Bonjour
Le 28 juillet 1918 le soldat Comte Emile Chasseur au 9ème bataillon de chasseurs à pied est tué à Bois Meunière Champvoisy Marne. Je souhaiterais connaître plus de détails sur cette journée ainsi que l'action de ce bataillon à cette bataille.
Merci
9ème bataillon de chasseurs à pied juillet 1918
- Stephan @gosto
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Re: 9ème bataillon de chasseurs à pied juillet 1918
Bonsoir,
Voici un extrait de l'historique de ce bataillon.
Amicalement,
Stéphan
Poursuivant le mouvement en avant, le bataillon, à la droite de la division, lançait, le 25 juillet, ses éléments avancés après avoir relevé les troupes occupantes en les dépassant. Après un combat livré à 9 heures, il atteignait à 11 heures son premier objectif, l'Hérolle. Il faisait six prisonniers.
Le 26 juillet, le bataillon, qui devait poursuivre son mouvement et dont l'objectif était la lisière nord de la forêt de Ris, éprouvait à 9 heures une résistance de l'ennemi. Nos voisins à droite et à gauche, ne pouvaient progresser.
Le 27 juillet, J'ennemi cédait. A 13 heures, le bataillon -,tltei,,nilt son objectif qu'il dépassait. A 18 heures, il était à hauteur de Champvoisy.
Le 28 juillet, après un combat mené par nos éléments avancés, l'ennemi se repliait à 13 h. 20. Poursuivant sa marche, le bataillon atteignait, à 18 h. 30, la ferme de la Grange-au-Bois, maintenant le contact sur tout le front avec les patrouilles allemandes.
Le 29 Juillet, la division devait attaquer le bois Meunière oit l'ennemi, solidement posté, semblait vouloir offrir une sérieuse résistance. Nos éléments d'attaque se portaient à l'assaut : ils étaient fauchés par les mitrailleuses de l'ennemi invisibles, éparses dans un bois touffu. Nos voisins, à droite et à gauche, ne pouvaient avancer. Le 30 juillet, à 4 h. 45, l'attaque était reprise par toute la division. Une demi-compagnie du bataillon parvenait, au prix d'un courage et d'une habileté manoeuvrière dignes d'éloges., à pren(ire pied à la lisière sud du bois Meunière. Elle s'emparaît d'une mitrailleuse et de ses servants. A 11 heures, l'ennemi contre-attaquait ; il rejetait notre voisin de gauche à sa ligne de départ. La demi-compagnie du 9e se maintenait sur la position conquise. A 19 heures, le bataillon étendait son front vers la droite.
Le 31 juillet, l'ennemi après un bombardement de nuit, cédait le terrain. Poursuivant sa marche, le bataillon. atteignait, à 21 h. 30, la route Goussancourt-Coulonges.
Voici un extrait de l'historique de ce bataillon.
Amicalement,
Stéphan
Poursuivant le mouvement en avant, le bataillon, à la droite de la division, lançait, le 25 juillet, ses éléments avancés après avoir relevé les troupes occupantes en les dépassant. Après un combat livré à 9 heures, il atteignait à 11 heures son premier objectif, l'Hérolle. Il faisait six prisonniers.
Le 26 juillet, le bataillon, qui devait poursuivre son mouvement et dont l'objectif était la lisière nord de la forêt de Ris, éprouvait à 9 heures une résistance de l'ennemi. Nos voisins à droite et à gauche, ne pouvaient progresser.
Le 27 juillet, J'ennemi cédait. A 13 heures, le bataillon -,tltei,,nilt son objectif qu'il dépassait. A 18 heures, il était à hauteur de Champvoisy.
Le 28 juillet, après un combat mené par nos éléments avancés, l'ennemi se repliait à 13 h. 20. Poursuivant sa marche, le bataillon atteignait, à 18 h. 30, la ferme de la Grange-au-Bois, maintenant le contact sur tout le front avec les patrouilles allemandes.
Le 29 Juillet, la division devait attaquer le bois Meunière oit l'ennemi, solidement posté, semblait vouloir offrir une sérieuse résistance. Nos éléments d'attaque se portaient à l'assaut : ils étaient fauchés par les mitrailleuses de l'ennemi invisibles, éparses dans un bois touffu. Nos voisins, à droite et à gauche, ne pouvaient avancer. Le 30 juillet, à 4 h. 45, l'attaque était reprise par toute la division. Une demi-compagnie du bataillon parvenait, au prix d'un courage et d'une habileté manoeuvrière dignes d'éloges., à pren(ire pied à la lisière sud du bois Meunière. Elle s'emparaît d'une mitrailleuse et de ses servants. A 11 heures, l'ennemi contre-attaquait ; il rejetait notre voisin de gauche à sa ligne de départ. La demi-compagnie du 9e se maintenait sur la position conquise. A 19 heures, le bataillon étendait son front vers la droite.
Le 31 juillet, l'ennemi après un bombardement de nuit, cédait le terrain. Poursuivant sa marche, le bataillon. atteignait, à 21 h. 30, la route Goussancourt-Coulonges.
Re: 9ème bataillon de chasseurs à pied juillet 1918
je vous remercie de votre répone