Bonjour à tous.
Dans mes recherches, j'ai 2 douaniers ┼ en 1918:
1) LAPIERRE Gaston O 22/05/1883 ┼ 14/10/1918
2) PUJOL Ernest Dominique O 26/04/1890 ┼ 7/10/1918
Si l'un d'entre vous possède ce fameux livre d'Or, pourrait-il me faire parvenir les encarts concernant ces 2 soldats ?
Je sais, le livre est disponible sur la toile mais, ± 40 Euro pour 2 noms....... et comme je ne fait pas de recherches spécifiques sur les douaniers............
Merci d'avance pour votre solidarité.
Cordialement
Pierre
Livre d'Or des Douanes
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonsoir Pierre
Voilà la fiche de Lapierre sous mémorial
http://www.memorialgenweb.org/memorial3 ... id=1845283
Pour Pujol Ernest
http://www.memorialgenweb.org/memorial3 ... &id=638280
Je ne peux faire mieux. ..... j ai malheureusement que celui de 39/45....
Si intéressé j ai des infos sur le 1 douanier blessé ou tué. ..je ne sais plus dans mes archives...1 guerre.
Une affection particulière pour le corps de chasse et la Grenade à 8 branches
Cordialement
Un gabelou
Voilà la fiche de Lapierre sous mémorial
http://www.memorialgenweb.org/memorial3 ... id=1845283
Pour Pujol Ernest
http://www.memorialgenweb.org/memorial3 ... &id=638280
Je ne peux faire mieux. ..... j ai malheureusement que celui de 39/45....
Si intéressé j ai des infos sur le 1 douanier blessé ou tué. ..je ne sais plus dans mes archives...1 guerre.
Une affection particulière pour le corps de chasse et la Grenade à 8 branches
Cordialement
Un gabelou
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonsoir Mr. le gabelou
Merci pour votre aide, mais ça j'ai déjà.
J'ai le parcours complet des 2 douaniers. C'est l'article paru dans le livre d'Or qui m'intéresse. C'est pour compléter mon dossier.
Attention ce soir il va faire froid, couvrez vous pour passer la nuit à la planque.
Cordialement
Pierre
Merci pour votre aide, mais ça j'ai déjà.
J'ai le parcours complet des 2 douaniers. C'est l'article paru dans le livre d'Or qui m'intéresse. C'est pour compléter mon dossier.
Attention ce soir il va faire froid, couvrez vous pour passer la nuit à la planque.
Cordialement
Pierre
Re: Livre d'Or des Douanes
Merci......mais maintenant je suis en grand vacances.
Bonne continuation
Cordialement
Gerard
PS un contact avec le musée de la douane à Bordeaux et une piste serieuse
Bonne continuation
Cordialement
Gerard
PS un contact avec le musée de la douane à Bordeaux et une piste serieuse
-
- Messages : 234
- Inscription : mer. déc. 22, 2004 1:00 am
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonjour,
Je ne peux pas répondre spécifiquement à cette demande, mais possédant un grand nombre d'annuaires d'après-guerre, dans celui de 1924 il est fait mention de la publication de ce livre d'or avec les rappels suivants :
Nombre d'agents morts pour la France : 1421
Nombre d'agents blessés : 1885
Décorations obtenues par le personnel mobilisé :
- Légion d'honneur : 143
- Médaille militaire : 273
- Croix de guerre : 3079
Bien cordialement.
Frédéric
Je ne peux pas répondre spécifiquement à cette demande, mais possédant un grand nombre d'annuaires d'après-guerre, dans celui de 1924 il est fait mention de la publication de ce livre d'or avec les rappels suivants :
Nombre d'agents morts pour la France : 1421
Nombre d'agents blessés : 1885
Décorations obtenues par le personnel mobilisé :
- Légion d'honneur : 143
- Médaille militaire : 273
- Croix de guerre : 3079
Bien cordialement.
