GLANEUSE - Goelette

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Terraillon Marc
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Terraillon Marc »

Bonjour,

Voici la fiche sommaire d'un voilier caboteur français, disparu en 1917 :

Glaneuse

goélette de 220 t de port en lourd, construite à Nantes en 1891, appartenant à M. F. Chauvel, de Binic, disparue en allant de Swansea à Bordeaux avec du charbon..

D'aprés l'ouvrage de L. LACROIX - Les derniers voiliers caboteurs français.

A bientot :hello:
Cordialement
Marc TERRAILLON

A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Cath22
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Cath22 »


Lors de la perte de la goélette Glaneuse le 25/03/1916 8 marins ont péri selon jugement du tribunal d'instance de Saint-Brieuc (22) du 09/01/1918 : "déclare constant pour avoir eu lieu en mer le 25 mars mille neuf cent seize dans la traversée de Swansea à Bordeaux le décès des marins ci-après faisant partie de l'équipage de la goélette "Glaneuse" du port de Binic perdu corps et biens".
Suit la liste des marins décédés que je résume :
1) THOMAS Augustin Marie né le 15/12/1878, Binic (22), Capitaine de la goélette, IM Binic N°141
2) THÉBAULT Tves Marie né le 29/08/1878, Saint-Quay-Portrieux (22), embarqué comme second, IM Binic N°4528
3) BERTHO Théophile Louis Marie né le 07/01/1877, Binic (22), matelot, IM Binic N°2349
4) GAUBERT François Marie né le 30/08/1872, Binic (22), matelot, IM Binic N°1675
5) ROUALT Louis François né le 22/07/1887, Plérin (22), matelot, IM Saint-Brieuc N°9357
6) LE POLLÈS François Marie né le 25/08/1897, Plouha (22), novice, IM Paimpol N°8772
7) URVOY Louis Marie né le 29/12/1900, Pordic (22), mousse, IM Binic N°4087
8) CORISON Pierre Marie né le 06/04/1898, Plouharnel (56), novice, IM Auray N°3476
Les natifs de Binic sont inscrits sur le monument aux morts pour la France mais je n'ai pas trouvé trace officielle de cette mention et j'aimerais connaître les circonstances de ce naufrage le justifiant
Merci à ceux qui auraient des éléments.
Cath22 Lecoq
Cath22
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Cath22 »

Lors de la perte de la goélette Glaneuse le 25/03/1916 8 marins ont péri selon jugement du tribunal d'instance de Saint-Brieuc (22) du 09/01/1918 : "déclare constant pour avoir eu lieu en mer le 25 mars mille neuf cent seize dans la traversée de Swansea à Bordeaux le décès des marins ci-après faisant partie de l'équipage de la goélette "Glaneuse" du port de Binic perdu corps et biens".
Suit la liste des marins décédés que je résume :
1) THOMAS Augustin Marie né le 15/12/1878, Binic (22), Capitaine de la goélette, IM Binic N°141
...
3) BERTHO Théophile Louis Marie né le 07/01/1877, Binic (22), matelot, IM Binic N°2349
4) GAUBERT François Marie né le 30/08/1872, Binic (22), matelot, IM Binic N°1675
...
Les natifs de Binic sont inscrits sur le monument aux morts pour la France mais je n'ai pas trouvé trace officielle de cette mention et j'aimerais connaître les circonstances de ce naufrage le justifiant
Merci à ceux qui auraient des éléments.
J'ai poursuivi mes recherches pour ces 3 marins.
Leurs enfants ont été "adoptés par la Nation". De ce fait le naufrage aurait été considéré comme fait de guerre. Cela justifie donc leur inscription sur le monument aux morts. Je pense que les circonstances réelles resteront confuses.
Par contre je n'ai pas trouvé de photo de cette goélette. Si quelqu'un à une piste je serai ravie. Je vous remercie de votre aide toujours si précieuse. :)
Cath22 Lecoq
Rutilius
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Rutilius »


Bonjour à tous,


Glaneuse – Trois-mâts goélette terre-neuvier de 134 t jb et de 220 t pl ; construit en 1891 à Nantes. Présumé perdu corps et biens depuis le 25 mars 1916, alors qu’il allait de Swansea (Pays de Galles, Royaume-Uni) à Bordeaux (Gironde) avec un chargement de charbon. Lors de sa perte, propriété de l’armement F. CHAUVEL, de Binic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Était alors commandé par le capitaine Augustin Marie THOMAS, inscrit à Binic, n° 141.

