Bonjour,
Comment étaient affectés les soldats en dehors de leur compétences?
Y avait-il une origine géographique commune ?
Par exemple, si un homme sachant monté à cheval recruté à Abbeville était affecté dans un régiment d'artillerie, quel chance avait-il d'avoir dans son régiment des collègues cavaliers originaires du même village ?
Merci
Cordialement
l'origine géographique et l'affectation
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Re: l'origine géographique et l'affectation
Bonsoir,
les soldats étaient affectés en principe dans un régiment de leur Région Militaire. Sauf dans certains cas relevant de spécialités "rares"
Vous trouverez force détails à la page 17 du livre suivant:
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k377724k
Bonne lecture
Cordialement
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les soldats étaient affectés en principe dans un régiment de leur Région Militaire. Sauf dans certains cas relevant de spécialités "rares"
Vous trouverez force détails à la page 17 du livre suivant:
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k377724k
Bonne lecture
Cordialement
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Dominique
Re: l'origine géographique et l'affectation
Bonjour,
Oui mais beaucoup de "genses" de la région de Toulouse ont été affectés à Mende et Lodève (142è RI).
J.Claude
Oui mais beaucoup de "genses" de la région de Toulouse ont été affectés à Mende et Lodève (142è RI).
J.Claude
la vérité appartient à ceux qui la recherchent et non à ceux qui croient la détenir.
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Re: l'origine géographique et l'affectation
Bonjour Jean Claude, bonjour à tous,
c'est bien le pourquoi du "en principe".
A bientôt
c'est bien le pourquoi du "en principe".
A bientôt
Dominique
- Charraud Jerome
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Re: l'origine géographique et l'affectation
Bonjour
Quand ces personnes arrivent elles au 142e? Est ce avant 1914, ou après?
Etait-ce dans le cadre de leur service militaire ou dans le cadre de la mobilisation?
En réalité, il faut détailler un peu plus l'affirmation.
On fait souvent grand foin de la régionalisation des unités, mais cela est à relativiser en fonction des circonstances de guerre ou de paix. (renforts suite à grosses pertes dans l'unité, active ou réserve, position des dépots, ...)
Il y a un excellent article sur la régionalisation des recrutements dans une ancienne "Revue historique des Armées", mais je n'arrive pas à mettre la main dessus.
Cordialement
Jérôme Charraud
La réponse manque de précision, mais aussi la question de départ. J'explique ma volontaire provocation:Bonjour,
Oui mais beaucoup de "genses" de la région de Toulouse ont été affectés à Mende et Lodève (142è RI).
J.Claude
Quand ces personnes arrivent elles au 142e? Est ce avant 1914, ou après?
Etait-ce dans le cadre de leur service militaire ou dans le cadre de la mobilisation?
En réalité, il faut détailler un peu plus l'affirmation.
On fait souvent grand foin de la régionalisation des unités, mais cela est à relativiser en fonction des circonstances de guerre ou de paix. (renforts suite à grosses pertes dans l'unité, active ou réserve, position des dépots, ...)
Il y a un excellent article sur la régionalisation des recrutements dans une ancienne "Revue historique des Armées", mais je n'arrive pas à mettre la main dessus.
Cordialement
Jérôme Charraud
Les 68, 90, 268 et 290e RI dans la GG
Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
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- Jean RIOTTE
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Re: l'origine géographique et l'affectation
Bonsoir à tou(te)s,
Salut Jérôme,
Tout à fait d'accord avec toi.
Lorsque l'on parle de "recrutement régional" il faut toujours préciser: à quelle date?
Car si il est exact qu'en août 14 les régiments sont très "typés", après les hécatombes de l'été 14, la stabilisation du front puis les offensives et la crise des effectifs de 1915, la "régionalisation" du recrutement en a pris un sacré coup ! Et comme le dit très bien Jérôme par la suite ce furent les circonstances et les besoins qui ont primé.
Cordialement,
Jean RIOTTE
Salut Jérôme,
Tout à fait d'accord avec toi.
Lorsque l'on parle de "recrutement régional" il faut toujours préciser: à quelle date?
Car si il est exact qu'en août 14 les régiments sont très "typés", après les hécatombes de l'été 14, la stabilisation du front puis les offensives et la crise des effectifs de 1915, la "régionalisation" du recrutement en a pris un sacré coup ! Et comme le dit très bien Jérôme par la suite ce furent les circonstances et les besoins qui ont primé.
Cordialement,
Jean RIOTTE