Bon, ben Jean-Pierre, hein... à raison d'un p'tit scan de rien du tout par jour, dans quatre ans on est bon. Allez, bon courage !
Amicalement,
Stephan
P.S. Plus sérieusement, je ne connaissais pas ces documents, et je les trouve très émouvants. Ils reflètent parfaitement, de part l'application de ce travail de bénédictin, le traumatisme laissé par cette guerre... On ramasse tous les morceaux, tout, tout ce qu'on trouve, on collecte, on rassemble... une plaque par-ci, une montre par-là, là encore un morceau d'étoffe... on reconstitue ce que l'on peut tant ce "broyage" d'hommes fut et reste incompréhensible...