Bonjour à tous,
THISBE Cargo charbonnier auxiliaire (1917 – 1917)
Chantier :
Sunderland Shipbuilding, South Dock, Sunderland, Grande-Bretagne pour le compte de la SNC.
Mis à flot : 1910
Terminé : 1910
En service : 1910 (MM)
En service : 1917 (MN)
Retiré : 06.09.1917
Caractéristiques : 1 091 t ; 1 400 tpl ; 67,96 x 10,05 x 4,88 m ; 850 cv ; 10,8 nds ; machine à triple expansion.
Armement : N.C.
Observations :
Cargo charbonnier à vapeur de la Société Navale Caennaise
1906 : en service pour le compte de la SNC sous le nom de Thisbé
1917 : réquisitionné
06.09.1917 : torpillé et coulé à 6 milles dans le SW du cap Lizard par le sous-marin allemand UB 35 (OL Karl Stöter) par 49°57N et 005°21W. 7 victimes.
Cordialement,
Franck
THISBE - Société Navale Caennaise
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
La perte du charbonnier Thisbé, Capt. Pierre Le Bitter, fut un dramatique épisode de la guerre sous-marine que je vous rapporterai sous peu après en avoir traduit le récit qu'en a fait Neil Maw dans son remarquable ouvrage "World War One Channel wrecks". En attendant, voici une carte pour situer les lieux du torpillage.

Yves

Yves
www.histomar.net
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Bonjour à tous
Voici la suite promise hier soir.
Extrait de WW1 Channel wrecks, Neil Maw :
« Nous suggérons d’utiliser dans ce cas l’appellation de meurtre ignoble »
C’est en ces termes que l’Amirauté commentait le récit des survivants concernant la mort affreuse du mousse du Thisbé.
Ce 6 septembre 1917 à 12h15, le Capitaine et son second se trouvaient sur la passerelle quand retentit le cri de l’un des veilleurs suivi presque aussitôt par le fracas d’une énorme explosion. Le veilleur venait d’apercevoir le sillage d’une torpille à une dizaine de mètres du flanc tribord du navire, bien trop tard pour que la moindre action puisse être tentée. Les deux embarcations de tribord furent déchiquetées mais pire encore était la situation du navire qui se remplissait très vite et commençait déjà à chavirer. Huit hommes parvenaient à mettre à l’eau l’une des embarcations de bâbord tandis que les autres se jetaient dedans ou comme ce fut le cas pour le Capitaine, se trouvaient projetés à la mer par la violence de l’explosion. Il était d’ailleurs repêché peu après, grièvement blessé dans le dos. Agonisant, le Capitaine regardait sombrer son navire quand il aperçut le visage terrorisé du mousse à un hublot qu’il venait d’ouvrir. Le pauvre enfant tendait le bras désespérément tandis que le navire se retournait lentement et ses cris glacaient d’effroi jusqu’aux plus endurcis. On ne pouvait hélas rien faire pour lui et quelques secondes plus tard, il disparaissait avec le Thisbé. Son destin était d’autant plus tragique qu’il naviguait avec son père, étant le fils du 3e mécanicien qui devait lui aussi disparaître avec 5 autres marins, soit noyé, soit tué par l’explosion.
Six hommes dans l’eau parveanaient alors à s’accrocher à un radeau qui s’était libéré et flottait depuis le chavirage du Thisbé.
Le Lieutenant Bartlett, Commandant de la vedette ML 314, signalait qu’il avait observé une colonne de fumée sur le tribord du vapeur et qu’il avait alors fait route à vive allure pour se porter à son secours. En deux minutes, le navire avait disparu et il gouverna alors au milieu des épaves pour récupérer les rescapés. Ce faisant, un veilleur apercevait le kiosque d’un sous-marin à environ 500 mètres dans le sud-ouest. Les canonniers recevaient aussitôt l’ordre d’ouvrir le feu sur lui mais le sous-marin plongeait rapidement. Après avoir passé quelque temps à larguer des grenades sous-marines, le Lieutenant Bartlett retournait sur Penzance où il débarquait les survivants.
Source : Neil Maw, World War One Channel wrecks, p 19
Le Thisbé transportait 1374 tonnes de charbon chargées à la Charbonnerie Principale de Neath Abbey, pour destination Caen. Il était armé d’un canon de 90mm et servi par un équipage de 21 hommes.
Le sous-marin UB 35 avait appareillé de Zeebrugge le 1er Septembre pour son secteur de patrouille attribué, la zone occidentale de la Manche. Au cours de cette patrouille, il avait d'abord été attaqué le 3 au large de l'Ile de Wight par un avion qui lui avait lancé des bombes. Trois jours plus tard il coulait le Thisbé et son commandant signale avoir reçu 4 grenades sous-marines qui ne causèrent aucun dommage lors de la contre attaque. Le lendemain, il coulait d'une torpille lancée en plongée le norvégien Haakon VII puis le 8, au large d'Ouessant, en les sabordant cette fois ou en utilisant son canon, les goélettes françaises Blanche et Armorique suivies de la goélette russe Meeta. Le 13, il était de retour à sa base.
