Bonjour,
J'ai déjà lu me semble-t-il de telles choses... mais où ?
On peut signaler cependant que la baïonnette française, la fameuse rosalie, étant plus longue avec le Lebel que celle de son adversaire sur le Mauser donnait un "certain" avantage aux français.
Néanmoins, la lame de la Rosalie était beaucoup plus fragile alors...
Lazio
baionnettes
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LABARBE Bernard
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Re: baionnettes
Bonjour,
En 1922 des pèlerins venus sur les lieux des combats de Lobbes du 23 août 14 ont rapporté des témoignages d'habitants:
"....Nous avons trouvé deux groupes de deux français et deux allemands embrochés réciproquement à la baïonnette".
(Cité par Couraud, "Le 57ème RI pendant la grande guerre")
Cordialement,
Bernard
En 1922 des pèlerins venus sur les lieux des combats de Lobbes du 23 août 14 ont rapporté des témoignages d'habitants:
"....Nous avons trouvé deux groupes de deux français et deux allemands embrochés réciproquement à la baïonnette".
(Cité par Couraud, "Le 57ème RI pendant la grande guerre")
Cordialement,
Bernard
Re: baionnettes
le terme embroché me choque car il s'agit d'etres humains et non de poulets il faut faire la part des choses la propagande a joué un role tres nocif selon certaines sources médicales moins d'1% des blessés l'ont été par arme blanche. les soldats mesuraient 1.6 en moyenne et la " canne à pêche" munie de rosalie devait faire un peu moins de 2m ce quii donne un instrument inserviable et dans les tranchées totalement inutile cordialemnt
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LABARBE Bernard
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Re: baionnettes
Tout à fait d'accord avec toi Renaud sur ce détail choquant dont raffolaient les journaux d'ailleurs.
Celà dit attention aux témoignages effectivement. J'ai fait court, mais précédemment il était écrit:
" Sur le point où a lutté le 57ème, la lutte a été si chaude que deux jours après le combat, alors que nous (les belges) venions pour relever vos morts, nous n'avons pas pu passer sur le chemin, tellement était grand le nombre des morts Français et Allemands."
Analyse:
- D'abord, bouche à oreille dans l'ordre: belges, pèlerins, Couraud. Avec exagérations à chaque transmission sans doute...
- Pourquoi 2 jours après le combat ? Car durant ces deux jours, les allemands se sont employés à ramasser la plupart de leurs morts, autorisant ensuite les habitants à venir s'occuper des français. Alors "tellement était grand le nombre des morts Français et Allemands" ?
- "...nous n'avons pas pu passer sur le chemin.." Hors les combats se sont déroulés partout sur le plateau de Heuleu, aussi bien en pleins champs de betteraves que dans les bois et pas uniquement sur un chemin.
B.
Celà dit attention aux témoignages effectivement. J'ai fait court, mais précédemment il était écrit:
" Sur le point où a lutté le 57ème, la lutte a été si chaude que deux jours après le combat, alors que nous (les belges) venions pour relever vos morts, nous n'avons pas pu passer sur le chemin, tellement était grand le nombre des morts Français et Allemands."
Analyse:
- D'abord, bouche à oreille dans l'ordre: belges, pèlerins, Couraud. Avec exagérations à chaque transmission sans doute...
- Pourquoi 2 jours après le combat ? Car durant ces deux jours, les allemands se sont employés à ramasser la plupart de leurs morts, autorisant ensuite les habitants à venir s'occuper des français. Alors "tellement était grand le nombre des morts Français et Allemands" ?
- "...nous n'avons pas pu passer sur le chemin.." Hors les combats se sont déroulés partout sur le plateau de Heuleu, aussi bien en pleins champs de betteraves que dans les bois et pas uniquement sur un chemin.
B.
Re: baionnettes
a Bernard
je ne suis pas renaud mais georges d'angoulême amitiés
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LABARBE Bernard
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Re: baionnettes
Bonjour,
Je me permet de mettre un petit mot qui j'espere sera accepté
Effectivement Bernard, Madame Dubois qui est une personne d'un age très avancé m'a rapporté que ses parents qui habitaient Heuleu parlaient lord de rassemblement de leurs souvenirs, parmi ces souvenirs elle se rappel que ses parents parlaient de deux soldats retrouvaient percés de part en part, à genou et l'un contre l'autre .
Pour le chemin où se trouvaient d'après les récits les ( tas de soldats ), dans ce lieu c'est possible a plusieurs places , le première endroit est a proximité de la ferme Philémon qui se trouvait en bordure de chemin , le deuxiéme endroit ca peux etre au verger car la 144 à été bloquée d'un feu nourrit et ont du rester sur place avant qu'une SM viennent les tirer de là et ceux ci se trouvent en bordure de chemin et puis le bois ou se trouvaient les allemands lorsqu'ils ont passé la passerel , ce bois est séparé d'un chemin egalement et les troupes francaise ont étaient décimées par les tires des soldats allemand embusqués.
En conclusion , il me semble qu'une part de vérité se trouve dans les bouquins et a partir de ce moment on essaient de réaliser la sauvagerie des combats qui est alimenté par l'esprit de sa propre protection et on peut se dire que l'homme ne devait plus etre un homme mais un fauve qui voulait s'en sortir et TOUS LES MOYEN ETAIENT BON .
Il ne faut pas oublier qu'après leurs 5 coups de fusil ils ne leur restaient que la baionnette et la crosse du fusil car recharger leur couteraient la vie .
Je me permet de mettre un petit mot qui j'espere sera accepté
Effectivement Bernard, Madame Dubois qui est une personne d'un age très avancé m'a rapporté que ses parents qui habitaient Heuleu parlaient lord de rassemblement de leurs souvenirs, parmi ces souvenirs elle se rappel que ses parents parlaient de deux soldats retrouvaient percés de part en part, à genou et l'un contre l'autre .
Pour le chemin où se trouvaient d'après les récits les ( tas de soldats ), dans ce lieu c'est possible a plusieurs places , le première endroit est a proximité de la ferme Philémon qui se trouvait en bordure de chemin , le deuxiéme endroit ca peux etre au verger car la 144 à été bloquée d'un feu nourrit et ont du rester sur place avant qu'une SM viennent les tirer de là et ceux ci se trouvent en bordure de chemin et puis le bois ou se trouvaient les allemands lorsqu'ils ont passé la passerel , ce bois est séparé d'un chemin egalement et les troupes francaise ont étaient décimées par les tires des soldats allemand embusqués.
En conclusion , il me semble qu'une part de vérité se trouve dans les bouquins et a partir de ce moment on essaient de réaliser la sauvagerie des combats qui est alimenté par l'esprit de sa propre protection et on peut se dire que l'homme ne devait plus etre un homme mais un fauve qui voulait s'en sortir et TOUS LES MOYEN ETAIENT BON .
Il ne faut pas oublier qu'après leurs 5 coups de fusil ils ne leur restaient que la baionnette et la crosse du fusil car recharger leur couteraient la vie .