Je vais rajouter une petite couche.
Dans les années 94-95 en yougo..présence confirmée des pandores dans les différentes popotes d'unité..de bon copains..plus tard,lorsque tout était calmé....radar pour la vitesse sur sniper's alley..et contravention si le militaire roulait trop vite.Avec demande de punition et demande systématique d'augmentation auprès du général..Facile de verbaliser..y'avait plus de balles qui volaient.
Ils ont même osé poser des radar en Irak,après la guerre du golfe.
C'était plus 14-18..mais la mentalité n'a pas changé.Parait que les mentalités ont évolué depuis la grande guerre,je n'ose même pas imaginer ce que c'était en ce temps là.....
PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Peu m'importe l'Enfer ou le Paradis.J'ai des copains des deux côtés.(A/C Hoche.3eme de Marine)
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonsoir à tous,
Je te remercie infiniment Boivin, je me sent un peu moin seul !
Et heureusement que nous sommes sur un site dédié à 14 18; parce que l'on pourrai aussi parler de 39 45 ..................
Yves
Je te remercie infiniment Boivin, je me sent un peu moin seul !
Et heureusement que nous sommes sur un site dédié à 14 18; parce que l'on pourrai aussi parler de 39 45 ..................
Yves
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Message modéré.
Bonjour,
La discussion dégénérant vers des attaques personnelles et sur des thématiques trop éloignées de 14-18, merci de bien vouloir continuer cet échange - si vous le souhaitez - par message privé et laisser cette discussion reprendre sur la période qui nous réunit.
Merci par avance,
Cordialement,
Arnaud, modérateur.
Bonjour,
La discussion dégénérant vers des attaques personnelles et sur des thématiques trop éloignées de 14-18, merci de bien vouloir continuer cet échange - si vous le souhaitez - par message privé et laisser cette discussion reprendre sur la période qui nous réunit.
Merci par avance,
Cordialement,
Arnaud, modérateur.
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
bjr Je suis entièrement de votre avis, je pensais poursuivre cette échange sur nos boîtes émail hélas le nommé MARTIN ne désire pas dévoiler la sienne dommage, j'étais d'accord pour lui fournir une documentation qui aurait été trés utile à ses connaissances sur le sujet de la Gendarmerie. Je pense même que dès le départ le premier message du sieur MARTIN aurait dû être censuré. Merci pour votre intervention A+++ de vous lire Amicalement PEGHES.
- RADET Frederic
- Messages : 2259
- Inscription : lun. oct. 18, 2010 2:00 am
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonsoir,
la tombe d'un gendarme de la 10e Légion dans la NN de Bar le Duc (Meuse).

Cordialement,
Frédéric
la tombe d'un gendarme de la 10e Légion dans la NN de Bar le Duc (Meuse).

Cordialement,
Frédéric
Courage on les aura !
http://www.ouvragedelafalouse.fr/
http://www.ouvragedelafalouse.fr/
- Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonjour à tous,
Un gendarme qui l’a échappée belle : le maréchal des logis Vigoux.
A en croire le JMO de la prévôté du QG du Détachement d’Armée des Vosges, en date du 26 septembre 1914, « le maréchal des logis à pied Vigoux François Célestin de la prévôté de la 115e brigade (13e Légion, Brigade de Ste-Sigolène (Hte-Loire)) a été tué d’un coup de feu par les Allemands, à Munster, au cours d’une patrouille qu’il effectuait avec le gendarme Fraixinos sous les ordres du lieutenant Camus, prévôt. » Le 6 novembre suivant, il était cité à l’ordre de l’Armée : « S’étant trouvé, au cours d’une patrouille exécutée sur le front pour la surveillance de l’espionnage, en présence de deux sentinelles allemandes qui ont pris la fuite devant lui, s’est lancé à leur poursuite avec le plus grand courage et est tombé glorieusement sous le feu d’un petit poste ennemi. »
L’historique de la 13e légion donne au final une autre version des faits : « Le 22 septembre 1914, une patrouille composée du lieutenant Camus, du maréchal des logis Vigoux et du gendarme Fraixinos, fouille les abords de Munster pour la répression de l’espionnage ; un détachement bavarois, dissimulé dans une ferme à 80 mètres environ de Munster, ouvre subitement le feu à très courte distance ; le maréchal des logis Vigoux, atteint de deux balles, est laissé pour mort sur le terrain, les autres n’échappent qu’à grand’ peine et à force de courage. Le sous-officier, très grièvement blessé, est ramassé par l’ennemi et soigné au lazaret de Munster. Il survécut à ses blessures et fut évacué en Suisse le 11 février 1916, puis rentra en France le 12 avril 1917, comme grand blessé. Par la suite, il a été, de ce chef, réformé n°1. »
D’où l’avantage de pouvoir parfois recouper les sources.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Un gendarme qui l’a échappée belle : le maréchal des logis Vigoux.