Karl Stöter et l'UB 35 allaient rencontrer leur destin quelques mois plus tard, le 26 Janvier 1918 dans la sortie est du Pas de Calais, sous les grenades du destroyer HMS Leven. Sept hommes parvenaient à s'échapper du sous-marin mais lorsque le destroyer revint sur les lieux, il n'y en avait plus qu'un de vivant qui devait décéder peu après. L'équipage présent à bord était de 26 hommes.
Plus chanceux étaient les deux hommes qui la veille avaient été envoyés à bord d'un bateau grec pour le saborder et que Stöter avait du abandonner lorsque le patrouilleur P 34 avait fait irruption sur les lieux. Ces deux là, faits prisonniers par le P 34 lui doivent d'avoir eu la vie sauve.
sources : Arno Spindler, Der Handelskrieg mit U-Booten, vol. 4
et Harald Bendert, Die UB-Boote der Kaiserlichen Marine.
Cdlt à tous
Yves
Voici la suite promise hier soir.
Extrait de WW1 Channel wrecks, Neil Maw :
« Nous suggérons d’utiliser dans ce cas l’appellation de meurtre ignoble »
C’est en ces termes que l’Amirauté commentait le récit des survivants concernant la mort affreuse du mousse du Thisbé.
Ce 6 septembre 1917 à 12h15, le Capitaine et son second se trouvaient sur la passerelle quand retentit le cri de l’un des veilleurs suivi presque aussitôt par le fracas d’une énorme explosion. Le veilleur venait d’apercevoir le sillage d’une torpille à une dizaine de mètres du flanc tribord du navire, bien trop tard pour que la moindre action puisse être tentée. Les deux embarcations de tribord furent déchiquetées mais pire encore était la situation du navire qui se remplissait très vite et commençait déjà à chavirer. Huit hommes parvenaient à mettre à l’eau l’une des embarcations de bâbord tandis que les autres se jetaient dedans ou comme ce fut le cas pour le Capitaine, se trouvaient projetés à la mer par la violence de l’explosion. Il était d’ailleurs repêché peu après, grièvement blessé dans le dos. Agonisant, le Capitaine regardait sombrer son navire quand il aperçut le visage terrorisé du mousse à un hublot qu’il venait d’ouvrir. Le pauvre enfant tendait le bras désespérément tandis que le navire se retournait lentement et ses cris glacaient d’effroi jusqu’aux plus endurcis. On ne pouvait hélas rien faire pour lui et quelques secondes plus tard, il disparaissait avec le Thisbé. Son destin était d’autant plus tragique qu’il naviguait avec son père, étant le fils du 3e mécanicien qui devait lui aussi disparaître avec 5 autres marins, soit noyé, soit tué par l’explosion.
Six hommes dans l’eau parveanaient alors à s’accrocher à un radeau qui s’était libéré et flottait depuis le chavirage du Thisbé.
Le Lieutenant Bartlett, Commandant de la vedette ML 314, signalait qu’il avait observé une colonne de fumée sur le tribord du vapeur et qu’il avait alors fait route à vive allure pour se porter à son secours. En deux minutes, le navire avait disparu et il gouverna alors au milieu des épaves pour récupérer les rescapés. Ce faisant, un veilleur apercevait le kiosque d’un sous-marin à environ 500 mètres dans le sud-ouest. Les canonniers recevaient aussitôt l’ordre d’ouvrir le feu sur lui mais le sous-marin plongeait rapidement. Après avoir passé quelque temps à larguer des grenades sous-marines, le Lieutenant Bartlett retournait sur Penzance où il débarquait les survivants.
Source : Neil Maw, World War One Channel wrecks, p 19
Le Thisbé transportait 1374 tonnes de charbon chargées à la Charbonnerie Principale de Neath Abbey, pour destination Caen. Il était armé d’un canon de 90mm et servi par un équipage de 21 hommes.
Le sous-marin UB 35 avait appareillé de Zeebrugge le 1er Septembre pour son secteur de patrouille attribué, la zone occidentale de la Manche. Au cours de cette patrouille, il avait d'abord été attaqué le 3 au large de l'Ile de Wight par un avion qui lui avait lancé des bombes. Trois jours plus tard il coulait le Thisbé et son commandant signale avoir reçu 4 grenades sous-marines qui ne causèrent aucun dommage lors de la contre attaque. Le lendemain, il coulait d'une torpille lancée en plongée le norvégien Haakon VII puis le 8, au large d'Ouessant, en les sabordant cette fois ou en utilisant son canon, les goélettes françaises Blanche et Armorique suivies de la goélette russe Meeta. Le 13, il était de retour à sa base.