Frédéric
Re: Livre d'Or des Douanes
bonjour
voici se que j ai trouve dans le livre d or des douanes il n y a pas grand chose


cordialement
pascal
voici se que j ai trouve dans le livre d or des douanes il n y a pas grand chose


cordialement
pascal
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonsoir Pascal
Que trouve-t-on sur:
LAIBE G.X. préposé des douanes.....1 blessé en date du 2 août 1914 à Suarce.
Il faisait parti du bataillon de forteresse de Belfort.
A du terminer la guerre car je n'ai rien retrouve sur MDH.
Sur Gallica j ai trouvé quelque chose sur le jour du 29/10/1914 page 8470 citation à l ordre de l armée
Ainsi que sur le Jo du 12/12/1914 page 9119 proposition pour la médaille militaire
Si intéressé j'ai sa photo
Merci
Cordialement
Gerard
Que trouve-t-on sur:
LAIBE G.X. préposé des douanes.....1 blessé en date du 2 août 1914 à Suarce.
Il faisait parti du bataillon de forteresse de Belfort.
A du terminer la guerre car je n'ai rien retrouve sur MDH.
Sur Gallica j ai trouvé quelque chose sur le jour du 29/10/1914 page 8470 citation à l ordre de l armée
Ainsi que sur le Jo du 12/12/1914 page 9119 proposition pour la médaille militaire
Si intéressé j'ai sa photo
Merci
Cordialement
Gerard
- Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonsoir,
Voici ce que j'avais, de mon côté, glané sur lui il y a quelques années.
"Le douanier français Georges Laibe (classe 1901), premier blessé de la guerre.
Le citoyen français qui, le premier, versa son sang pour la patrie, est le préposé des douanes Georges Laibe, de la classe 1901.
Le détachement de reconnaissance que commandait le lieutenant Mayer dans la matinée du 2 août se divisait en plusieurs patrouilles : une première patrouille, commandée par lui-même, se dirigeait vers Joncherey, où sera tué le caporal Peugeot ; une deuxième patrouille passa à Chavannes-les-Grands ; une troisième s’engagea entre Réchésy et Lepuix – Delle et la quatrième suivit la route Dannemarie – Suarce. Cette dernière patrouille passa à travers champs pour éviter le bruit des galopades sur les routes.
Le douanier Laibe se trouvait à Suarce.
Nous rapportons le récit qu’il a laissé de cette aventure :
« J’occupais, avec mon camarade Bailly, le petit poste de Suarce. Vers 9 heures du matin, j’entendis crier : « Les Allemands ! Les Allemands ! » Nous sommes sortis pour voir ce qui arrivait. Nous ayons alors aperçu des cavaliers allemands trottant à travers champs. Nous nous sommes empressés de téléphoner à Delle pour aviser notre chef de l’arrivée des Allemands. Ce dernier ne nous crut qu’à moitié.
Nous sommes descendus ensuite pour rejoindre le poste qui se trouvait à la sortie de Suarce, route de Vellescot, où un câble d’acier barrait la route.
Des cavaliers allemands nous avaient aperçus et, d’un bosquet situé à proximité de la route, nous avons essuyé plusieurs coups de feu.
Nous avons alors ouvert le feu, cachés dans l’intérieur d’un bosquet. Un cheval allemand fut touché et tomba. Son cavalier sauta en croupe d’un de ses camarades et, avec le reste de la patrouille, disparut au galop.
Nous pensions que l’alerte était terminée. Mais une autre patrouille allemande survenait, vraisemblablement attirée par les coups de feu, et nous prenait de flanc.
Me trouvant sous bois, j’ai voulu me rendre compte des nouveaux arrivants et au moment où j’écartais les branches pour sortir, je fus atteint à l’épaule gauche par une balle allemande.
Peu après, des coups de feu crépitaient du côté de Joncherey, où le caporal Peugeot devait trouver la mort.
