Bonjour à tous,
J'ai pris connaissance des différents jugements:
1°)Le commissaire enquêteur a émis un avis favorable.C'est la pièce la plus importante,mais c'est le Préfet qui décide en dernier ressort.Il en a parfaitement le droit.
2°)Il aurait été judicieux que les habitants des lieux concernés se rendent à cette enquête pour exposer leurs idées.
3°)Il serait peut être judicieux de saisir le Ministre de la Défense -Secrétariat d'Etat aux AC- et d'envisager un pourvoit en cassation.
Bien cordialement MONCEY
La butte aux zouaves transformée en décharge ???
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moncey1842
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Re: La butte aux zouaves transformée en décharge ???
Bonjour,
Sur le site de "Soissonnais 14-18", quelques éléments terrain, concernant le site de la Butte des Zouaves.
Le sujet reprend, en préambule la lettre envoyée à la préfecture et le lien pour la pétition.
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=& ... K8OFXIDF8w
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Re: La butte aux zouaves transformée en décharge ???
Bonjour à tous,
Signé et validé.
Cordialement,Luc.
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« La Garde meurt mais ne se rend pas »
Re: La butte aux zouaves transformée en décharge ???
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Re: La butte aux zouaves transformée en décharge ???
Bonjour à tous,
Si seulement TOUT le monde avait fait bloc en 2009 et 2010 au lieu de se diviser sur la question d'accorder ou non un périmètre d'installation de cette décharge... Au vu des événements passés et des précédents qui opposaient depuis 1978 cette société à certaines communes ainsi qu'en regard aux combats juridiques qui n'ont eu de cesse de se produire depuis son installation dans cette région, IL ETAIT ECRIT QUE CE QUI ARRIVE AUJOURD'HUI se produirait dès l'instant où Gurdebeke aurait l'autorisation d'installer ses nouvelles infrastructures, après avoir déjà ravagé une partie du Bois Saint-Mard vers Carlepont... Il est bien temps maintenant d'arriver avec un air atterré. Lorsque les communes de Tracy-le-Mont, de Tracy-le-Val, de Carlepont, l'association Patrimoine de la Grande Guerre, l'association Tracy-Environnement, entre autres, sont montées au créneau pour refuser cette installation en 2009-2010, elles se sont retrouvées isolées, rejetées par les communes, les élus, les agriculteurs, les associations qui étaient eux, disposés à discuter avec cette société, comme si un compromis honorable pouvait être trouvé, sans arrière-pensée. Aujourd'hui, les gens qui ont cru pouvoir s'arranger, et qui ont crié victoire lorsque cette société, qui s'est apparemment rendue propriétaire de tout ou d'une grande partie du site historique de Puisaleine (non sans de lourdes arrières-pensées), a voulu faire taire la contestation en "offrant" un bout de terre, hors secteur de la Butte des Zouaves, pour installer un "monument national des zouaves" qui n'a pas l'importance ni la magnificence qu'on aurait été en droit d'attendre, eu égard à l'histoire particulière du site. Surtout, ce monument ne fait l'objet d'aucun recensement, d'aucun classement et n'est pas positionné sur l'emplacement le plus pertinent, se trouvant au mieux au milieu du no man's land, voire dans les lignes allemandes, alors que la Butte des Zouaves marque grosso modo l'emplacement à peu près exact de la position dite du "Champignon".
Un érudit local, membre de la société historique de Noyon, a publié à deux reprises un ouvrage sur la guerre des mines à Quennevières et dans le Bois Saint-Mard entre 1915 et 1916, pour conclure qu'il ne s'y était rien passé. Curieusement, cet ouvrage a été publié une première fois en 2005, alors que le Préfet de l'Oise de l'époque devait se prononcer sur la demande d'extension de la décharge de Carlepont sur le site de Puisaleine, puis une seconde fois quand, attaqué par les avocats de la société, le Préfet a dû rendre un autre arrêté avec d'autres arguments que ceux précédemment avancés, en 2009. Hasard ? Peut-être. Peut-être pas. Toujours est-il que cet "historien" qui a su se faire accepter par la plupart des propriétaires terriens de Moulin-sous-Touvent, dont dépend Puisaleine, et qui a ainsi pu fouiller en toute quiétude les sites au point de s'y croire chez lui et de se croire habilité à y faire la police lui-même, chassant des promeneurs venus visiter les vestiges de la Grande Guerre dans le Bois Saint-Mard (privé), à Puisaleine et à Moulin-sous-Touvent, sert toujours aujourd'hui les intérêts de la société Gurdebeke en alimentant l'argumentaire des avocats de cette société, dans le sens d'un lieu dénué d'intérêt historique.