Karl Stöter et l'UB 35 allaient rencontrer leur destin quelques mois plus tard, le 26 Janvier 1918 dans la sortie est du Pas de Calais, sous les grenades du destroyer HMS Leven. Sept hommes parvenaient à s'échapper du sous-marin mais lorsque le destroyer revint sur les lieux, il n'y en avait plus qu'un de vivant qui devait décéder peu après. L'équipage présent à bord était de 26 hommes.
Plus chanceux étaient les deux hommes qui la veille avaient été envoyés à bord d'un bateau grec pour le saborder et que Stöter avait du abandonner lorsque le patrouilleur P 34 avait fait irruption sur les lieux. Ces deux là, faits prisonniers par le P 34 lui doivent d'avoir eu la vie sauve.
sources : Arno Spindler, Der Handelskrieg mit U-Booten, vol. 4
et Harald Bendert, Die UB-Boote der Kaiserlichen Marine.
Cdlt à tous
Yves
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La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
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Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Bonjour Yves D, bonjour à tous,
J'ai dans ma bibliothèque les tomes 1, 2, et 3 de la guerre sous-marine par Arno Spindler chez l'éditeur Payot. Le tome 4 est-il paru dans une traduction française ?
Par avance, merci pour votre réponse.
Bien cordialement, Caballero.
J'ai dans ma bibliothèque les tomes 1, 2, et 3 de la guerre sous-marine par Arno Spindler chez l'éditeur Payot. Le tome 4 est-il paru dans une traduction française ?
Par avance, merci pour votre réponse.
Bien cordialement, Caballero.
Caballero
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Bonjour Rolando
Contrairement aux 3 premiers volumes, les volumes 4 et 5 n'ont jamais été traduits en français ou en anglais. Ils ont été publiés en allemand seulement en 1941 par E.S. Mittler & Sohn, Berlin et sans doute à tirage restreint. Ils sont quasiment intouvables et apparaissent parfois sur Ebay ou Bookfinder. Compter entre 700 et plus de 1000 EUR les 2 volumes !
Il y a de cela 2 ou 3 ans, un éditeur anglais avait envisagé de les publier en anglais mais je ne sais pas pourquoi il n'a pas donné suite. Sans doute pour une question de droits car l'éditeur existe toujours et aussi du faible nombre d'ouvrages potentiellement vendables vu la spécificité du sujet.
Cdlt
Yves
Contrairement aux 3 premiers volumes, les volumes 4 et 5 n'ont jamais été traduits en français ou en anglais. Ils ont été publiés en allemand seulement en 1941 par E.S. Mittler & Sohn, Berlin et sans doute à tirage restreint. Ils sont quasiment intouvables et apparaissent parfois sur Ebay ou Bookfinder. Compter entre 700 et plus de 1000 EUR les 2 volumes !
Il y a de cela 2 ou 3 ans, un éditeur anglais avait envisagé de les publier en anglais mais je ne sais pas pourquoi il n'a pas donné suite. Sans doute pour une question de droits car l'éditeur existe toujours et aussi du faible nombre d'ouvrages potentiellement vendables vu la spécificité du sujet.
Cdlt
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Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Rebonjour Yves, bonjour à tous,
Cela fait un peu cher, et ne fera probablement qu'augmenter... dans la mesure ou aucune réédition n'est en vue. Le plus simple serait peut-être d'apprendre la langue allemande ?!
Merci pour ces informations.
Bien cordialement, Caballero.
Cela fait un peu cher, et ne fera probablement qu'augmenter... dans la mesure ou aucune réédition n'est en vue. Le plus simple serait peut-être d'apprendre la langue allemande ?!
Merci pour ces informations.
Bien cordialement, Caballero.
Caballero
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Par curiosité je viens de faire une recherche sur Bookfinder.com
Les 3 premiers volumes seulement (ceux que l'on trouve facilement) sont en vente à 903 EUR mais il y a plus cher, soit 500 à 600 l'un de ceux là ! et il n'y a pas de raison pour que ça n'augmente pas davantage. Quant aux deux derniers, comme je le disais ci-dessus, à mon avis quand on en trouve un ils doivent à présent tourner autour de 1000 le volume.
Autant dire qu'à ce prix là, je veille sur les miens comme sur un trésor !
Le problème n'est pas d'apprendre l'allemand, même si c'est indispensable, c'est d'abord de trouver et d'acheter les deux derniers volumes c'est ce qui risque d'être le plus difficile. J'ajoute à mon précédent post que si le vol. 4 a été publié en 1941, le dernier l'a été en 1966.
