Bonjour
Je me suis rapproché de l'équipe MemorialGenweb et grace à nos échanges et recoupement. Ils ont mis en ligne ce matin une liste de 2793 noms sur leur site incontournable http://www.memorial-genweb.org/~memoria ... om&debut=0
Merci à toute l'équipe et particulierement Patrick Caulé. Le travail continue mais les carnets d'adresses sont à jour.
Amicalement
Armand
Sur les traces du 132ème RI " Un contre Huit " et du 294ème RI (le "29-4")
Si je n'arrive pas trop tard, je suis intéressé par les fiches du 18ème BCP pour l'année 1914.
Si vous êtes intéressé, je peux transmettre une liste de +/-170 noms de chasseurs du 18ème BCP tombés entre le 02 août et le 30 septembre 14 (J'ai déjà transmis cette liste à un site de généalogie (nos-racines.fr) qui consacre une partie de ses recherches au 18ème BCP une partie résumée de la liste a été publiée.
Bonjour Michel, Bonjour à tous,
Vais-je oser me mettre sur les rangs moi qui viens d'arriver sur le site. Je m'intéresse au 152ème RI et au 2ème, 2ème bis RMZ mais surtout au 4ème RMZ. Quand vous pourrez, je sais attendre mon tour! Vous êtes tellement sollicité mais c'est pour eux: les poilus de nos familles. Cordialement. JN
Bonjour à tous,
Voici ce qu’écrivait en conclusion d'un article publié en 1973 dans la R.H.A., Madame Marie-Thérèse CHABORD, conservateur aux Archives Nationales, au sujet du projet de Livre d’or.
« Nous nous trouvons en résumé, devant une énorme quantité de fiches nominatives qui, par sa masse, offre la possibilités d’études variées : statistiques de toutes natures (par corps, par grade, par date, lieu et cause de décès), étude démographique pour connaître la couche d’âge de la population touchée, études anthroponymiques, puisque l’on possède à la fois le nom de famille et la région d’origine. Il serait possible d’établir une carte régionale de la France montrant la part payée à l’impôt du sang.
On peut se demander, en conclusion, quelles sont les raisons pour lesquelles le Livre d’or n’a jamais pu être réalisé. L’énormité de l’entreprise la condamnait dès l’abord. Le fait qu’elle soit prévue au niveau de l’état avait rendu la machine trop lourde : au seul ministère des Pensions, l’on y consacra jusqu’à 60 personnes.
Il y eu ensuite l’évolution des circonstances. La loi de 1919 correspondait à un consensus général, elle avait été votée dans la joie de la victoire et la conscience très vive du sacrifice. Pour des raisons purement matérielles, entre autres la nécessité de régler la situation des disparus, les travaux ne commencèrent qu’en 1922 et les services qui en étaient chargés devaient se consacrer d’abord aux tâches les plus urgentes de la liquidation de la guerre. Les vivants sont passés après les morts. C’est seulement sept ans après le début des travaux, en 1929, que l’on pu commencer à communiquer les listes aux mairies. C’est en 1935 que fut envisagée la réalisation matérielle et, à ce moment-là, il était trop tard. L’époque était aux économies, une nouvelle guerre se profilait à l’horizon, les morts de 1914 étaient ensevelis à jamais.
Les quelques échos de la guerre et de l’après-guerre ne trouvent aucune résonance, d’autres générations prennent la relève et ce qui reste du monumental projet dormira à tout jamais dans les cartons des Archives.
MemorialGenWeb fête cette année son dixième anniversaire et grâce à un grand nombre d'entre vous la moitié du chemin a été parcourue.
Nous disposons de plusieurs centaines de milliers de fiches encore inexploitées; alors pour ceux qui s'intéressent à une Arme, une subdivision d'Armes, un régiment précis, etc nous pouvons leur adresser des fichiers particuliers (selon les types, sous réserves d'extraction)
Bonjour Michel, Bonjour à tous,
Vais-je oser me mettre sur les rangs moi qui viens d'arriver sur le site. Je m'intéresse au 152ème RI et au 2ème, 2ème bis RMZ mais surtout au 4ème RMZ. Quand vous pourrez, je sais attendre mon tour! Vous êtes tellement sollicité mais c'est pour eux: les poilus de nos familles. Cordialement. JN
Bonjour Michel
Votre site est une mine de renseignements.
j'ai commencé ma modeste contribution de "complément"
Pourriez-vous m'indiquer ce que sont les numéros sur les fiches individuelles ?
exemple : bp 03-820127 et N° relevé 16740 ?