La publication de l'ouvrage que Didier Guénaff et moi-même avons effectué en 2010, pour combler un cruel vide bibliographique sur ce secteur du front de l'Oise pourtant passionnant n'a eu pour seul effet que d'alimenter une vaine polémique et bien entendu, les arguments historiques avancés dans notre ouvrage n'ont pas été considéré comme probants par le Tribunal Administratif d'AMIENS et la Cour d'appel administrative de DOUAI qui ont respectivement été saisis par la société pour casser les arrêtés préfectoraux. Au final, le dernier préfet de l'Oise arrivé en poste en 2010 ou 2011, qui a voulu mettre un terme à cette lutte sans fin, a finalement autorisé la société à s'implanter sur les lieux. Cette décision fort regrettable mais soutenue autant par l'ONACVG de l'Oise que par un certain nombre d'associations, d'élus et d'habitants, est à l'origine de cette nouvelle menace, tellement prévisible sur la Butte des Zouaves. Tout cela aurait pu être empêché en 2009-2010 si au lieu de s'écharper à distance dans de vaines polémiques, tout le monde avait fait bloc contre ce nouveau projet qui a une fois de plus meurtri le site historique, puisqu'aujourd'hui une nouvelle infrastructure a été installée par Gurdebeke à Puisaleine, coupant définitivement le site du Bois Saint-Mard et du chemin de Bimont que les relèves françaises empruntaient pour rejoindre les premières lignes. Maintenant qu'il est installé là et qu'il s'est porté acquéreur de tout ou partie des terres, des carrières, des vestiges et de la Ferme de Maison Rouge, reconstruite après guerre suite à la destruction de la précédente ferme qui faisait face à la carrière du même nom, il a le pouvoir d'anéantir les derniers vestiges pour pouvoir étendre son activité à volonté. Cette lutte apparaît aujourd'hui comme une nouvelle péripétie et comme le début d'un nouveau pugilat qui risque de connaître de nouveaux et nombreux rebondissements, mais qui à terme finiront sans doute encore par payer pour l'entreprise...
Le mirage et la promesse d'une manne providentielle pour la commune de Moulin-sous-Touvent, en terme de taxe professionnelle, lui a sans doute fait perdre le sens des réalités. Ces réalités lui éclatent aujourd'hui en pleine figure et l'entrepreneur montre une fois de plus son vrai visage, que certains ont l'air de tout à coup découvrir...
Du fait de notre prise de position en 2005 puis en 2009, nous avons été maltraités, rejetés, insultés, injuriés par les gens qui pensaient que nous n'avions rien à faire dans les décisions qui se prenaient alors, que nous n'avions pas à nous préoccuper de ce qui devait être sauvegardé ou pas sur le territoire de Moulin-sous-Touvent, que ces questions ne nous regardaient pas. Nous avons été traités comme des troubles fêtes et comme des "emm... rs" qu'il s'agissait d'écarter à tout prix des grandes décisions politiques et juridiques. Aujourd'hui encore, si les tensions se sont quelque peu calmées, il existe toujours un ressentiment, comme si notre démarche visait à empêcher une honorable commune de gagner quelques subsides. Nous aviions tout simplement compris le piège dans lequel ses représentants étaient en train de mettre les pieds et nous avons tenté, peut-être maladroitement, de leur en faire prendre conscience, en faisant valoir que les vestiges historiques qui se trouvaient sur leur territoire étaient une richesse bien plus grande que tout l'argent que l'entrepreneur promettait d'apporter à cette commune. Il aurait simplement suffi d'entreprendre quelques travaux de valorisation et d'installer des circuits touristiques (qui se mettent à présent, malheureusement bien tardivement, avec le Musée-Territoire 14-18 en place) et qu'il y avait des perspectives touristiques à développer. Ce message n'a pas été reçu, n'a été entendu et nous avons été considérés encore une fois comme des trubions qu'il convenait de rejeter. Notre démarche n'était pourtant que mémorielle et citoyenne... La société Gurdebeke a profité à plein de cette division et de cette cacophonie. En faisant mine d'accepter et même d'encourager des fouilles archéologiques sur le site, en 2006, l'entrepreneur, qui n'était pas sans arrière-pensée, entendait confirmer que le site 14-18 n'avait en réalité pas l'importance que nous lui accordions, en dépit des importants vestiges qui subsistaient encore et qui ont été rasés avec l'installation de la nouvelle structure en 2011 et 2012...
