Bonjour à tous,
SAINT MARC Cargo (1913-1925)
Chantier :
Ateliers & Chantiers de Bretagne, Prairie au Duc
Commencé : 1912
Mis à flot : 1912-1913
Terminé : 01.1913
En service : 1913 (MM)
Retiré : 11.08.1925 (MM)
Caractéristiques : 2 249 tjb ; 82,4 x 12,6 m (270,5 x 41,4 x 19,5 pieds) ; 580 cv ; 1 machine alternative à triple expansion ; 10 nds.
Armement : N.C.
Observations :
Cargo construit pour le compte de la Compagnie des Vapeurs Charbonniers, Saint Nazaire (Société Maritime Auxiliaire de Transports)
11.08.1925 : fait naufrage près de Ouessant sur le roc Keleren lors d’un voyage Cardiff-Nantes avec une cargaison de charbon. 11 disparus, 13 rescapés.
Ne semble pas avoir été réquisitionné.
Cordialement,
Franck
SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
- Terraillon Marc
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- Inscription : mer. oct. 20, 2004 2:00 am
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonsoir
Le navire a l'indice (3) dans la base de données
A bientot
Le navire a l'indice (3) dans la base de données
A bientot
Cordialement
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonsoir à tous,
■ Historique (complément).
― 14 août 1925 : Lors d’une traversée de Cardiff à Nantes avec un chargement de 3.000 tonnes de charbon, par brume très épaisse, talonne une roche de la chaussée de Keller, au Nord-Ouest d’Ouessant, à un mille et demi de la côte, puis coule en dix minutes. Comptait 24 hommes d’équipage, dont le capitaine Jean LE BOT, de l’Île-d’Ars (Morbihan), inscrit à Vannes sous le n° 10.217. Treize rescapés, trois morts et huit disparus.
Les rescapés furent recueillis par Pierre PRIONOT, patron d’un bateau de pêche de Molène qui se trouvait à proximité du lieu du naufrage ; ils furent débarqués à Ouessant.
Douze furent conduits le jour même à Brest par l’Enez-Eussa ; il s’agissait des nommés :
— François BOUFFON, de Trébeurden, capitaine en second ;
— Joseph CODAL, chauffeur ;
— Joseph LAVENANT, matelot ;
— Roger LE COURTOIS, mousse ;
— Jules LE DIVENACH, matelot ;
— Mathurin LE PORT, cuisinier ;
— Maurice LE QUELLEC, premier lieutenant ;
— Augustin LE ROY, matelot ;
— Mathurin LE THIESSE, matelot ;
— Ernest MOESSARD, matelot ;
— Léon MOGUÉRÈS, matelot ;
— Eugène MOREAU, deuxième maître mécanicien.
Le treizième, le matelot MARZIN, malade, demeura momentanément à Ouessant.
Par ailleurs, Lucien CARIOU, patron du sloop de pêche Rouanez-Breiz-Izel, également de Molène, recueillit, à environ deux milles de la pointe Nord-Ouest de Perm, le cadavre du capitaine Jean LE BOT, ainsi que celui du troisième maître mécanicien, Paul François Marie GODEC, inscrit à Auray. Leurs corps furent déposés dans l’abri du canot de sauvetage de Molène ; ils furent acheminés le 16 août 1925 au Conquet puis ensuite à Brest afin d'être remis aux familles et transportés au lieu de leur domicile.
Enfin, disparurent les dénommés:
— FLIOU, deuxième lieutenant ;
— GOUZACH, premier maître chauffeur ;
— GROUHEL, chauffeur ;
— GUYOMARD, radiotélégraphiste ;
— LE GAC, matelot ;
— NAVIEL, mousse ;
— PESÈNE, chauffeur ;
— PRÉDARCQ, chauffeur – mais corps retrouvé par le pêcheur PODEUR et déposé à Molène – ;
— TRIQUET, chef mécanicien.
● L’Ouest-Éclair – éd. de Rennes –, n° 8.701, Samedi 15 août 1925, p. 1 et 3.


● L’Ouest-Éclair – éd. de Rennes –, n° 8.712, Mercredi 27 août 1925, p. 7.

En Février 1925, le capitaine Jean Le Bot avait reçu les félicitations officielles pour la bonne tenue du poste d’équipage ainsi que des machines, chaudières et apparaux du Saint-Marc (L’Ouest-Éclair – éd. de Rennes –, n° 8.256, Vendredi 20 février 1925, p. 7, en rubrique « Nouvelles maritimes ~ Marine de commerce »).
________________________
Bien amicalement à vous,
Daniel.
