Bonjour,
Je recherche des témoignages de soldats évoquant Walther ou Hermann Mumm propriétaires de la maison de champagne Mumm en 1914 et accusé d'espionnage. Les autres témoignages sur cette maison m'intéressent aussi.
Léon Daudet dans l'Action Française a beaucoup parlé d'eux mais aussi beaucoup d'autre jouranux.
Merci
Cordialement
Denis Rolland
Espionnage
Re: Espionnage
Bonjour
Voir le livre "Hors du joug allemand" sur gallica
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6723c/f269
Cordialement
FABRICE
Voir le livre "Hors du joug allemand" sur gallica
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6723c/f269
Cordialement
FABRICE
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Re: Espionnage
Merci, mais ce n'est pas un témoignage, c'est du Léon Daudet!
Bonne soirée
DR
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Re: Espionnage
Bonsoir Denis,
Juste deux-trois choses, du côté du 74e R.I. qui était dans le secteur de Thil, au nord de Reims, le long de la route 44.
J'avais retranscrit, il y a quelques années, ces notes à Vincennes (carton 25 N 52) que le chef de corps du 74e R.I. avait adressées à la D.I., certainement après que celle-ci lui a demandé de mener une enquête dont je n'ai malheureusement pas trouvé les éléments :
26 septembre 1914
Thil, 74e R.I. > 5e D.I.
Le nommé G..., d’après les renseignements recueillis au village serait un personnage suspect. Il a un gendre qui était, au moment de la déclaration de guerre, chauffeur d’automobile au service d’un allemand, associé à M. MUMM, marchand de Champagne à Reims. Cet associé aurait quitté avec son chauffeur le territoire français pour se rendre en Suisse et en Autriche et probablement en Allemagne, lors de la mobilisation.
Le nommé Charles P..., gendre du nommé G..., aurait ensuite rejoint son corps, mais son beau-père ne peut donner aucune indication sur son régiment. Pour conclure, je crois qu’il y a lieu d’éloigner pour quelques jours du champ de bataille le nommé G.... C’est pourquoi je vous l’expédie sous escorte.
27 septembre 1914
Thil, 74e R.I. > 5e D.I.
Il résulte, des renseignements recueillis à Thil, qu’il y avait lieu, dans cette localité, un service d’espionnage organisé par la famille L... (L... père et sa fille ont été arrêtés ce matin et dirigés sur la 5e D.I.)
Le gendre du nommé G..., arrêté hier, était conducteur d’automobile chez un Allemand (associé de Mr MUMM) . La femme de ce conducteur d’automobile distribuait tout dernièrement encore de l’argent à Thil (O... en aurait touché). La femme susvisée habiterait actuellement à Reims, rue Anquetil, n° ?
D’autre part, le chalet C..., qui se trouve entre Pouillon et Villers-Franqueux, serait encore un centre d’espionnage qu’il y aurait lieu de fouiller d’urgence.
L’adjoint au maire de Thil, connu comme un antimilitariste militant, ne doit pas ignorer cette situation ; par suite je le fais arrêter et conduire à l’état-major de la 5e D.I.
G... a été arrêté hier et conduit à la 5e D.I.
D'autre part, voici quelques notes et réflexions prises par un officier mitrailleur du 74e R.I. dans lesquelles il évoque le sujet :
" [...] A peine sommes-nous installés dans la région de Reims que, de tous côtés, on nous avise d’avoir à prendre garde aux espions. Dès le temps de paix, nous dit-on, les allemands ont organisé en Champagne un important service de renseignements. De grosses maisons de vin – dont de Mumm - emploient des agents allemands qui font partie de ce service et dont le rôle a été minutieusement réglé.
[...] Dans les premiers mois de notre occupation de Thil, officiers et soldats nous subissons une véritable obsession d’espionnage et de trahison. Une lueur dans la nuit, un bruit insolite, un pinceau lumineux de phare trouant l’obscurité, l’envol d’un pigeon, sont autant d’indices que l’on étudie, que l’on discute des heures entières.
