Téléphoniste dans l'artillerie de campagne

[or0738]

Suite au message précédent, je confirme.

Mon père était bien au 38e RAC, et téléphoniste..

Je joins un détail de son carnet de bord ( septembre 1915 ).

[Achache]

Mon père a fait toute la guerre 1914-1918 avec le 38e RAC, puis le 2e d'artillerie coloniale.

Je savais qu'il était artilleur, mais aussi qu'il s'occupait de transmissions, donc je suppose qu'il était téléphoniste.

Bonsoir,
Son carnet au 2e RA Col risque de m'intéresser. L'avez-vous, notamment pour Juin et Juillet 1918 ?
Bien à vous,
[:achache:1]

[Gardiendelombre]

Bonjour à tous,

Petite question technique :

La téléphonie par voie de terre était strictement interdite pour les unités "normales" .
Mais elle était autorisée pour les sapeurs mineurs (où c'était virtuellement le seul moyen de communication).

Mais pour les observateurs d'artillerie ?
Parce que les messages donnés même si ils étaient captés et déchiffrés en temps réel (ça fait beaucoup de "si" ...) ,ils n'auraient donné aucune info bien intéressante à l'ennemi il me semble .

Par contre l'avantage pour les observateurs était considérable puisqu'ils pouvaient se transporter partout avec un très faible besoin logistique .

Je sais pas,je demande,

Merci .

[or0738]

Bonjour,

ACHACHE, je ne dispose malheureusement d'aucun document concernant la période à laquelle vous faites allusion. Je vois juste sur la fiche de mon père qu'à partir du 1er avril 1917 il a été affecté au 2e d'artillerie coloniale, mais je ne sais pas à quelle batterie...Avez-vous consulté le carnet de route du 2e RAC ?

Gardiendelombre, il me semble que mon père indique dans son carnet que le jour où son capitaine a été grièvement blessé il se trouvait avec lui dans un fossé et à une bonne distance de la pièce d'artillerie.

Cordialement.