La même société a endormi tout le monde à la même période en faisant mine d'accepter de respecter un périmètre de protection de 500 mètres qui était supposé, à défaut de protéger le site de Puisaleine, à tout le moins de préserver la Butte des Zouaves, qui reste un symbole local fort des combats au nord du saillant de Quennevières. Aujourd'hui, comme nous le pressentions depuis sa première tentative d'installation en 2005-2006, il remet en question ce périmètre de protection qui gène nécessairement ses activités lucratives. Le masque est tombé et tout le monde semble tomber des nues et se demande comment l'empêcher définitivement de s'étendre... Le feuilleton dramatique de Puisaleine semble loin d'être terminé...
Tristement,
Jean-Michel
Si seulement TOUT le monde avait fait bloc en 2009 et 2010 au lieu de se diviser sur la question d'accorder ou non un périmètre d'installation de cette décharge... Au vu des événements passés et des précédents qui opposaient depuis 1978 cette société à certaines communes ainsi qu'en regard aux combats juridiques qui n'ont eu de cesse de se produire depuis son installation dans cette région, IL ETAIT ECRIT QUE CE QUI ARRIVE AUJOURD'HUI se produirait dès l'instant où Gurdebeke aurait l'autorisation d'installer ses nouvelles infrastructures, après avoir déjà ravagé une partie du Bois Saint-Mard vers Carlepont... Il est bien temps maintenant d'arriver avec un air atterré. Lorsque les communes de Tracy-le-Mont, de Tracy-le-Val, de Carlepont, l'association Patrimoine de la Grande Guerre, l'association Tracy-Environnement, entre autres, sont montées au créneau pour refuser cette installation en 2009-2010, elles se sont retrouvées isolées, rejetées par les communes, les élus, les agriculteurs, les associations qui étaient eux, disposés à discuter avec cette société, comme si un compromis honorable pouvait être trouvé, sans arrière-pensée. Aujourd'hui, les gens qui ont cru pouvoir s'arranger, et qui ont crié victoire lorsque cette société, qui s'est apparemment rendue propriétaire de tout ou d'une grande partie du site historique de Puisaleine (non sans de lourdes arrières-pensées), a voulu faire taire la contestation en "offrant" un bout de terre, hors secteur de la Butte des Zouaves, pour installer un "monument national des zouaves" qui n'a pas l'importance ni la magnificence qu'on aurait été en droit d'attendre, eu égard à l'histoire particulière du site. Surtout, ce monument ne fait l'objet d'aucun recensement, d'aucun classement et n'est pas positionné sur l'emplacement le plus pertinent, se trouvant au mieux au milieu du no man's land, voire dans les lignes allemandes, alors que la Butte des Zouaves marque grosso modo l'emplacement à peu près exact de la position dite du "Champignon".