Cette crainte de l’espion est-elle justifiée et a-t-elle créé chez nous une véritable hallucination ? Certes, nous avons parfois grossi un fait, exagéré un mince évènement, mais, à mon avis, notre suspicion n’est pas toute dénuée de fondement. Je crois que – surtout au début – des observateurs ennemis ont opéré à côté de nos troupes et que leurs indications précises transmises à l’adversaire nous ont causé des pertes. Cachées dans les bois qui couronnent la Montagne de Reims, il existe (notamment à Pouillon) de luxueuses villas au mobilier de pur goût germanique. Les parcs offrent de troublantes échappées sur la capitale champenoise et les tennis, solidement bétonnés, ressemblent plus à des plateformes d’artillerie qu’à d’innocents terrains de jeux.
Dans la ville même, affirme-t-on, vivait avant la guerre une population plus que douteuse. Au cours des hostilités, il n’est pas invraisemblable de penser que certains éléments de celle-ci ont pu échapper aux camps de concentration et continuent à opérer au profit de l’ennemi.
Le commandement marque une incompréhensible hésitation et une néfaste lenteur pour l’évacuation des civils. Il paraît cependant peu logique que dans des bourgs et des villages placés à moins de deux kilomètres des premières lignes, journellement bombardés, englobés réellement dans la position de combat, séjournent quelques rares civils. Ces gens, dénués de ressources, vivent aux crochets de la troupe. Leur présence au milieu d’elle n’offre que des inconvénients, et il eut été préférable qu’au début même de notre installation on les mît à l’abri des coups et que, dans certains cas, on nous épargnât des soupçons."
Source : document familial inédit.
En espérant que cela peut t'être utile;
Amicament,
Stéphan
PS. J'ai voulu te transmettre ces éléments (avec les noms de personnes rétablis) via la messagerie du forum mais tu m'as mis en "ignore liste", donc, ça coince... il faudrait que tu débloques le truc, ou que tu me rappelles ton adresse de messagerie perso.
Juste deux-trois choses, du côté du 74e R.I. qui était dans le secteur de Thil, au nord de Reims, le long de la route 44.
J'avais retranscrit, il y a quelques années, ces notes à Vincennes (carton 25 N 52) que le chef de corps du 74e R.I. avait adressées à la D.I., certainement après que celle-ci lui a demandé de mener une enquête dont je n'ai malheureusement pas trouvé les éléments :
26 septembre 1914
Thil, 74e R.I. > 5e D.I.
Le nommé G..., d’après les renseignements recueillis au village serait un personnage suspect. Il a un gendre qui était, au moment de la déclaration de guerre, chauffeur d’automobile au service d’un allemand, associé à M. MUMM, marchand de Champagne à Reims. Cet associé aurait quitté avec son chauffeur le territoire français pour se rendre en Suisse et en Autriche et probablement en Allemagne, lors de la mobilisation.
Le nommé Charles P..., gendre du nommé G..., aurait ensuite rejoint son corps, mais son beau-père ne peut donner aucune indication sur son régiment. Pour conclure, je crois qu’il y a lieu d’éloigner pour quelques jours du champ de bataille le nommé G.... C’est pourquoi je vous l’expédie sous escorte.
27 septembre 1914
Thil, 74e R.I. > 5e D.I.
Il résulte, des renseignements recueillis à Thil, qu’il y avait lieu, dans cette localité, un service d’espionnage organisé par la famille L... (L... père et sa fille ont été arrêtés ce matin et dirigés sur la 5e D.I.)
Le gendre du nommé G..., arrêté hier, était conducteur d’automobile chez un Allemand (associé de Mr MUMM) . La femme de ce conducteur d’automobile distribuait tout dernièrement encore de l’argent à Thil (O... en aurait touché). La femme susvisée habiterait actuellement à Reims, rue Anquetil, n° ?
