Bonsoir à toutes et tous,
Pour Alain, pour ce qui est de la définition à l'époque gallo-romaine, il s'agit bien d'une hipposandale. Donc, je pense que ce terme a traversé les années puisqu'il était déjà identifié comme tel par les archéologues du XIXe. En revanche, je suis d'accord avec vous sur le fait que le terme de "sandale" désigne plus un "deux pieds" qu'un "quattre pattes". Mais bon !!!!
Bien cordialement.
Frédéric Steinbach
Nom exact de ces pièces (2)
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- Alain Dubois-Choulik
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Re: Nom exact de ces pièces (2)
BonsoirPour Alain, pour ce qui est de la définition à l'époque gallo-romaine, il s'agit bien d'une hipposandale.
Frédéric, je suis d'accord sur le terme y compris pour l'antiquité, mais même l'hipposandale antique était plus qu'une semelle ( Aaaaaaaah mes restes d'études classiques !, passer du potame au drome puis au campe et à la sandale


La version moderne ( que je n'imaginait même pas) tient plus de la charentaise .....:

Si je n'ai pas tout mélangé - ça reste possible- l'hipposandale s'attachait après ferrage comme ... une sandale. Dans le cas de la pièce dont on parle, elle semble s'ajuster sous le pied du cheval -qui a des jambes aussi -, tenue d'un coté par la languette et de l'autre par un clou qui ne demandait peut-être pas l'intervention d'un maréchal.
Après c'est moi qui invente hipposemelle, je ne pense pas que ce soit une réminiscence et j'ai peut-être tout faux [:alain dubois:6] .
Cordialement
Alain
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Re: Nom exact de ces pièces (2)
Bonjour à tous,
une petite précision pour Alain, cette semelle se fixait bien par une languette à l'avant (glissée sous le fer) mais l'arrière était tenu par deux vis qui traversaient la plaque et se fixaient dans un filetage prévu de chaque côté du fer (voir photo). La pose ne nécessitait donc pas la présence d'un spécialiste( forgeron ou autre). Les pointes visibles fixaient le fer au sabot du cheval.
En tous cas merci pour la réflexion en cours.
Kénavo.
Louis
une petite précision pour Alain, cette semelle se fixait bien par une languette à l'avant (glissée sous le fer) mais l'arrière était tenu par deux vis qui traversaient la plaque et se fixaient dans un filetage prévu de chaque côté du fer (voir photo). La pose ne nécessitait donc pas la présence d'un spécialiste( forgeron ou autre). Les pointes visibles fixaient le fer au sabot du cheval.
En tous cas merci pour la réflexion en cours.
Kénavo.
Louis