Bonjour
Alain petit lapsus ,vous evoquez 'Auber' au lieu de Auger..
Cordialement
Bruno
Spad VII codé 7
Re: Spad VII codé 7
Merci Bruno,
C'est corrigé......
Cordialement,
alain
C'est corrigé......

Cordialement,
alain
Re: Spad VII codé 7
Dans son ouvrage, Jon Guttman donne cette répartition des numéros pour la fin 1916.
Marc Chassard dans l’article d’Avions dit que le 18 octobre 1916 Alfred Auger se voit confier un Nieuport XVII codé 7 le n°1499.
Contrairement à ce que j’ai dit précédemment Auger a bien, semble-t-il un n° attitré, le 7 dès la fin 16.
Le Spad S 158, avion qu’il pilote ensuite, ne porte visiblement pas de n° propre, en tout cas, pas sur les photos connues.
Cet avion sera détruit dans la nuit du 16 au 17 novembre à Cachy suite à un bombardement.
Auger ne peut plus voler le mois qui suit faute de monture. Nous sommes à la mi-décembre
Il obtient ensuite le Spad S 170 …. et rejoint officiellement l’escadrille. Il semble qu’il commence réellement à voler sur le S170 qu’à partir du 5 janvier 1917.
La 3 est toujours à Cachy qu’elle quitte à la fin du mois de janvier pour Manoncourt.
Alors peut-être que ce n° 7 est bien resté celui du Capitaine Auger et il vole d’abord à Cachy avec puis à Manoncourt en Vermois avec un avion codé 7.
A partir de la mi-avril il vole sur le n°1416 cet avion est d’abord agrémenté d’une cigogne à ailes blanches, cigogne dont les ailes seront ensuite repeintes. On sait que cet avion à un n° sur sa dérive et qu'il porte le n°6.
Le 6 mai, le capitaine Auger prend le commandement de la 3 et le 11 mai il est officiellement As, et a donc droit à la bande tricolore sur cet avion.
Quant aux trois n° d’avion codé 7, Bozon-Verduraz vole sur le S424 à partir du 14 juillet, je n’ai pas trouvé trace des deux autres.
Il y a de grandes chances pour que cet avion soit bien le S170 puisqu’il vole sur celui de Chainat à partir du 14 ou 15 février 1917 et au risque de m’attirer les foudres d’Albin , je pense que la photo ait été prise à Manoncourt et non à Villeneuve (terrain bien dégagé qui offre de grandes perspectives) .. peut-être Albin pourra-t-il nous dire d’ou il tient cette information.
Concernant la fin du Capitaine Auger j’ai toujours lu qu’il avait pu ramener son avion avant de perdre connaissance, la légende disant que son corps fut retrouvé enveloppé d’un drapeau tricolore … peut-être un mauvais pressentiment
Cordialement
Gérault
Marc Chassard dans l’article d’Avions dit que le 18 octobre 1916 Alfred Auger se voit confier un Nieuport XVII codé 7 le n°1499.
Contrairement à ce que j’ai dit précédemment Auger a bien, semble-t-il un n° attitré, le 7 dès la fin 16.
Le Spad S 158, avion qu’il pilote ensuite, ne porte visiblement pas de n° propre, en tout cas, pas sur les photos connues.
Cet avion sera détruit dans la nuit du 16 au 17 novembre à Cachy suite à un bombardement.
Auger ne peut plus voler le mois qui suit faute de monture. Nous sommes à la mi-décembre
Il obtient ensuite le Spad S 170 …. et rejoint officiellement l’escadrille. Il semble qu’il commence réellement à voler sur le S170 qu’à partir du 5 janvier 1917.
La 3 est toujours à Cachy qu’elle quitte à la fin du mois de janvier pour Manoncourt.
Alors peut-être que ce n° 7 est bien resté celui du Capitaine Auger et il vole d’abord à Cachy avec puis à Manoncourt en Vermois avec un avion codé 7.
A partir de la mi-avril il vole sur le n°1416 cet avion est d’abord agrémenté d’une cigogne à ailes blanches, cigogne dont les ailes seront ensuite repeintes. On sait que cet avion à un n° sur sa dérive et qu'il porte le n°6.
Le 6 mai, le capitaine Auger prend le commandement de la 3 et le 11 mai il est officiellement As, et a donc droit à la bande tricolore sur cet avion.
Quant aux trois n° d’avion codé 7, Bozon-Verduraz vole sur le S424 à partir du 14 juillet, je n’ai pas trouvé trace des deux autres.
Il y a de grandes chances pour que cet avion soit bien le S170 puisqu’il vole sur celui de Chainat à partir du 14 ou 15 février 1917 et au risque de m’attirer les foudres d’Albin , je pense que la photo ait été prise à Manoncourt et non à Villeneuve (terrain bien dégagé qui offre de grandes perspectives) .. peut-être Albin pourra-t-il nous dire d’ou il tient cette information.
Concernant la fin du Capitaine Auger j’ai toujours lu qu’il avait pu ramener son avion avant de perdre connaissance, la légende disant que son corps fut retrouvé enveloppé d’un drapeau tricolore … peut-être un mauvais pressentiment
Cordialement
Gérault
Re: Spad VII codé 7
Bonjour à tous
Le fait que le 'S' de la gouverne de direction soit surligné signifie je crois , que l'avion est doté du moteur Hispona suiza surcomprimé de 180 hp -Guynemer est très probablement le premier a en beneficier avec son fameux S 254-Probable que le S 170 n'en soit pas doté puisque antérieur, ce qui le disqualifierait pour le Spad VII de la photo ?
Cordialement
Bruno
Le fait que le 'S' de la gouverne de direction soit surligné signifie je crois , que l'avion est doté du moteur Hispona suiza surcomprimé de 180 hp -Guynemer est très probablement le premier a en beneficier avec son fameux S 254-Probable que le S 170 n'en soit pas doté puisque antérieur, ce qui le disqualifierait pour le Spad VII de la photo ?
Cordialement
Bruno
Re: Spad VII codé 7
Bonjour Bruno, bonjour à tous,
Il y a une photo dans l'article de Marc Chassard, ou Auger est devant un Spad non codé et non numéroté avec cette barre, donné comme étant probablement le S 170 à Manoncourt ( mais la photo a été prise à Cachy) mais la cigogne a les ailes noires ... peut-être repeinte par la suite !!
Le S 388 était d'après l'article un prototype de Spad XIII
Mais cette information ( moteur surcomprimé) conforte l'idée que c'est un avion piloté par un patron de l'escadrille.
Cordialement
Géraud
Il y a une photo dans l'article de Marc Chassard, ou Auger est devant un Spad non codé et non numéroté avec cette barre, donné comme étant probablement le S 170 à Manoncourt ( mais la photo a été prise à Cachy) mais la cigogne a les ailes noires ... peut-être repeinte par la suite !!
Le S 388 était d'après l'article un prototype de Spad XIII
Mais cette information ( moteur surcomprimé) conforte l'idée que c'est un avion piloté par un patron de l'escadrille.
Cordialement
Géraud