La solution de se procurer les livres de Harald Bendert qui a pour l'essentiel recopié Spindler est bien moins onéreuse mais elle ne couvre que les UB et les UC. Il manque donc tous les U. J'avais posé la question à l'éditeur de savoir si Bendert avait l'intention de poursuivre et d'achever sa série avec les U mais la réponse a été malheureusement négative. Cela dit, les deux volumes UB et UC, bien que moins bien renseignés que Spindler sont déjà une solution abordable. Je les ai présentés sur mon site histomar à la rubrique bibliographie.
Là aussi, la connaissance de la langue de Goethe est indispensable
Yves
Les 3 premiers volumes seulement (ceux que l'on trouve facilement) sont en vente à 903 EUR mais il y a plus cher, soit 500 à 600 l'un de ceux là ! et il n'y a pas de raison pour que ça n'augmente pas davantage. Quant aux deux derniers, comme je le disais ci-dessus, à mon avis quand on en trouve un ils doivent à présent tourner autour de 1000 le volume.
Autant dire qu'à ce prix là, je veille sur les miens comme sur un trésor !
Le problème n'est pas d'apprendre l'allemand, même si c'est indispensable, c'est d'abord de trouver et d'acheter les deux derniers volumes c'est ce qui risque d'être le plus difficile. J'ajoute à mon précédent post que si le vol. 4 a été publié en 1941, le dernier l'a été en 1966.
La solution de se procurer les livres de Harald Bendert qui a pour l'essentiel recopié Spindler est bien moins onéreuse mais elle ne couvre que les UB et les UC. Il manque donc tous les U. J'avais posé la question à l'éditeur de savoir si Bendert avait l'intention de poursuivre et d'achever sa série avec les U mais la réponse a été malheureusement négative. Cela dit, les deux volumes UB et UC, bien que moins bien renseignés que Spindler sont déjà une solution abordable. Je les ai présentés sur mon site histomar à la rubrique bibliographie.
Là aussi, la connaissance de la langue de Goethe est indispensable

Yves
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La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
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Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Bonsoir Yves D, bonsoir à tous,
Je trouve les livres de Spindler en langue française (Payot) à 30-35 € le volume plus le port sur Internet ; vous indiquez 903€ les 3 volumes, y-a-il une coquille (d'huître...) ?
Bien cordialement, Caballero.
Je trouve les livres de Spindler en langue française (Payot) à 30-35 € le volume plus le port sur Internet ; vous indiquez 903€ les 3 volumes, y-a-il une coquille (d'huître...) ?
Bien cordialement, Caballero.
Caballero
Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Non, l'édition Payot est fournie sans les cartes et les additifs de plans etc. Et ceux dont je parle sont ceux de l'édition originale, ce qui en fait la valeur. La traduction faite par le Cdt Jouan chez Payot est de très bonne qualité mais ce n'est pas l'édition originale et surtout cette édition limitée aux 3 premiers volumes s'arrête à février 1917. Il manque donc l'essentiel de la guerre sous-marine à partir de février 17. Je le concède, à 900EUR pour ces 3 volumes même originaux c'est très cher.
Tout cela concerne les 3 premiers volumes que l'on trouve également en anglais.
Reste les deux derniers ; ceux là n'existent qu'en allemand (en impression Fraktur ou gothique si vous préférez) et ce sont ces deux volumes là accompagnés de leur lot de cartes, plans etc qui atteignent des chiffres faramineux. Si vous trouvez ces deux volumes en bon état à moins de 1000 EUR c'est une affaire à saisir de suite !
Cdlt
Yves
Tout cela concerne les 3 premiers volumes que l'on trouve également en anglais.
Reste les deux derniers ; ceux là n'existent qu'en allemand (en impression Fraktur ou gothique si vous préférez) et ce sont ces deux volumes là accompagnés de leur lot de cartes, plans etc qui atteignent des chiffres faramineux. Si vous trouvez ces deux volumes en bon état à moins de 1000 EUR c'est une affaire à saisir de suite !
Cdlt
Yves
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Re: THISBE - Société Navale Caennaise
Bonsoir Yves D, bonsoir à tous,
OK, cela est clair. J'ai donc l'édition courante (complète en 3 tomes) traduite par René Jouan qui était alors Capitaine de frégate.
Il me semble que certains bouquinistes ignorent ces différences qui modifient la qualité de l'information et aussi le prix.
Merci pour ces précisions.
Bien cordialement, Caballero.
OK, cela est clair. J'ai donc l'édition courante (complète en 3 tomes) traduite par René Jouan qui était alors Capitaine de frégate.
Il me semble que certains bouquinistes ignorent ces différences qui modifient la qualité de l'information et aussi le prix.
Merci pour ces précisions.
Bien cordialement, Caballero.
Caballero