D’autre part, le chalet C..., qui se trouve entre Pouillon et Villers-Franqueux, serait encore un centre d’espionnage qu’il y aurait lieu de fouiller d’urgence.
L’adjoint au maire de Thil, connu comme un antimilitariste militant, ne doit pas ignorer cette situation ; par suite je le fais arrêter et conduire à l’état-major de la 5e D.I.
G... a été arrêté hier et conduit à la 5e D.I.
D'autre part, voici quelques notes et réflexions prises par un officier mitrailleur du 74e R.I. dans lesquelles il évoque le sujet :
" [...] A peine sommes-nous installés dans la région de Reims que, de tous côtés, on nous avise d’avoir à prendre garde aux espions. Dès le temps de paix, nous dit-on, les allemands ont organisé en Champagne un important service de renseignements. De grosses maisons de vin – dont de Mumm - emploient des agents allemands qui font partie de ce service et dont le rôle a été minutieusement réglé.
[...] Dans les premiers mois de notre occupation de Thil, officiers et soldats nous subissons une véritable obsession d’espionnage et de trahison. Une lueur dans la nuit, un bruit insolite, un pinceau lumineux de phare trouant l’obscurité, l’envol d’un pigeon, sont autant d’indices que l’on étudie, que l’on discute des heures entières.
Cette crainte de l’espion est-elle justifiée et a-t-elle créé chez nous une véritable hallucination ? Certes, nous avons parfois grossi un fait, exagéré un mince évènement, mais, à mon avis, notre suspicion n’est pas toute dénuée de fondement. Je crois que – surtout au début – des observateurs ennemis ont opéré à côté de nos troupes et que leurs indications précises transmises à l’adversaire nous ont causé des pertes. Cachées dans les bois qui couronnent la Montagne de Reims, il existe (notamment à Pouillon) de luxueuses villas au mobilier de pur goût germanique. Les parcs offrent de troublantes échappées sur la capitale champenoise et les tennis, solidement bétonnés, ressemblent plus à des plateformes d’artillerie qu’à d’innocents terrains de jeux.
Dans la ville même, affirme-t-on, vivait avant la guerre une population plus que douteuse. Au cours des hostilités, il n’est pas invraisemblable de penser que certains éléments de celle-ci ont pu échapper aux camps de concentration et continuent à opérer au profit de l’ennemi.
Le commandement marque une incompréhensible hésitation et une néfaste lenteur pour l’évacuation des civils. Il paraît cependant peu logique que dans des bourgs et des villages placés à moins de deux kilomètres des premières lignes, journellement bombardés, englobés réellement dans la position de combat, séjournent quelques rares civils. Ces gens, dénués de ressources, vivent aux crochets de la troupe. Leur présence au milieu d’elle n’offre que des inconvénients, et il eut été préférable qu’au début même de notre installation on les mît à l’abri des coups et que, dans certains cas, on nous épargnât des soupçons."
Source : document familial inédit.
En espérant que cela peut t'être utile;
Amicament,
Stéphan
PS. J'ai voulu te transmettre ces éléments (avec les noms de personnes rétablis) via la messagerie du forum mais tu m'as mis en "ignore liste", donc, ça coince... il faudrait que tu débloques le truc, ou que tu me rappelles ton adresse de messagerie perso.
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Re: Espionnage
Bonjour,
Oh oui cela va mettre utile! C'est exactement je genre d'info que je recherche. Il confirme exactement ce que colportait la presse Britannique que Reims était un foyer d'espions.
J'ai déloqué ma messagerie. Une fausse manoeuvre m'avait fait mettre une ignore liste.
Bien cordialement
Denis Rolland
Oh oui cela va mettre utile! C'est exactement je genre d'info que je recherche. Il confirme exactement ce que colportait la presse Britannique que Reims était un foyer d'espions.
