur français Général-du-Temple qui faisait route au N. 80 E. Continué notre route vers l’Ouest. A 18 h. 05, entendu une forte explosion. C’est le Du-Temple qui touche une mine (Fort du Roule par Fort Est de la digue, à 3 milles ½). Tout d’abord, ayant l’impression d’un torpillage, je fais route à grande vitesse vers le lieu de l’accident, l’équipage au poste de combat. Je fais le signal d’alarme. En approchant, j’aperçois une mine en surface, à environ 600 mètres au Nord de l’épave qui coule. Je prends à bord deux blessés, qui reçoivent les premiers soins pour leurs blessures. Puis, pendant que le canot va prendre le reste de l’équipage, je coule la mine ; elle explose 8 ou 10 secondes après sa disparition. Le torpilleur est fortement secoué (Voir observations du mécanicien). Je fais mouiller deux bouées pour baliser le champ de mines. Je rejoins le Général-du-Temple et dit au capitaine qu’il est grand temps de quitter son navire qui s’enfonce rapidement par l’avant et menace de piquer du nez. A peine les hommes et le capitaine sont-ils à bord que le vapeur piquant de l’avant se retourne la quille en l’air et coule verticalement à 18 h. 35 (Mâts T.S.F. des Rouges Terres à gauche de l’Île Pelée – Redoute des Couplets à gauche de la Batterie intermédiaire). Je fais route pour le port ; les naufragés et blessés sont déposés à bord du Roule qui les conduit au port de guerre. D’après le capitaine, sept hommes sont disparus. Nous avons ramené huit hommes, y compris le capitaine. Après avoir téléphoné aux Couplets et reçu les ordres, je reprends mon service au large.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo.
Observations sur le fonctionnement des appareils moteurs
Par suite d’ébranlement lors de l’explosion, d’une mine, les tubes à eau et bâche se sont cassés, une déchirure près de la tubulure de remplissage du bouilleur s’est produite dans le tuyau d’aspiration de la turbine au condenseur. 2 rivets et 3 sous la coque de la machine ont sauté ; 3 autres ont été ébranlés.
Le second-maître mécanicien,
Signé : Illisible. »
Le second-maître mécanicien,
Signé : Illisible. »
Dernière modification par Rutilius le lun. août 28, 2023 11:38 pm, modifié 4 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
TORPILLEUR 252 — Torpilleur numéroté de type 201 (1900~1920).
Bonjour à tous,
Torpilleur 252 ― Torpilleur numéroté de type 201 (1900~1920).
_________________________________________________________________________________________
Torpilleur 252 ― Torpilleur numéroté de type 201 (1900~1920).
Le Torpilleur 252 fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
― du 2 août 1914 au 12 octobre 1917 ;
― du 16 novembre 1917 au 26 juillet 1918 ;
― du 10 septembre 1918 au 1er juillet 1919 ;
― du 31 août au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 768.]
― du 2 août 1914 au 12 octobre 1917 ;
― du 16 novembre 1917 au 26 juillet 1918 ;
― du 10 septembre 1918 au 1er juillet 1919 ;
― du 31 août au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 768.]
_________________________________________________________________________________________
- TORPILLEUR 252 - I - .jpg (735.19 Kio) Consulté 355 fois
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- TORPILLEUR 252 - I ² - .jpg (536.48 Kio) Consulté 353 fois
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: TORPILLEUR 252
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Cordialement
Alain
Alain
Re: TORPILLEUR 252
Terraillon Marc a écrit : ↑ven. août 01, 2008 10:08 am Bonjour
Voici une image colorisée du torpilleur 252 (en attendant de retrouver l'image originale)
A bientot
Bonjour,
La photo disparue
- Torpilleur 252.jpg (213.99 Kio) Consulté 330 fois
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: TORPILLEUR 252
Bonjour,
Et sur le site Marius Bar :
http://www.mariusbarnumerique.fr/2015-1 ... eur%201899
la photo commercialisée.
A bientôt.
Et sur le site Marius Bar :
http://www.mariusbarnumerique.fr/2015-1 ... eur%201899
la photo commercialisée.
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.