La procédure de déclaration judiciaire de décès des membres de l’équipage de la Glaneuse fut ouverte par une décision du Sous-secrétaire d’État des Transports maritimes et de la Marine marchande en date du 28 octobre 1917 (J.O. 31 oct. 1917, p. 8.727).

Autre bâtiment du même armement : Notre-Dame-de-Rostrenen – Trois-mâts goélette terre-neuvier.

—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 1392_1.htm


■ Disparus. [8]


— THOMAS Augustin Marie, né le 15 décembre 1878 à Binic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Capitaine, inscrit à Binic, n° 141.

Fils de Jean Louis THOMAS, maître au cabotage, et d’Anne Marie DURAND, « ménagère », son épouse. Époux de Julienne Marie HEURTEL, avec laquelle il avait contracté mariage à Étables (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –), le 29 novembre 1901. (Registre des actes de naissance de la commune de Binic, Année 1878, f° 35, acte n° 67).

— THÉBAULT Yves Marie, né le 29 août 1878 à Saint-Quay-Portrieux (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Second, inscrit à Binic, n° 4.528.

Fils d’Ambroise François Louis THÉBAULT, maçon, et de Rosalie REBOUR, « ménagère », son épouse. Époux de Marie Thérèse SAINT-CAST, avec laquelle il avait contracté mariage à Saint-Quay-Portrieux, le 2 avril 1906. (Registre des actes de naissance de la commune de Saint-Quay-Portrieux, Année 1878, f° 22, acte n° 35).

— BERTHO Théophile Louis Marie, né le 7 janvier 1877 à Binic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Matelot, inscrit à Binic, n° 1.994 [ou 2.349].

Fils d’Ange Marie BERTHO, marin, et de Marie Angèle QUERRÉ, « ménagère », son épouse. Époux de Victorine Louise RIOUAL, avec laquelle il avait contracté mariage à Binic, le 24 septembre 1906. (Registre des actes de naissance de la commune de Binic, Année 1877, f° 2, acte n° 2).

— GAUBERT François Marie, né le 30 août 1872 à Binic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Matelot, inscrit à Binic, n° 1.675.

Fils de Jean Marie GAUBERT, laboureur, et d’Élisa Marie LÉCUYER, « ménagère », son épouse. (Registre des actes de naissance de la commune de Binic, Année 1872, f° 26, acte n° 50).

— ROUAULT Louis François, né le 22 juillet 1887 à Plérin (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Matelot, inscrit à Saint-Brieuc, n° 9.357.

Fils de Louis ROUHAULT, marin, et de Marie QUINIO, « ménagère », son épouse. (Registre des actes de naissance de la commune de Plérin, Année 1887, f° 46, acte n° 90).

— LE POLLÈS François Marie, né le 25 août 1897 à Plouha (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Novice, inscrit à Paimpol, n° 8.772.

Fils de François Marie LE POLLÈS, marin, et de Marie Catherine LE ROY, « ménagère », son épouse. (Registre des actes de naissance de la commune de Plouha, Année 1897, f° 34, acte n° 66).

— URVOY Louis Marie, né le 29 décembre 1900 à Pordic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Cotes-d’Armor –). Mousse, inscrit à Binic, n° 4.087.

Fils d’Ange Marie URVOY, laboureur, et d’Anne Marie LE GLATIN, « ménagère », son épouse. (Registre des actes de naissance de la commune de Pordic, Année 1900, f° 47, acte n° 92).

— CORITON Pierre Marie, né le 6 avril 1898 à Pont-Neuf, commune de Plouharnel (Morbihan). Novice, inscrit à Auray, n° 3.476.

Fils de Pierre Jean CORITON, maçon, et de Marie Louise GOUARIN, « ménagère », son épouse (Registre des actes de naissance de la commune de Plouharnel, Année 1898, f° 4, acte n° 12).
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Cath22
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Cath22 »

Merci beaucoup pour ce complément d'infos sur la procédure.
Bien amicalement
Cath22 Lecoq
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Yves D
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Yves D »

Bonjour à tous, bonjour Cath
La disparition de la Glaneuse est très probablement liée à la tempête qui a sévi au moins du 25 au 27 mars 1916, période durant laquelle deux dépressions dont une profonde dépression de 970 hPa ont affecté toute la zone Iles Britanniques, Mer d'Irlande, Manche Ouest et Gascogne.
Cdlt
Yves
www.histomar.net
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Cath22
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Cath22 »