J'ai déloqué ma messagerie. Une fausse manoeuvre m'avait fait mettre une ignore liste.
Bien cordialement
Denis Rolland
Re: Espionnage
Bonjour
Vous avez aussi "la vermine du monde, roman d el'espionnage allemand" apr Leon daudet on trouve le texte sur le net, mais c'est telleme nt outrancier, bourre de contre verites et d'anachronismes qu'il est difficile d'y trouver une once de vérité.
Lire aussi:
http://www.senat.fr/comptes-rendus-sean ... 3_0200.pdf, on y traite de mumm de manière annecdotique mais l'intervention du sénateur Gaudin de Villaine est instructive en ce qu'elle comporte d'exageration, de diffamation à l'agard de Malvy (mais si malvy est visé subtilement ce sénateur dénonce des fonctionnaires inconnus) on peut aussi retrouver ce texte sur Gallica: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5 ... /texteBrut il s'agit du document:L'espionnage allemand en France, 1914-1916 / la préface d'Albert Monniot est en elle même un tissu de bêtises d'affirmations gratuites et improbables qui montrent à quels exces était arrivé l'action française te L daudet.
En1914 la maison de champagne GH MUMM appartenanit à hermann MUMM? sa famille d'origine allemande mais installée en France depuis des lustres n'avait pas estimé utile de se faire naturalisé français (à une époque o l'on pouvait traverser l'Europe sans passeport! le résultat en est que dès le déclenchement des hostilités, sa maison de champagne est placée sous séquestres en tant que propriété d'un ressortissant ennemi et lui même est interné Il n'est nulle part question d'espionnage... Elle est vendue par adjudication le 28 juillet 1920 la famille MUMM ne pourra jamais la reprendre.
Effectivement le bruit courrait que REIMS était un nid d'espion avant la guerre, mais il faut se méfier des bruits en effet un certain nombre de maison de champagne ont de sproprietaires d'origine allemande , comme tout commarce de luxe exportent et à l'époque l'exportation ce sont le sfamilles royales et imperiales et la haute société de quelques etats dont le spuissances centrales et la Russie, il est donbc plus que natuerl qu'il ya ait des echanges commerciaux epistolaires, des rencontres avec des clients etc.. par ailleurs ce qui est moins connu REIMS est une ville qui accueille nombre de jeunes filles d ela bourgeoisie alsacienne pour y étudier et pratiquer le français, une mienne tante y a ainsi passé 3 ans avant la guerre, appartenant à une grande famille du vignoble alsacien elle y avait comme correspondant sur place un négociant champenois... donc nombre de germanophones (mais qui seront réintégrés dans la nationalité française en 1919) vivaient à REIMS etbien entendu éttaient traités de boches par les "bons français"..
Plus précisemment, concernant la famille MUMM elle était tellement mouillée dans l'espionnage qu'il n'y eut aucune condamnation! ce qui est surprenant vu les faits reproches, et à une époque où la justice ne faisait pas particulièrement preuve d'impartialité dans les instructions à charge. ;On peut d'ailleurs légitimement se demander si dans le sinterventiosnde l'action française comtre MUMM et d'autre ressortissants allemands il n'y avait pas en arriere plan des considerations moins patriotiques et plus mercantiles car ce sbiens sous sequestres ont fait le bonheur d'adjudicataires parfois liès au monde politique... Une condamnation de MUMM aurait levé le sequestre et entraine confiscation immediate... La famille MUMM n'a jamais réussi à récupérer son bien et s'est m^me vu interdire entre les deux guerres par la justice l'utilisation de son nom à des fins commerciales.
Cordialement
Pierre
Vous avez aussi "la vermine du monde, roman d el'espionnage allemand" apr Leon daudet on trouve le texte sur le net, mais c'est telleme nt outrancier, bourre de contre verites et d'anachronismes qu'il est difficile d'y trouver une once de vérité.