Henri.
Merci
Voici ce qu’écrivait en conclusion d'un article publié en 1973 dans la R.H.A., Madame Marie-Thérèse CHABORD, conservateur aux Archives Nationales, au sujet du projet de Livre d’or.
« Nous nous trouvons en résumé, devant une énorme quantité de fiches nominatives qui, par sa masse, offre la possibilités d’études variées : statistiques de toutes natures (par corps, par grade, par date, lieu et cause de décès), étude démographique pour connaître la couche d’âge de la population touchée, études anthroponymiques, puisque l’on possède à la fois le nom de famille et la région d’origine. Il serait possible d’établir une carte régionale de la France montrant la part payée à l’impôt du sang.
On peut se demander, en conclusion, quelles sont les raisons pour lesquelles le Livre d’or n’a jamais pu être réalisé. L’énormité de l’entreprise la condamnait dès l’abord. Le fait qu’elle soit prévue au niveau de l’état avait rendu la machine trop lourde : au seul ministère des Pensions, l’on y consacra jusqu’à 60 personnes.
Il y eu ensuite l’évolution des circonstances. La loi de 1919 correspondait à un consensus général, elle avait été votée dans la joie de la victoire et la conscience très vive du sacrifice. Pour des raisons purement matérielles, entre autres la nécessité de régler la situation des disparus, les travaux ne commencèrent qu’en 1922 et les services qui en étaient chargés devaient se consacrer d’abord aux tâches les plus urgentes de la liquidation de la guerre. Les vivants sont passés après les morts. C’est seulement sept ans après le début des travaux, en 1929, que l’on pu commencer à communiquer les listes aux mairies. C’est en 1935 que fut envisagée la réalisation matérielle et, à ce moment-là, il était trop tard. L’époque était aux économies, une nouvelle guerre se profilait à l’horizon, les morts de 1914 étaient ensevelis à jamais.
Les quelques échos de la guerre et de l’après-guerre ne trouvent aucune résonance, d’autres générations prennent la relève et ce qui reste du monumental projet dormira à tout jamais dans les cartons des Archives.
MemorialGenWeb fête cette année son dixième anniversaire et grâce à un grand nombre d'entre vous la moitié du chemin a été parcourue.
Nous disposons de plusieurs centaines de milliers de fiches encore inexploitées; alors pour ceux qui s'intéressent à une Arme, une subdivision d'Armes, un régiment précis, etc nous pouvons leur adresser des fichiers particuliers (selon les types, sous réserves d'extraction)
Bien amicalement
Michel
Bonjour,
Je peux vous aider, mais en quoi consiste le "travail sur ces fiches" ? Je suis novice, veuillez excuser ma question !
Sinon je serais intéressée par le 37ème RI.
Merci donc de préciser l'objectif, avant de m'envoyer le fichier !
Joséphine.
Bonjour,
Je peux vous aider, mais en quoi consiste le "travail sur ces fiches" ? Je suis novice, veuillez excuser ma question !
Sinon je serais intéressée par le 37ème RI.
Merci donc de préciser l'objectif, avant de m'envoyer le fichier !
Joséphine.
Bonjour Joséphine,
Il s'agit de "ventiler" les infos dans les champs ad hoc.
Mais plutôt qu'un long discours voici deux captures d'écran "avant" et "après" ventilation.
Par contre un fichier sur le 37e R.I. sera de qualité inégale compte tenu que j'ai du mal à extraire les unités inférieures à 100.
Joséphine, il faut tout de même savoir que la prudence s'impose... Si l'on ne peut confondre une fiche MDH 57ème R.I. avec 37ème, j'en connais un rayon sur l'inverse ! Le 3 peut faire penser à un 5 et je ne compte plus les fiches que j'ai corrigées. Je passe sur les "n'importe quoi", des fiches 57ème R.I. alors que le libellé est très clair sur MDH, régiment d'artillerie !!
En résumé, certains complétant des fiches sans trop chercher à vérifier ou sans y porter grande attention, les erreurs ne sont pas rares.