Un érudit local, membre de la société historique de Noyon, a publié à deux reprises un ouvrage sur la guerre des mines à Quennevières et dans le Bois Saint-Mard entre 1915 et 1916, pour conclure qu'il ne s'y était rien passé. Curieusement, cet ouvrage a été publié une première fois en 2005, alors que le Préfet de l'Oise de l'époque devait se prononcer sur la demande d'extension de la décharge de Carlepont sur le site de Puisaleine, puis une seconde fois quand, attaqué par les avocats de la société, le Préfet a dû rendre un autre arrêté avec d'autres arguments que ceux précédemment avancés, en 2009. Hasard ? Peut-être. Peut-être pas. Toujours est-il que cet "historien" qui a su se faire accepter par la plupart des propriétaires terriens de Moulin-sous-Touvent, dont dépend Puisaleine, et qui a ainsi pu fouiller en toute quiétude les sites au point de s'y croire chez lui et de se croire habilité à y faire la police lui-même, chassant des promeneurs venus visiter les vestiges de la Grande Guerre dans le Bois Saint-Mard (privé), à Puisaleine et à Moulin-sous-Touvent, sert toujours aujourd'hui les intérêts de la société Gurdebeke en alimentant l'argumentaire des avocats de cette société, dans le sens d'un lieu dénué d'intérêt historique.
La publication de l'ouvrage que Didier Guénaff et moi-même avons effectué en 2010, pour combler un cruel vide bibliographique sur ce secteur du front de l'Oise pourtant passionnant n'a eu pour seul effet que d'alimenter une vaine polémique et bien entendu, les arguments historiques avancés dans notre ouvrage n'ont pas été considéré comme probants par le Tribunal Administratif d'AMIENS et la Cour d'appel administrative de DOUAI qui ont respectivement été saisis par la société pour casser les arrêtés préfectoraux. Au final, le dernier préfet de l'Oise arrivé en poste en 2010 ou 2011, qui a voulu mettre un terme à cette lutte sans fin, a finalement autorisé la société à s'implanter sur les lieux. Cette décision fort regrettable mais soutenue autant par l'ONACVG de l'Oise que par un certain nombre d'associations, d'élus et d'habitants, est à l'origine de cette nouvelle menace, tellement prévisible sur la Butte des Zouaves. Tout cela aurait pu être empêché en 2009-2010 si au lieu de s'écharper à distance dans de vaines polémiques, tout le monde avait fait bloc contre ce nouveau projet qui a une fois de plus meurtri le site historique, puisqu'aujourd'hui une nouvelle infrastructure a été installée par Gurdebeke à Puisaleine, coupant définitivement le site du Bois Saint-Mard et du chemin de Bimont que les relèves françaises empruntaient pour rejoindre les premières lignes. Maintenant qu'il est installé là et qu'il s'est porté acquéreur de tout ou partie des terres, des carrières, des vestiges et de la Ferme de Maison Rouge, reconstruite après guerre suite à la destruction de la précédente ferme qui faisait face à la carrière du même nom, il a le pouvoir d'anéantir les derniers vestiges pour pouvoir étendre son activité à volonté. Cette lutte apparaît aujourd'hui comme une nouvelle péripétie et comme le début d'un nouveau pugilat qui risque de connaître de nouveaux et nombreux rebondissements, mais qui à terme finiront sans doute encore par payer pour l'entreprise...
Le mirage et la promesse d'une manne providentielle pour la commune de Moulin-sous-Touvent, en terme de taxe professionnelle, lui a sans doute fait perdre le sens des réalités. Ces réalités lui éclatent aujourd'hui en pleine figure et l'entrepreneur montre une fois de plus son vrai visage, que certains ont l'air de tout à coup découvrir...
Du fait de notre prise de position en 2005 puis en 2009, nous avons été maltraités, rejetés, insultés, injuriés par les gens qui pensaient que nous n'avions rien à faire dans les décisions qui se prenaient alors, que nous n'avions pas à nous préoccuper de ce qui devait être sauvegardé ou pas sur le territoire de Moulin-sous-Touvent, que ces questions ne nous regardaient pas. Nous avons été traités comme des troubles fêtes et comme des "emm... rs" qu'il s'agissait d'écarter à tout prix des grandes décisions politiques et juridiques. Aujourd'hui encore, si les tensions se sont quelque peu calmées, il existe toujours un ressentiment, comme si notre démarche visait à empêcher une honorable commune de gagner quelques subsides. Nous aviions tout simplement compris le piège dans lequel ses représentants étaient en train de mettre les pieds et nous avons tenté, peut-être maladroitement, de leur en faire prendre conscience, en faisant valoir que les vestiges historiques qui se trouvaient sur leur territoire étaient une richesse bien plus grande que tout l'argent que l'entrepreneur promettait d'apporter à cette commune. Il aurait simplement suffi d'entreprendre quelques travaux de valorisation et d'installer des circuits touristiques (qui se mettent à présent, malheureusement bien tardivement, avec le Musée-Territoire 14-18 en place) et qu'il y avait des perspectives touristiques à développer. Ce message n'a pas été reçu, n'a été entendu et nous avons été considérés encore une fois comme des trubions qu'il convenait de rejeter. Notre démarche n'était pourtant que mémorielle et citoyenne... La société Gurdebeke a profité à plein de cette division et de cette cacophonie. En faisant mine d'accepter et même d'encourager des fouilles archéologiques sur le site, en 2006, l'entrepreneur, qui n'était pas sans arrière-pensée, entendait confirmer que le site 14-18 n'avait en réalité pas l'importance que nous lui accordions, en dépit des importants vestiges qui subsistaient encore et qui ont été rasés avec l'installation de la nouvelle structure en 2011 et 2012...
