Voila les premières anomalies qui vont précéder hélas bien d'autres...
Par exemple sur un site de vente bien connu... j'ai pu lire cette annonce: "vends du fil de fer Barre Belley !!!!"
Je signale à cette personne l'anomalie et il me répond qu'il a fait une faute d'orthographe... AH oui j'ai oublié de dire le prix...
Depuis quelques temps sur certains écrits de revues sur le centenaire on peut lire" la der des derS !!
Pourquoi il est indiqué un S au deuxième der ?
Je sais que je suis peut-être tatillon, mais cela m'agace.
Cordialement.
J.Claude
la vérité appartient à ceux qui la recherchent et non à ceux qui croient la détenir.
Bonjour,
Jean-Claude, pour une fois que le pluriel tente d'être respecté !!! Peut-être que le mot n'évoque rien ... plus de joueurs de belote ????
Comme le Char Dassault ??? Le vendeur aurait pu avoir l’élégance de prétendre avoir fait exprès un argument marketing .....
Mais bon, est-ce grave ??? (même si ça énerve les "seniors")
vivement 1920 - au moins
Cordialement
Alain
Non je ne suis pas d'accord le 2ème Der ne doit pas s'écrire avec un S.
Il ne s'agit pas d'un mot mais d'une réduction d'un mot. Vous pensez bien que les journalistes, les auteurs et écrivains l'auraient fait depuis 1918, non ?
Mes deux exemples et j'en ai bien d'autres confirment ce que je pensais... A l'occasion des centenaires, bien des personnes vont écrire des sottises ... pour essayer de faire des sous...
Merci pour "même si cela énerve les séniors".. N'oubliez pas que ce sont les séniors qui sont en charge de transmettre le souvenir de nos anciens.
Bien amicalement.
J.Claude
la vérité appartient à ceux qui la recherchent et non à ceux qui croient la détenir.
« Réduction d’un mot » : il s’agit soit une « apocope », chute d’un phonème ou d’une syllabe à la fin d’un mot — exemple : « Vélo » —, soit une « aphérèse », chute d’un phonème ou d’une syllabe au début d’un mot — exemple : « Pitaine ». Et ces deux exemples prennent la marque du pluriel : des vélos ; des pitaines.
« Senior », mot latin, ne prend pas l’accent.
Bien qu’on l’entende quotidiennement dans la bouche des journalistes et des hommes politiques, l’expression « en charge » est incorrecte. On doit donc écrire « chargé du [ou de] ». Exemples : « le juge d’instruction chargé du dossier » ; « le ministre chargé de l’économie ». Sont en revanche correctes les tournures techniques : « la batterie en charge » et « le poids total en charge »...
Dans le même registre, j’abhorre l’expression « feuille de route », cette dernière n’étant autre que l’annexe d’un livret militaire indiquant le corps à rejoindre en cas de mobilisation. On doit donc écrire plus sobrement « programme », voire, selon le contexte, « projet ».