-
- Messages : 4029
- Inscription : ven. oct. 12, 2007 2:00 am
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonjour à tous,
SAINT MARC
Rencontre avec un sous-marin le 20 Janvier 1917
Le SAINT MARC, capitaine Joseph VIAUD inscrit à Nantes n° 397, capitaine au cabotage, effectue une traversée Cardiff-Saint Nazaire avec 3100 tonnes de charbon.
Il est armé d’un canon de 95 mm.
A 09h20, il se trouve à 1 mille de la bouée Spiner Braz faisant route au SE à 7 nœuds. A 1 mille derrière lui se trouve le vapeur CHARLES LEBORGNE, même vitesse, même route.
Ciel nuageux, petite brise de SE, mer calme.
Aperçu à 4 milles un grand sous-marin faisant route parallèle, qui force de vitesse pour lui couper la route. SAINT MARC présente alors l’arrière et ouvre le feu. L’ennemi se dirige alors vers CHARLES LEBORGNE qui prend chasse et vient se réfugier à l’entrée du Guilvinec. Le sous-marin tire plusieurs coups sur CHARLES LEBORGNE, mais sans l’atteindre. SAINT MARC continue à tirer et tente de le gêner en produisant beaucoup de fumée qui est rabattue par le vent sur le sous-marin.
Tiré en tout 9 coups, mais avec deux ratés d’étoupilles qui ont fait prendre un retard appréciable et ont complètement déréglé le pointage. Tir avec hausse à 5000 m, en bonne direction, mais trop courts. Si le sous-marin a été touché, ce ne peut être que par ricochet. A 09h35, après le 9e coup, le sous-marin a plongé et disparu.
SAINT MARC a continué sa route à petite vitesse et attendu CHARLES LEBORGNE qui l’a rejoint en dedans de Groix. Un patrouilleur leur a interdit le passage, mais en raison de la rencontre ave le sous-marin, ils l’ont quand même emprunté. SAINT MARC est arrivé à Saint Nazaire le 21 Janvier à 01h00.
Description du sous-marin
Ce sous-marin se trouvait au milieu d’un groupe de pêcheurs et n’a été identifié que tardivement.
Grand sous-marin équipé de deux canons sur avant et arrière du kiosque, dont un seul a tiré. Tiré 3 coups trop courts sur SAINT MARC et plusieurs sur CHARLES LEBORGNE, sans l’atteindre.
Pas de mâts ni d’antennes TSF visibles.
Manœuvrait facilement. Vitesse estimée 16 nœuds.
Le sous-marin attaquant
N’est pas identifié, mais ce pourrait bien être l’UC 18 de l’ OL Wilhelm Kiel, qui avait mouillé des mines dans le secteur de l’île de Sein.
On pourrait aussi penser à l’UC 21 de l’OL Reinhold Saltzwedel qui se trouvait également dans les parages.
Pourtant, il est à noter que les sous-marins de type UC ne correspondent pas tout à fait à la description faite par les hommes du SAINT MARC (grand sous-marin avec deux canons). L’ayant vu de très loin et au milieu de pêcheurs, la description est toutefois très approximative.
Note des amiraux de BON et LACAZE
Cette affaire montre que le capitaine au cabotage Joseph Amédée Viaud, inscrit à Nantes sous le n° 397, possède des qualités particulières d’énergie et d’initiative. Je propose une Citation à l’Ordre de l’Armée pour le motif suivant :
« Etant attaqué par un sous-marin, a fait preuve d’intelligente initiative et d’énergie. A réussi à sauver son navire et un autre vapeur, non armé, qu’il a tenu à ne pas abandonner. »
Signé : Lacaze
On note au passage qu'il n'existe pas de dossier concernant le CHARLES LEBORGNE dans les archives. Ce navire ne figure pas non plus sur le site Miramar Ship Index. On peut donc se demander si l'officier enquêteur n'a pas fait une erreur sur le nom du navire...
Cdlt
SAINT MARC
Rencontre avec un sous-marin le 20 Janvier 1917
Le SAINT MARC, capitaine Joseph VIAUD inscrit à Nantes n° 397, capitaine au cabotage, effectue une traversée Cardiff-Saint Nazaire avec 3100 tonnes de charbon.
Il est armé d’un canon de 95 mm.
A 09h20, il se trouve à 1 mille de la bouée Spiner Braz faisant route au SE à 7 nœuds. A 1 mille derrière lui se trouve le vapeur CHARLES LEBORGNE, même vitesse, même route.
Ciel nuageux, petite brise de SE, mer calme.