Je me souviens également que, quelques heures auparavant, une patrouille allemande était arrivée en vue du poste de douaniers et avait fait demi-tour à la vue des douaniers en armes.
Dans l’après-midi du même jour, une nouvelle patrouille revenait à Suarce et emmenait huit otages ainsi que les chevaux et voitures du village. »
Après sa blessure, Georges Laibe fut évacué sur Belfort, puis sur Bourg, et revint au front. Son attitude courageuse lui valut la citation suivante : « Le préposé des douanes Laibe, du bataillon de forteresse des douaniers : le 2 août dernier, placé en avant des troupes de couverture, s’est bravement opposé avec ses camarades aux incursions des patrouilles allemandes et a été blessé d’une balle à l’épaule. » Il reçut également la médaille militaire.
Georges Laibe, qui se retira à Faverois, mourut le 20 novembre 1932, à l’âge de 57 ans. Le premier blessé de la guerre avait survécu dix-huit ans à sa blessure et à ce combat qui ouvrait l’interminable ba¬taille de cinquante-deux mois !
Alexandre MIGEON, « Les premiers morts de la guerre 14-18 », in Almanach du Combattant, 1954.
-----O-----
"J’ai été très intéressé par l’article du 4 août sur les premières victimes de la guerre de 14, ayant été témoin et un peu acteur des faits que vous évoquiez. Je me permets de vous adresser quelques détails à ce sujet, qui sont restés ignorés.
Né 18 jours avant le caporal Peugeot, je fus incorporé au 8e Groupe Cycliste le 13 novembre 1913 au château de Montbéliard, et Peugeot le fut à la même date au 44e Régiment d’Infanterie dont 2 compagnies étaient également casernées au château. Nos deux unités, ainsi que le 42e et le 35e Régiment d’Infanterie de Belfort, constituaient les troupes de couverture pour la région de la frontière suisse en direction du Nord, qui devaient être à leurs postes 3 heures après l’ordre de mobilisation générale.
Le 8e Groupe Cycliste était à ce moment en cantonnement d’alerte à Velescot et aux environs, c’est à dire à moins de 10 km de la frontière. La 4e section du Groupe Cycliste, dont je faisais partie, reçut l’ordre de poursuivre le reste des Allemands dès que fut connue l’attaque de Joncherey, et qui essayaient de rentrer en Allemagne. Partis de Velescot vers 11 heures, après avoir vu passer dans une voiture à planches le douanier Laibe qui nous a crié « courage les gars, on les aura ! » et accompagnés par une dizaine de dragons, nous avons franchi la frontière vers 11 heures 30 pour nous arrêter au premier village allemand, Pfetterhouse, à 4 km de Réchésy.
Stationnés dans la cour de la gare de 13 heures à 16 heures, nous avons rejoint notre cantonnement sans avoir vu un Allemand ; ils devaient sans doute se tenir à plus de cinq km de la frontière suivant la convention de la Haye en cette matière. Je ne crois pas qu’il y ait eu d’autres ordres, mais ces dispositions tenaient les troupes ennemies au moins à 10 km l’une de l’autre. Si le commandant Leyraud, du 3e bataillon du 35e R.I., se trouvait à Lacollonge, c’est à dire à moins de 10 km de la frontière, ceci confirme bien les renseignements donnés par nos chefs à ce sujet.
Notre détachement était commandé par le lieutenant Buisset, chef du 2e peloton, la 4e section l’était par le sergent Henri, et la 12e escouade, la mienne, par le caporal Monnot.
Je ne connais pas de survivant parmi ceux qui ont participé à cette reconnaissance qui était, je crois, le but de notre mission, et si elle ne fut guère connue, c’est qu’en effet elle constituait bien un acte de guerre. En tous cas, je crois que nous fûmes les premiers soldats français qui entrèrent en Allemagne avant la déclaration de guerre.
Tout ceci n’a guère d’importance, et je vous laisse libre d’en faire l’usage que vous jugerez bon.