La même société a endormi tout le monde à la même période en faisant mine d'accepter de respecter un périmètre de protection de 500 mètres qui était supposé, à défaut de protéger le site de Puisaleine, à tout le moins de préserver la Butte des Zouaves, qui reste un symbole local fort des combats au nord du saillant de Quennevières. Aujourd'hui, comme nous le pressentions depuis sa première tentative d'installation en 2005-2006, il remet en question ce périmètre de protection qui gène nécessairement ses activités lucratives. Le masque est tombé et tout le monde semble tomber des nues et se demande comment l'empêcher définitivement de s'étendre... Le feuilleton dramatique de Puisaleine semble loin d'être terminé...
Tristement,
Jean-Michel
JMN02
Re: La butte aux zouaves transformée en décharge ???
Bonjour à tous
Je ne peux que malheureusement aller dans le sens de mon ami Jean-Michel, nous étions bien peu nombreux au début de ce combat ... Beaucoup de paroles, peu d'actes, combien peu nombreux nous avons pu être lors des manifestations organisées avec les associations patriotiques pour défendre ce site,combien ont pu ou voulu jouer sur les deux tableaux être à nos côtés pour la mémoire et en même temps valider en partie le projet de décharge en en espérant des retombées économiques ?
Tout cela pour dire que nos anciens et leurs sacrifices pèsent bien peu face aux intérêts économico-financiers, que parfois "les historiens locaux" ne sont pas toujours "honnêtes" et qu'enfin on ne peut que saluer l'immense travail de Jean-Michel et Didier dont je salue ici l'intégrité!
Et voici quelques photos des manifestations de 2009/2010/2011/2012 et 2013 sur ce site toujours très menacés et qui n'a de fait jamais cessé de l'être ...
http://bastien80.e-monsite.com/pages/19 ... -2009.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... -2012.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... uaves.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... uaves.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... uaves.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... -2013.html
Cordialement et bien tristement
Sylvain, association 14-18 en Somme
Je ne peux que malheureusement aller dans le sens de mon ami Jean-Michel, nous étions bien peu nombreux au début de ce combat ... Beaucoup de paroles, peu d'actes, combien peu nombreux nous avons pu être lors des manifestations organisées avec les associations patriotiques pour défendre ce site,combien ont pu ou voulu jouer sur les deux tableaux être à nos côtés pour la mémoire et en même temps valider en partie le projet de décharge en en espérant des retombées économiques ?
Tout cela pour dire que nos anciens et leurs sacrifices pèsent bien peu face aux intérêts économico-financiers, que parfois "les historiens locaux" ne sont pas toujours "honnêtes" et qu'enfin on ne peut que saluer l'immense travail de Jean-Michel et Didier dont je salue ici l'intégrité!
Et voici quelques photos des manifestations de 2009/2010/2011/2012 et 2013 sur ce site toujours très menacés et qui n'a de fait jamais cessé de l'être ...
http://bastien80.e-monsite.com/pages/19 ... -2009.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... -2012.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... uaves.html
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http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... uaves.html
http://bastien80.e-monsite.com/pages/al ... -2013.html
Cordialement et bien tristement
Sylvain, association 14-18 en Somme
sylvain80