Aperçu à 4 milles un grand sous-marin faisant route parallèle, qui force de vitesse pour lui couper la route. SAINT MARC présente alors l’arrière et ouvre le feu. L’ennemi se dirige alors vers CHARLES LEBORGNE qui prend chasse et vient se réfugier à l’entrée du Guilvinec. Le sous-marin tire plusieurs coups sur CHARLES LEBORGNE, mais sans l’atteindre. SAINT MARC continue à tirer et tente de le gêner en produisant beaucoup de fumée qui est rabattue par le vent sur le sous-marin.
Tiré en tout 9 coups, mais avec deux ratés d’étoupilles qui ont fait prendre un retard appréciable et ont complètement déréglé le pointage. Tir avec hausse à 5000 m, en bonne direction, mais trop courts. Si le sous-marin a été touché, ce ne peut être que par ricochet. A 09h35, après le 9e coup, le sous-marin a plongé et disparu.
SAINT MARC a continué sa route à petite vitesse et attendu CHARLES LEBORGNE qui l’a rejoint en dedans de Groix. Un patrouilleur leur a interdit le passage, mais en raison de la rencontre ave le sous-marin, ils l’ont quand même emprunté. SAINT MARC est arrivé à Saint Nazaire le 21 Janvier à 01h00.
Description du sous-marin
Ce sous-marin se trouvait au milieu d’un groupe de pêcheurs et n’a été identifié que tardivement.
Grand sous-marin équipé de deux canons sur avant et arrière du kiosque, dont un seul a tiré. Tiré 3 coups trop courts sur SAINT MARC et plusieurs sur CHARLES LEBORGNE, sans l’atteindre.
Pas de mâts ni d’antennes TSF visibles.
Manœuvrait facilement. Vitesse estimée 16 nœuds.
Le sous-marin attaquant
N’est pas identifié, mais ce pourrait bien être l’UC 18 de l’ OL Wilhelm Kiel, qui avait mouillé des mines dans le secteur de l’île de Sein.
On pourrait aussi penser à l’UC 21 de l’OL Reinhold Saltzwedel qui se trouvait également dans les parages.
Pourtant, il est à noter que les sous-marins de type UC ne correspondent pas tout à fait à la description faite par les hommes du SAINT MARC (grand sous-marin avec deux canons). L’ayant vu de très loin et au milieu de pêcheurs, la description est toutefois très approximative.
Note des amiraux de BON et LACAZE
Cette affaire montre que le capitaine au cabotage Joseph Amédée Viaud, inscrit à Nantes sous le n° 397, possède des qualités particulières d’énergie et d’initiative. Je propose une Citation à l’Ordre de l’Armée pour le motif suivant :
« Etant attaqué par un sous-marin, a fait preuve d’intelligente initiative et d’énergie. A réussi à sauver son navire et un autre vapeur, non armé, qu’il a tenu à ne pas abandonner. »
Signé : Lacaze
On note au passage qu'il n'existe pas de dossier concernant le CHARLES LEBORGNE dans les archives. Ce navire ne figure pas non plus sur le site Miramar Ship Index. On peut donc se demander si l'officier enquêteur n'a pas fait une erreur sur le nom du navire...
Cdlt
olivier
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonjour;
Olivier 12 a écrit : "On note au passage qu'il n'existe pas de dossier concernant le CHARLES LEBORGNE dans les archives. Ce navire ne figure pas non plus sur le site Miramar Ship Index. On peut donc se demander si l'officier enquêteur n' a pas fait une erreur sur le nom du navire"
Cette remarque intrigue car il y a au moins deux navires de ce nom, d'après le forum : Charles Le Borgne, celui de la Société Fécampoise de Navigation sur lequel Olivier 12 a ouvert un sujet dans ce forum et le charbonnier Charles Le Borgne, de la compagnie Charles Leborgne; sur lequel il y a également un sujet dans le forum et Marc Terraillon y cite les informations du site Miramar le concernant. Il semble bien que les deux sujets du forum intitulés Charles Le Borgne concernent en fait le même navire.
Cordialement
Olivier 12 a écrit : "On note au passage qu'il n'existe pas de dossier concernant le CHARLES LEBORGNE dans les archives. Ce navire ne figure pas non plus sur le site Miramar Ship Index. On peut donc se demander si l'officier enquêteur n' a pas fait une erreur sur le nom du navire"
Cette remarque intrigue car il y a au moins deux navires de ce nom, d'après le forum : Charles Le Borgne, celui de la Société Fécampoise de Navigation sur lequel Olivier 12 a ouvert un sujet dans ce forum et le charbonnier Charles Le Borgne, de la compagnie Charles Leborgne; sur lequel il y a également un sujet dans le forum et Marc Terraillon y cite les informations du site Miramar le concernant. Il semble bien que les deux sujets du forum intitulés Charles Le Borgne concernent en fait le même navire.