A en croire le JMO de la prévôté du QG du Détachement d’Armée des Vosges, en date du 26 septembre 1914, « le maréchal des logis à pied Vigoux François Célestin de la prévôté de la 115e brigade (13e Légion, Brigade de Ste-Sigolène (Hte-Loire)) a été tué d’un coup de feu par les Allemands, à Munster, au cours d’une patrouille qu’il effectuait avec le gendarme Fraixinos sous les ordres du lieutenant Camus, prévôt. » Le 6 novembre suivant, il était cité à l’ordre de l’Armée : « S’étant trouvé, au cours d’une patrouille exécutée sur le front pour la surveillance de l’espionnage, en présence de deux sentinelles allemandes qui ont pris la fuite devant lui, s’est lancé à leur poursuite avec le plus grand courage et est tombé glorieusement sous le feu d’un petit poste ennemi. »
L’historique de la 13e légion donne au final une autre version des faits : « Le 22 septembre 1914, une patrouille composée du lieutenant Camus, du maréchal des logis Vigoux et du gendarme Fraixinos, fouille les abords de Munster pour la répression de l’espionnage ; un détachement bavarois, dissimulé dans une ferme à 80 mètres environ de Munster, ouvre subitement le feu à très courte distance ; le maréchal des logis Vigoux, atteint de deux balles, est laissé pour mort sur le terrain, les autres n’échappent qu’à grand’ peine et à force de courage. Le sous-officier, très grièvement blessé, est ramassé par l’ennemi et soigné au lazaret de Munster. Il survécut à ses blessures et fut évacué en Suisse le 11 février 1916, puis rentra en France le 12 avril 1917, comme grand blessé. Par la suite, il a été, de ce chef, réformé n°1. »
D’où l’avantage de pouvoir parfois recouper les sources.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonjour
Dans une réponse Peghes écrit : "Je vous précise que se ne sont pas les Gendarmes mais bien les Tribunaux militaires qui prononçaient les condamnations, et je vous invite à vous pencher sur la composition de ceux-ci, vous aurez je pense quelques surprises!!. "
Je viens de lire que le soldat François-Marie Laurent fusillé réhabillité aurait été condamné à mort par un conseil de guerre uniquement composé d'officiers de Gendarmerie.
Quelqu'un a t-il des éléments sur la composition dudit conseil de guerre?
Cordialement
Pierre
Dans une réponse Peghes écrit : "Je vous précise que se ne sont pas les Gendarmes mais bien les Tribunaux militaires qui prononçaient les condamnations, et je vous invite à vous pencher sur la composition de ceux-ci, vous aurez je pense quelques surprises!!. "
Je viens de lire que le soldat François-Marie Laurent fusillé réhabillité aurait été condamné à mort par un conseil de guerre uniquement composé d'officiers de Gendarmerie.
Quelqu'un a t-il des éléments sur la composition dudit conseil de guerre?
Cordialement
Pierre
- Patrice Pruniaux1
- Messages : 931
- Inscription : sam. déc. 09, 2006 1:00 am
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonjour à tous,
Bonjour Moncey
Loi sur la Garde Nationale du 22 mars 1831:
" Art. 72. Dans tous les cas ou les Gardes Nationales serviront avec les Corps soldés, elles prendront le rang sur eux. "
1863, bulletin des Lois numéro 1166, le rapport et décret impérial sur le service dans les Places de Guerre et villes de garnisons du 13 octobre 1863.