Lire aussi:
http://www.senat.fr/comptes-rendus-sean ... 3_0200.pdf, on y traite de mumm de manière annecdotique mais l'intervention du sénateur Gaudin de Villaine est instructive en ce qu'elle comporte d'exageration, de diffamation à l'agard de Malvy (mais si malvy est visé subtilement ce sénateur dénonce des fonctionnaires inconnus) on peut aussi retrouver ce texte sur Gallica: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5 ... /texteBrut il s'agit du document:L'espionnage allemand en France, 1914-1916 / la préface d'Albert Monniot est en elle même un tissu de bêtises d'affirmations gratuites et improbables qui montrent à quels exces était arrivé l'action française te L daudet.
En1914 la maison de champagne GH MUMM appartenanit à hermann MUMM? sa famille d'origine allemande mais installée en France depuis des lustres n'avait pas estimé utile de se faire naturalisé français (à une époque o l'on pouvait traverser l'Europe sans passeport! le résultat en est que dès le déclenchement des hostilités, sa maison de champagne est placée sous séquestres en tant que propriété d'un ressortissant ennemi et lui même est interné Il n'est nulle part question d'espionnage... Elle est vendue par adjudication le 28 juillet 1920 la famille MUMM ne pourra jamais la reprendre.
Effectivement le bruit courrait que REIMS était un nid d'espion avant la guerre, mais il faut se méfier des bruits en effet un certain nombre de maison de champagne ont de sproprietaires d'origine allemande , comme tout commarce de luxe exportent et à l'époque l'exportation ce sont le sfamilles royales et imperiales et la haute société de quelques etats dont le spuissances centrales et la Russie, il est donbc plus que natuerl qu'il ya ait des echanges commerciaux epistolaires, des rencontres avec des clients etc.. par ailleurs ce qui est moins connu REIMS est une ville qui accueille nombre de jeunes filles d ela bourgeoisie alsacienne pour y étudier et pratiquer le français, une mienne tante y a ainsi passé 3 ans avant la guerre, appartenant à une grande famille du vignoble alsacien elle y avait comme correspondant sur place un négociant champenois... donc nombre de germanophones (mais qui seront réintégrés dans la nationalité française en 1919) vivaient à REIMS etbien entendu éttaient traités de boches par les "bons français"..
Plus précisemment, concernant la famille MUMM elle était tellement mouillée dans l'espionnage qu'il n'y eut aucune condamnation! ce qui est surprenant vu les faits reproches, et à une époque où la justice ne faisait pas particulièrement preuve d'impartialité dans les instructions à charge. ;On peut d'ailleurs légitimement se demander si dans le sinterventiosnde l'action française comtre MUMM et d'autre ressortissants allemands il n'y avait pas en arriere plan des considerations moins patriotiques et plus mercantiles car ce sbiens sous sequestres ont fait le bonheur d'adjudicataires parfois liès au monde politique... Une condamnation de MUMM aurait levé le sequestre et entraine confiscation immediate... La famille MUMM n'a jamais réussi à récupérer son bien et s'est m^me vu interdire entre les deux guerres par la justice l'utilisation de son nom à des fins commerciales.
Cordialement
Pierre
pierre
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Re: Espionnage
Bonjour,
Je suis tout à fait d'accord. On peut ajouter que G.H. Mumm était bienfaiteur de la ville de Reims. Evidemment Daudet avait l'explication, les dons de Mumm était fait pour nous endormir. En 1914, une rue de Reims portait le nom du bienfaiteur, G.H. Mumm. Elle est devenue rue de Verdun en 1916.
Cordialement
Denis Rolland
Je suis tout à fait d'accord. On peut ajouter que G.H. Mumm était bienfaiteur de la ville de Reims. Evidemment Daudet avait l'explication, les dons de Mumm était fait pour nous endormir. En 1914, une rue de Reims portait le nom du bienfaiteur, G.H. Mumm. Elle est devenue rue de Verdun en 1916.
Cordialement
Denis Rolland