Probablement oui.
Mais l'adoption par la Nation des enfants des victimes du naufrage est la reconnaissance de circonstances de guerre.
2 bateaux du convoi "avaient pu fuir (l'ouragan) à temps vent arrière sous leur trinquette : la Boulonnaise, l'Yonne, mais la Glaneuse disparut corps et biens au cours de cette nuit terrible." - Livre "Les derniers voiliers caboteurs" - L. LACROIX Source GENEAMAR.
La Glaneuse aurait donc pu échapper aussi à la tempête. Ce bateau aurait-il sauté sur une mine ? Pas de rescapés, pas de navires témoins, pas de compte rendus de sous marin allemand (à priori) : bénéfice du doute... A moins que le ministère de la marine ait produit des éléments permettant la prise en compte par la justice ?
J'en suis là pour le moment dans mes recherches.
Amicalement
Cath22 Lecoq
Memgam
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Memgam »

Bonjour,

"La procédure visant à rendre officiel, "constant", le décès d'un marin du commerce ou de la pêche disparu en mer, afin de préserver "l'ordre public" est-il souvent précisé dans les actes de jugement, était très longue (plusieurs mois voire plusieurs années) et complexe, impliquant plusieurs instances. A titre indicatif et de façon succincte nous en évoquerons les principales étapes.

1 - Instruction du dossier par le quartier de l'Inscription maritime en collaboration avec l'armement du navire naufragé :
- Rapport sur la disparition du ou des hommes du navire concerné et notification aux familles.
- Enquête auprès des survivants (quand il en subsiste) ou auprès d'éventuels témoins.
- Recherches de pièces à conviction après le sinistre.
- Enquête administrative auprès des mairies de résidence du ou des disparus pour s'assurer que la ou les familles du ou des disparus sont restés sans nouvelles depuis le jour présumé de la disparition, ou que le supposé défunt n'a pas reparu à son domicile depuis cette date.
- A partir de 1917, le chef de quartier propose selon les cas et suivant la législation en vigueur, de faire figurer dans l'acte la mention Mort pour la France (ratification par le ministère de la Marine.

2 - Transmission du dossier pour approbation à la Direction de l'Inscription maritime de la circonscription des quartiers intéressés et avis à la Préfecture maritime.

3 - Le dossier était ensuite adressé au ministère de tutelle et, depuis le 14 décembre 1916, au ministère des Travaux publics, des transports et du ravitaillement qui fut doté à partir de cette date d'un sous-secrétariat d'Etat de la Marine marchande.

4 - Le commissaire aux Transports maritimes et à la Marine marchande requérait alors le Procureur Général près la Cour d'Appel du ressort (par exemple, Rennes pour les Côtes du Nord, Finistère…) pour établir la constation du décès judiciaire du décès du ou des marins.

5 - Le Tribunal civil de 1ère instance siégeant au plus proche du port d'armement du navire était désigné pour prononcer le jugement déclaratif tenant lieu d'acte de décès du ou des marins disparus, avec ensuite inscription à l'état-civil."

"Pour en revenir à la guerre sur mer, une fois le marin déclaré officiellement décédé, il fallait obtenir de l'instance judiciaire ou du ministère que fut inscrite sur l'acte une mention complémentaire essentielle pour que le droit à pension fut accordé ou pour que l'Etat étendit sa tutelle protectrice sur l'orphelin. Il fallait que le décès fut reconnu Mort pour la France, c'est à dire comme ayant donné sa vie pour son Pays, sa Patrie. Le 2 juillet 1915, une loi avait institué cette mention honorable avec effet rétroactif jusqqu'au début de la guerre."

" Le 3 avril 1918 fut promulguée une loi concernant les pensions à accorder aux marins du commerce, victimes d'évènements de guerre sur mer ou à leur famille. Son article premier stipulait que "les marins du commerce victimes d'évènements de guerre sur mer, et leur ayants cause ont droit au bénéfice de la législation sur les pensions de l'Armée de mer…" L'article 2 apportait une précision essentielle :" Est considéré comme résultant d'un évènement de guerre la perte corps et biens de tout bâtiment naviguant dans des zones à déterminer par décret, sauf à l'Etat à faire preuve du contraire, cette disposition étant limitée à la durée des hostilités et à une période d'un an postérieure à leur cessation, ou pouvant être prorogée par décret."