Cordialement
Memgam
-
- Messages : 4029
- Inscription : ven. oct. 12, 2007 2:00 am
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonjour à tous,
Effectivement le navire figure déjà sur le forum et bien sûr sur Miramar.
Mais l'officier enquêteur l'orthographie en un seul mot dans tout son rapport concernant le SAINT MARC; or LE BORGNE s'écrit en deux mots. Voilà pourquoi je ne l'avais pas retrouvé...
Pourtant, il me semblait bien avoir déjà traité ce sujet en des temps anciens...
Cdlt
Effectivement le navire figure déjà sur le forum et bien sûr sur Miramar.
Mais l'officier enquêteur l'orthographie en un seul mot dans tout son rapport concernant le SAINT MARC; or LE BORGNE s'écrit en deux mots. Voilà pourquoi je ne l'avais pas retrouvé...
Pourtant, il me semblait bien avoir déjà traité ce sujet en des temps anciens...

Cdlt
olivier
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonjour,
Pour mémoire :
"La compagnie Charles Le Borgne est l'un des plus vieux armements français, crée en 1735 à Fécamp par un négociant de la ville. Longtemps les lignes de la compagnie furent l'Amérique du Sud, les Indes, l'Afrique, et, pendant les guerres du Premier Empire, des navires furent armés en course. De 1848 à la guerre de 1939-1945, Augustin Le Borgne, successeur de son père en 1825, puis son fils Charles, armèrent pour Terre-Neuve, étendant leurs activités aux sécheries mécaniques de morues. Ils s'intéressèrent aussi au commerce du charbon, créerent des succursales à Granville, Saint-Malo, Saint-Servan, Nantes et des bureaux en Angleterre. La guerre de 1914 vit la perte du Saint Ansbert et du Marie Louis." (Charles Le Borgne est décédé en 1943).
Source : Jean Randier, Histoire de la marine marchande française des premiers vapeurs à nos jours, EMOM, 1980.
Cordialement
Pour mémoire :
"La compagnie Charles Le Borgne est l'un des plus vieux armements français, crée en 1735 à Fécamp par un négociant de la ville. Longtemps les lignes de la compagnie furent l'Amérique du Sud, les Indes, l'Afrique, et, pendant les guerres du Premier Empire, des navires furent armés en course. De 1848 à la guerre de 1939-1945, Augustin Le Borgne, successeur de son père en 1825, puis son fils Charles, armèrent pour Terre-Neuve, étendant leurs activités aux sécheries mécaniques de morues. Ils s'intéressèrent aussi au commerce du charbon, créerent des succursales à Granville, Saint-Malo, Saint-Servan, Nantes et des bureaux en Angleterre. La guerre de 1914 vit la perte du Saint Ansbert et du Marie Louis." (Charles Le Borgne est décédé en 1943).
Source : Jean Randier, Histoire de la marine marchande française des premiers vapeurs à nos jours, EMOM, 1980.
Cordialement
Memgam
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonsoir à tous,
V. effectivement ces deux sujets suivants, qui pourraient être utilement fusionnés :
— « CHARLES-LE BORGNE ― Cargo charbonnier ― Charles Le Borgne & Cie » (ouvert le 22 avril 2010).
—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 2814_1.htm
— « CHARLES LE BORGNE — Société Fécampoise de Navigation » (ouvert le 12 août 2011).
—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 3374_1.htm
Il s’agit, à l’évidence, du même bâtiment, la seule divergence étant la raison sociale de la société armatrice. Et il semble à ce propos que la dénomination « Société Charles Le Borgne & Cie » soit antérieure à celle de « Société fécampoise de navigation » [97, avenue des Champs-Élysées, Paris (VIIe Arr.)], personne morale que l’on ne trouve mentionnée qu’à partir des années 1920.
A noter que cette dernière fit l’acquisition, en 1934, d’un cargo suédois de 2.400 t. du nom de Gladys qu’elle renomma Charles-Le Borgne.
• L’Ouest-Éclair – éd. de Rennes –, n° 13.728, Vendredi 8 juin 1934, p. 9,
en rubrique « Nouvelles maritimes ~ Marine marchande ».

Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
-
- Messages : 4029
- Inscription : ven. oct. 12, 2007 2:00 am
Re: SAINT MARC - Compagnie des Vapeurs Charbonniers
Bonjour à tous,
Au vu de la route suivie par le sous-marin UC 21 ce jour-là, que l'on trouve à la fiche de LEONTINE, il ne semble pas devoir être retenu dans l'attaque du SAINT MARC.
Cdlt
Au vu de la route suivie par le sous-marin UC 21 ce jour-là, que l'on trouve à la fiche de LEONTINE, il ne semble pas devoir être retenu dans l'attaque du SAINT MARC.
Cdlt
olivier