En m’excusant de vous avoir fait perdre peut-être un peu de temps, je vous prie, Monsieur Robert, d’agréer l’expression de mes civilités empressées.
L. SIMON, 8 août 1974."
Ce second texte pourrait être issu de l'Est Républicain, je n'en ai pas la source.
Georges Laibe a été cité à l’ordre de la division le 20 septembre 1914, puis à l’ordre de l’Armée le 29 octobre 1914 (« Belle conduite et belle attitude au feu »), et la Médaille militaire lui a été attribuée le 12 décembre 1914.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Voici ce que j'avais, de mon côté, glané sur lui il y a quelques années.
"Le douanier français Georges Laibe (classe 1901), premier blessé de la guerre.
Le citoyen français qui, le premier, versa son sang pour la patrie, est le préposé des douanes Georges Laibe, de la classe 1901.
Le détachement de reconnaissance que commandait le lieutenant Mayer dans la matinée du 2 août se divisait en plusieurs patrouilles : une première patrouille, commandée par lui-même, se dirigeait vers Joncherey, où sera tué le caporal Peugeot ; une deuxième patrouille passa à Chavannes-les-Grands ; une troisième s’engagea entre Réchésy et Lepuix – Delle et la quatrième suivit la route Dannemarie – Suarce. Cette dernière patrouille passa à travers champs pour éviter le bruit des galopades sur les routes.
Le douanier Laibe se trouvait à Suarce.
Nous rapportons le récit qu’il a laissé de cette aventure :
« J’occupais, avec mon camarade Bailly, le petit poste de Suarce. Vers 9 heures du matin, j’entendis crier : « Les Allemands ! Les Allemands ! » Nous sommes sortis pour voir ce qui arrivait. Nous ayons alors aperçu des cavaliers allemands trottant à travers champs. Nous nous sommes empressés de téléphoner à Delle pour aviser notre chef de l’arrivée des Allemands. Ce dernier ne nous crut qu’à moitié.
Nous sommes descendus ensuite pour rejoindre le poste qui se trouvait à la sortie de Suarce, route de Vellescot, où un câble d’acier barrait la route.
Des cavaliers allemands nous avaient aperçus et, d’un bosquet situé à proximité de la route, nous avons essuyé plusieurs coups de feu.
Nous avons alors ouvert le feu, cachés dans l’intérieur d’un bosquet. Un cheval allemand fut touché et tomba. Son cavalier sauta en croupe d’un de ses camarades et, avec le reste de la patrouille, disparut au galop.
Nous pensions que l’alerte était terminée. Mais une autre patrouille allemande survenait, vraisemblablement attirée par les coups de feu, et nous prenait de flanc.
Me trouvant sous bois, j’ai voulu me rendre compte des nouveaux arrivants et au moment où j’écartais les branches pour sortir, je fus atteint à l’épaule gauche par une balle allemande.
Peu après, des coups de feu crépitaient du côté de Joncherey, où le caporal Peugeot devait trouver la mort.
Je me souviens également que, quelques heures auparavant, une patrouille allemande était arrivée en vue du poste de douaniers et avait fait demi-tour à la vue des douaniers en armes.
Dans l’après-midi du même jour, une nouvelle patrouille revenait à Suarce et emmenait huit otages ainsi que les chevaux et voitures du village. »
Après sa blessure, Georges Laibe fut évacué sur Belfort, puis sur Bourg, et revint au front. Son attitude courageuse lui valut la citation suivante : « Le préposé des douanes Laibe, du bataillon de forteresse des douaniers : le 2 août dernier, placé en avant des troupes de couverture, s’est bravement opposé avec ses camarades aux incursions des patrouilles allemandes et a été blessé d’une balle à l’épaule. » Il reçut également la médaille militaire.