Dans le cas de la Glaneuse, il n'apparait pas que sa disparition fut reconnue comme un évènement de guerre sur mer. La perte de ce navire ne figure pas dans l'ouvrage de Richard et Roignant.
L'inscription sur un monument aux morts n'a pas valeur de preuve. Le respect des lois n'a jamais été rigoureux et bien des erreurs ont été commises dans un sens ou dans l'autre. Certaines ont été rectifiées au fil du temps, d'autres pas, malgré des éléments de preuve.

Source : René Richard et Jacques Roignant, Les navires des ports de la Bretagne provinciale coulés par faits de guerre 1914-1918, volume 1 et 2, Association Bretagne 14-18, 2010 et 2012.

Cordialement.
Memgam
Cath22
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Cath22 »

Bonjour,

"La procédure visant à rendre officiel, "constant", le décès d'un marin du commerce ou de la pêche disparu en mer, afin de préserver "l'ordre public" est-il souvent précisé dans les actes de jugement, était très longue (plusieurs mois voire plusieurs années) et complexe, impliquant plusieurs instances. A titre indicatif et de façon succincte nous en évoquerons les principales étapes.
1 - ...
2 - ...
3 - ...
4 - ...
5 - ...
"Pour en revenir à la guerre sur mer, une fois le marin déclaré officiellement décédé, il fallait obtenir de l'instance judiciaire ou du ministère que fut inscrite sur l'acte une mention complémentaire essentielle pour que le droit à pension fut accordé ou pour que l'Etat étendit sa tutelle protectrice sur l'orphelin. Il fallait que le décès fut reconnu Mort pour la France, c'est à dire comme ayant donné sa vie pour son Pays, sa Patrie. Le 2 juillet 1915, une loi avait institué cette mention honorable avec effet rétroactif jusqqu'au début de la guerre."

" Le 3 avril 1918 fut promulguée une loi concernant les pensions à accorder aux marins du commerce, victimes d'évènements de guerre sur mer ou à leur famille. Son article premier stipulait que "les marins du commerce victimes d'évènements de guerre sur mer, et leur ayants cause ont droit au bénéfice de la législation sur les pensions de l'Armée de mer…" L'article 2 apportait une précision essentielle :" Est considéré comme résultant d'un évènement de guerre la perte corps et biens de tout bâtiment naviguant dans des zones à déterminer par décret, sauf à l'Etat à faire preuve du contraire, cette disposition étant limitée à la durée des hostilités et à une période d'un an postérieure à leur cessation, aus pouvant être prorogée par décret."

Dans le cas de la Glaneuse, il n'apparait pas que sa disparition fut reconnue comme un évènement de guerre sur mer. La perte de ce navire ne figure pas dans l'ouvrage de Richard et Roignant.
L'inscription sur un monument aux morts n'a pas valeur de preuve. Le respect des lois n'a jamais été rigoureux et bien des erreurs ont été commises dans un sens ou dans l'autre. Certaines ont été rectifiées au fil du temps, d'autres pas, malgré des éléments de preuve.

Source : René Richard et Jacques Roignant, Les navires des ports de la Bretagne provinciale coulés par faits de guerre 1914-1918, volume 1 et 2, Association Bretagne 14-18, 2010 et 2012.

Cordialement.
Voilà qui m'éclaire bien.
Pour ce qui est des marins disparus avec la Glaneuse, les étapes ont bien donné lieu à déclaration du décès et transcription à l'état civil.
Mais aucune trace, à ma connaissance pour le moment, de la mention Mort Pour La France.
Je suppose donc que leurs enfants ont été déclarés "pupilles de la Nation" suite apparemment à l'application de l'article 2 de la loi du 3 avril 1918 que vous citez.
En effet, il s'agit bien d'un bâtiment perdu corps et biens pendant la période du conflit et dans une zone de combats maritimes, ce qui vaut reconnaissance d'un fait de guerre, la preuve contraire n'ayant pas été apportée par l'État.
Cath22 Lecoq
Rutilius
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Re: GLANEUSE - Goelette

Message par Rutilius »


Bonsoir Catherine,

V. également ce sujet : « Constatation judiciaire des disparitions survenues en mer. ».

—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 1950_1.htm

— Loi du 3 avril 1918 concernant les pensions à accorder aux marins du commerce, victimes d’événements de guerre, ou à leur famille (J.O. 4 avr. 1918, p. ... ; Recueil Duvergier 1918, p. 184).

—> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5 ... %22.langFR
Bien amicalement à vous,
Daniel.
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