" Chapitre XXXIV. Rang des troupes.
Ordre de Bataille.
- art. 296. L'ordre de Bataille, pour les réunions des troupes, parades, revues, cérémonies publiques etc. est réglé comme suit:
Armée de Terre.
1°) Troupes à pieds.
Gardes Nationales
Invalides et Vétérans
Garde Impériale
Génie
Gendarmerie
Troupes de Ligne
Infanterie de Ligne
Troupes de l' Administration."
Décret du 4 octobre 1891.
Préséances: dans l'ordre de bataille, le rang des Sapeurs Pompiers est déterminé par l'article 250, décret du 4 octobre 1891 sur le service des Places.
Les sapeurs pompiers communaux* viennent se placer aussitôt après la Gendarmerie et à la droite des troupes.
Avec ce décret nous constatons que la gendarmerie occupe la 1ère place.
*Les Sapeurs Pompiers communaux gardaient cet honneur et ce droit comme étant les derniers représentants de la Garde Nationale dissoute par la loi du 25 août 1871.
Cordialement, Patrice.
Bonjour Moncey
Pas tout à fait, non. C'est la Garde Nationale qui avait prépondérance au moins de 1831 à 1871.La Gendarmerie est placée à droite des Armées et défile toujours en tête de^puis Napoléon 1
Loi sur la Garde Nationale du 22 mars 1831:
" Art. 72. Dans tous les cas ou les Gardes Nationales serviront avec les Corps soldés, elles prendront le rang sur eux. "
1863, bulletin des Lois numéro 1166, le rapport et décret impérial sur le service dans les Places de Guerre et villes de garnisons du 13 octobre 1863.
" Chapitre XXXIV. Rang des troupes.
Ordre de Bataille.
- art. 296. L'ordre de Bataille, pour les réunions des troupes, parades, revues, cérémonies publiques etc. est réglé comme suit:
Armée de Terre.
1°) Troupes à pieds.
Gardes Nationales
Invalides et Vétérans
Garde Impériale
Génie
Gendarmerie
Troupes de Ligne
Infanterie de Ligne
Troupes de l' Administration."
Décret du 4 octobre 1891.
Préséances: dans l'ordre de bataille, le rang des Sapeurs Pompiers est déterminé par l'article 250, décret du 4 octobre 1891 sur le service des Places.
Les sapeurs pompiers communaux* viennent se placer aussitôt après la Gendarmerie et à la droite des troupes.
Avec ce décret nous constatons que la gendarmerie occupe la 1ère place.
*Les Sapeurs Pompiers communaux gardaient cet honneur et ce droit comme étant les derniers représentants de la Garde Nationale dissoute par la loi du 25 août 1871.
Cordialement, Patrice.
-
- Messages : 326
- Inscription : ven. juin 28, 2013 2:00 am
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
Bonjour a tous
Je fais actuellement des recherches sur tous les militaires morts pendant la 1er GM et qui étaient affectés ou de passage au Groupe des Divisions d'Entrainement (GDE) du PLESSIS BELLEVILLE (aviation). Ils sont tous morts dans des accidents d'avions.
Je me demande si comme il est prévu actuellement les gendarmes de l'époque faisaient des rapports d'accident. Dans l'affirmatif savez vous où je peux trouver ces rapports.
Cordialement
Vincent
Je fais actuellement des recherches sur tous les militaires morts pendant la 1er GM et qui étaient affectés ou de passage au Groupe des Divisions d'Entrainement (GDE) du PLESSIS BELLEVILLE (aviation). Ils sont tous morts dans des accidents d'avions.
Je me demande si comme il est prévu actuellement les gendarmes de l'époque faisaient des rapports d'accident. Dans l'affirmatif savez vous où je peux trouver ces rapports.
Cordialement
Vincent
Re: PETIT DOSSIER SUR LA GENDARMERIE 1914/18
bonjour
tire du livre d or de la gendarmerie 1913-1916



si vous voulez que je vous envoie les photos envoyé moi vos adresses en mp
cordialement
pascal
tire du livre d or de la gendarmerie 1913-1916



si vous voulez que je vous envoie les photos envoyé moi vos adresses en mp
cordialement
pascal