Georges Laibe, qui se retira à Faverois, mourut le 20 novembre 1932, à l’âge de 57 ans. Le premier blessé de la guerre avait survécu dix-huit ans à sa blessure et à ce combat qui ouvrait l’interminable ba¬taille de cinquante-deux mois !
Alexandre MIGEON, « Les premiers morts de la guerre 14-18 », in Almanach du Combattant, 1954.
-----O-----
"J’ai été très intéressé par l’article du 4 août sur les premières victimes de la guerre de 14, ayant été témoin et un peu acteur des faits que vous évoquiez. Je me permets de vous adresser quelques détails à ce sujet, qui sont restés ignorés.
Né 18 jours avant le caporal Peugeot, je fus incorporé au 8e Groupe Cycliste le 13 novembre 1913 au château de Montbéliard, et Peugeot le fut à la même date au 44e Régiment d’Infanterie dont 2 compagnies étaient également casernées au château. Nos deux unités, ainsi que le 42e et le 35e Régiment d’Infanterie de Belfort, constituaient les troupes de couverture pour la région de la frontière suisse en direction du Nord, qui devaient être à leurs postes 3 heures après l’ordre de mobilisation générale.
Le 8e Groupe Cycliste était à ce moment en cantonnement d’alerte à Velescot et aux environs, c’est à dire à moins de 10 km de la frontière. La 4e section du Groupe Cycliste, dont je faisais partie, reçut l’ordre de poursuivre le reste des Allemands dès que fut connue l’attaque de Joncherey, et qui essayaient de rentrer en Allemagne. Partis de Velescot vers 11 heures, après avoir vu passer dans une voiture à planches le douanier Laibe qui nous a crié « courage les gars, on les aura ! » et accompagnés par une dizaine de dragons, nous avons franchi la frontière vers 11 heures 30 pour nous arrêter au premier village allemand, Pfetterhouse, à 4 km de Réchésy.
Stationnés dans la cour de la gare de 13 heures à 16 heures, nous avons rejoint notre cantonnement sans avoir vu un Allemand ; ils devaient sans doute se tenir à plus de cinq km de la frontière suivant la convention de la Haye en cette matière. Je ne crois pas qu’il y ait eu d’autres ordres, mais ces dispositions tenaient les troupes ennemies au moins à 10 km l’une de l’autre. Si le commandant Leyraud, du 3e bataillon du 35e R.I., se trouvait à Lacollonge, c’est à dire à moins de 10 km de la frontière, ceci confirme bien les renseignements donnés par nos chefs à ce sujet.
Notre détachement était commandé par le lieutenant Buisset, chef du 2e peloton, la 4e section l’était par le sergent Henri, et la 12e escouade, la mienne, par le caporal Monnot.
Je ne connais pas de survivant parmi ceux qui ont participé à cette reconnaissance qui était, je crois, le but de notre mission, et si elle ne fut guère connue, c’est qu’en effet elle constituait bien un acte de guerre. En tous cas, je crois que nous fûmes les premiers soldats français qui entrèrent en Allemagne avant la déclaration de guerre.
Tout ceci n’a guère d’importance, et je vous laisse libre d’en faire l’usage que vous jugerez bon.
En m’excusant de vous avoir fait perdre peut-être un peu de temps, je vous prie, Monsieur Robert, d’agréer l’expression de mes civilités empressées.
L. SIMON, 8 août 1974."
Ce second texte pourrait être issu de l'Est Républicain, je n'en ai pas la source.
Georges Laibe a été cité à l’ordre de la division le 20 septembre 1914, puis à l’ordre de l’Armée le 29 octobre 1914 (« Belle conduite et belle attitude au feu »), et la Médaille militaire lui a été attribuée le 12 décembre 1914.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: Livre d'Or des Douanes
Bonjour Eric et MERCI
Cordialement
Gerard
Cordialement
Gerard
Re: Livre d'Or des Douanes
bonsoir gerard
il a bien survecu au conflit

cordialement
pascal
il a bien survecu au conflit

cordialement
pascal