Bonjour à tous, je recherche des informations cocnernant la D.E.S, j'ai retrouvé dans des archives, ce terme qui apparait en 1915, après les premiers bombardements de la ville, l'état-major de la D.E.S est venu s'installé en ville, si quelqu'un peut me renseigner sur cette abréviation.
cordialement
Florian
D.E.S
Re: D.E.S
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
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Stephan @gosto
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Re: D.E.S
Bonjour,
Peut-être Direction des Etapes et des Services ?
Concernant la ville... il s'agit de la fameuse ville ou simplement de la ville, ou alors juste de la ville ?
Cordialement,
Stéphan
Peut-être Direction des Etapes et des Services ?
Concernant la ville... il s'agit de la fameuse ville ou simplement de la ville, ou alors juste de la ville ?
Cordialement,
Stéphan
Re: D.E.S
Salut Stephan,
tu sais bien la ville qui est près de la ville ou se trouve la D.E.S en ville, bon trève de plaisanterie, tu as raison, ma tête a marche pas bien!!!!
Il s'agit de la ville où j'habite, Remiremont, j'avais pensé à cela également, mais comme ils font allusion à cette arrivée d'état major, en même temps que l'apparition des premiers bombardements en janvier 15, et qu'ils y voyaient une relation, cela m'a mis le doute.
amicalement
Florian
tu sais bien la ville qui est près de la ville ou se trouve la D.E.S en ville, bon trève de plaisanterie, tu as raison, ma tête a marche pas bien!!!!
Il s'agit de la ville où j'habite, Remiremont, j'avais pensé à cela également, mais comme ils font allusion à cette arrivée d'état major, en même temps que l'apparition des premiers bombardements en janvier 15, et qu'ils y voyaient une relation, cela m'a mis le doute.
amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
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Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: D.E.S
Bonjour à tous,
Salut Florian,
D'après le contenu des documents que j'ai sous la main, différentes étapes ont prévalu à la délimitation de la D.E.S. de la VIIe Armée et à sa circulation dans ses trois zones.
En novembre 1914 existaient des zones A, B et C ; au 21 novembre 1915, la zone A était dite "des avant-postes", la zone B, "zone réservée des armées", la zone C, "zone non réservée". Une instruction du 6 avril 1916 institua une "zone de l'avant" (anciennement A), une "zone réservée" (décomposée en "avant" et "arrière") et une "zone non réservée" ("avant" et "arrière" également). Enfin, un arrêté du 15 mars 1917 fixa les limites de la "zone des armées", de la "zone réservée" et de la "zone non réservée".
Si tu y vois plus clair avec ça... Cela étant, avec un peu de temps je pourrai te donner les limites de ces zones.
Amicalement,
Eric
Salut Florian,
D'après le contenu des documents que j'ai sous la main, différentes étapes ont prévalu à la délimitation de la D.E.S. de la VIIe Armée et à sa circulation dans ses trois zones.
En novembre 1914 existaient des zones A, B et C ; au 21 novembre 1915, la zone A était dite "des avant-postes", la zone B, "zone réservée des armées", la zone C, "zone non réservée". Une instruction du 6 avril 1916 institua une "zone de l'avant" (anciennement A), une "zone réservée" (décomposée en "avant" et "arrière") et une "zone non réservée" ("avant" et "arrière" également). Enfin, un arrêté du 15 mars 1917 fixa les limites de la "zone des armées", de la "zone réservée" et de la "zone non réservée".
Si tu y vois plus clair avec ça...
Cela étant, avec un peu de temps je pourrai te donner les limites de ces zones.Amicalement,
Eric
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.