*
bonjour à toutes et tous
Concernant les civiles-victimes dans les territoires occupés, voici l'exemple d'une femme rouée de coups pour avoir donné du pain, tout est dans le titre.
(lire à : "Prisonniers russes -1916" , le 4 mars 1916)
Bien à vous
Brigitte
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les femmes pendant la Grande Guerre (+ accès au sommaire)
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
*
bonsoir à toutes et tous
Jeanne Macherez : une infirmière qui fit office de Maire pendant 12 jours.
Elle est citée dans cette thèse canadienne (p 47 : Mme Macherez)
Jeanne Macherez est la veuve d’Alfred Macherez. Exploitant agricole, il fut conseiller général, député de 1889 à 1893 et sénateur de 1894 à 1904, date de son décès.
Je cite:
"Lorsque les allemands envahissent Soissons, le 1er septembre 1914, ils réclament les autorités locales sous peine d’incendier la ville, mais, voilà, les élus ont quitté la ville. Jeanne s'improvise "maire". Source: ici
« Le nombre des employés de la ville restant dans les services est plus que restreint […] dans une ville à moitié abandonnée[…]Il n'y a plus de maire, plus d'adjoint, plus de Comité, plus de secrétaire-général de la mairie, plus de receveur municipal.[…] nous n'avons pas d'argent pour faire face aux premières nécessités »[…) Source: ici « Soissons pendant la guerre" (à partir de la p 33)
« Les officiers cherchent un interlocuteur et on leur indique la « Dame de la Croix-Rouge », Jeanne Macherez… Cette sexagénaire dévouée est la veuve d’un ancien député et sénateur du département qui a également été vice-président de la chambre syndicale des sucres de France. Fondatrice de « La Goutte de lait » en 1909 pour une meilleure santé des nouveau-nés, elle est la responsable de la Croix-Rouge du comité Soissons-Braine et siège au comité national. .. Jeanne Macherez est invectivée parce que l’occupant exige ravitaillement et réquisitions. Elle toise le militaire qui lui donne des ordres et répond avec un grand calme : « Le maire c’est moi ». L’Axonaise tient tête à l’adversaire, dénonce les pillages…Elle se bat pied à pied pour atténuer les souffrances induites par les exigences allemandes. Source: ici
Il est à noter qu’aux archives municipales de Soissons, aucun document ne porte la signature de Jeanne Macherez. Source: http://www.lunion.fr/627314/article/201 ... e-soissons )
plusieurs photos de J. Macherez : http://cicr.blog.lemonde.fr/tag/jeanne-macherez/

(CPA Delcampe)
bonnes lectures
Brigitte
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bonsoir à toutes et tous
Jeanne Macherez : une infirmière qui fit office de Maire pendant 12 jours.
Elle est citée dans cette thèse canadienne (p 47 : Mme Macherez)
Jeanne Macherez est la veuve d’Alfred Macherez. Exploitant agricole, il fut conseiller général, député de 1889 à 1893 et sénateur de 1894 à 1904, date de son décès.
Je cite:
"Lorsque les allemands envahissent Soissons, le 1er septembre 1914, ils réclament les autorités locales sous peine d’incendier la ville, mais, voilà, les élus ont quitté la ville. Jeanne s'improvise "maire". Source: ici
« Le nombre des employés de la ville restant dans les services est plus que restreint […] dans une ville à moitié abandonnée[…]Il n'y a plus de maire, plus d'adjoint, plus de Comité, plus de secrétaire-général de la mairie, plus de receveur municipal.[…] nous n'avons pas d'argent pour faire face aux premières nécessités »[…) Source: ici « Soissons pendant la guerre" (à partir de la p 33)
« Les officiers cherchent un interlocuteur et on leur indique la « Dame de la Croix-Rouge », Jeanne Macherez… Cette sexagénaire dévouée est la veuve d’un ancien député et sénateur du département qui a également été vice-président de la chambre syndicale des sucres de France. Fondatrice de « La Goutte de lait » en 1909 pour une meilleure santé des nouveau-nés, elle est la responsable de la Croix-Rouge du comité Soissons-Braine et siège au comité national. .. Jeanne Macherez est invectivée parce que l’occupant exige ravitaillement et réquisitions. Elle toise le militaire qui lui donne des ordres et répond avec un grand calme : « Le maire c’est moi ». L’Axonaise tient tête à l’adversaire, dénonce les pillages…Elle se bat pied à pied pour atténuer les souffrances induites par les exigences allemandes. Source: ici
Il est à noter qu’aux archives municipales de Soissons, aucun document ne porte la signature de Jeanne Macherez. Source: http://www.lunion.fr/627314/article/201 ... e-soissons )
plusieurs photos de J. Macherez : http://cicr.blog.lemonde.fr/tag/jeanne-macherez/

(CPA Delcampe)
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Brigitte
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
bonsoir à toutes et tous,
une information qui me vient de Marpie que je remercie:

Pour celles et ceux qui sont à proximité et intéressés
bien à vous
Brigitte
pour plus de renseignements :
http://www.lunion.fr/809230/article/201 ... e-francois
et
http://www.tourisme-en-champagne.com/co ... nde-guerre
une information qui me vient de Marpie que je remercie:

Pour celles et ceux qui sont à proximité et intéressés
bien à vous
Brigitte
pour plus de renseignements :
http://www.lunion.fr/809230/article/201 ... e-francois
et
http://www.tourisme-en-champagne.com/co ... nde-guerre
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
Bonjour,
Aujourd’hui, je citerai une femme très connue en Nouvelle Zélande et Australie, elle s’est intéressée à un des fléaux des armées en campagne de cette époque (les antibiotiques n’étant pas encore découverts)
Ettie Annie ROUT est née 24 fevrier 1877 à Launceston Tasmanie, suite à des difficultés sa famille s’établit en Nouvelle Zélande à wellington en 1884. Elle devient sténographiste pour la court suprême, avant guerre elle est reporter ecrivain, femme politique socialiste, lutte pour l’égalité des salaires, crée le journal travailliste « The Maoriland Worker »
En 1915 elle crée son organisation le « New Zeland Volunteer Sisterhood » qui recrute des femmes agées de 30 à 50 ans, elles sont rapidement prêtes à partir pour l’Egypte, mais le gouvernement néo zélandais ne soutient pas l’initiative et la presse de Christchurch combat l’initiative arguant du fait que ces femmes feront le travail attribué aux égyptiens ce qui aboutira à une perte de prestige de la race blanche ! Ettie trouve des sponsors et le premier contingent part en octobre 1915. Ses volontaires travaillent sous l’égide du YMCA néo zélandais.
A son arrivée en 1916 Ettie découvre les ravages que causent les VD (veneral diseases) parmi les soldats (on estime à 20% le taux de soldats contaminés, estimation basse !) Considérant qu’il s’agit d’un problème médical et non pas moral elle recommande l’usage de kits prophylactiques et la mise en place d’une inspection des bordels, elle ouvre à El Quantara un club pour soldat le El KEBIR Soldier’s Club afin de fournir repos loisirs et alimentation de qualité.
En juin 17 elle va en grande Bretagne et crée son propre kit prophylactique comprenant une crème au calomel à appliquer avant relation sexuelle, des préservatifs et des cristaux de permanganate de potassium pour irrigation après. Elle installe à Hornchurch le « New Zeland Medical Soldiers Club » près d’un hôpital de convalescence néozélandais et y vend ses kits. Ses kits peuvent être achetés par corrspondance Fin 17 l’armée néozélandaise adopte ses kits et les distribue aux soldats en permission. Lady Stout accompagnée d’une délégation de femmes se plaint auprès du premier ministre néozélandais de cette femme qui fait de la réclame pour un « vice » en sécurité.
En avril 1918 Ettie ROUT se rend à Paris où elle se charge de mettre en place un système de « sexual welfare service for soldiers » (que l’on pourrait traduire par service de loisirs sexuels pour les soldats !) elle accueille les soldats néozélandais permissionnaires gare du nord leur donne des cartes recommandant le bordel de « madame Yvonne » qu’elle a agréé l’établissement respectant ses règles concernant l’hygiène et étant inspecté périodiquement (cet établissement était situé 29 rue Saint Lazare avait le téléphone et on y parlait anglais d’après la réclame). Ettie fournissait une carte stipulant qu’ »elle avait visité Madame Yvonne à de nombreuses occasions dans les deux derniers mois en compagnie d’officiers du service de sante et que tous étaient convaincus qu’à cet instant c’était le meilleur établissement et le plus sûr pour répondre aux besoins sexuels de la troupe » !
Après la guerre elle sera honorée de la médaille de la reconnaissance française pour sa participation à la reconstruction de Villers Bretonneux où elle gère un dépôt de la croix rouge.
En juin 1920 elle reçoit une lettre de félicitation du roi Georges V lettree transmise en son nom par W Churchill.
Durant des années son nom était « banni » en Nouvelle Zélande et il fallu attendre 1988 pour que les NZAF baptisent une clinique de son nom.
Un livre a été écrit sur elle : Tolerton, Jane. Ettie: a Life of Ettie Rout. Penguin: Auckland, 1992.et HG WELLS la cite dans une de ses nouvelles
Elle se suicidera le 17 septembre à Rarotonga 1936 en prenant une dose toxique de quinine (après avoir envoyé un télégramme : « Ettie Rout est morte en mer ») elle est enterrée au cimetière de la mission chrétienne de Avarua aux iles Cook
Des médecins français, néozélandais et britanniques ont vu en elle : «l’ange gardien des ANZACs » un évêque, parlant à la Chambre des Lords, l'appelait« la femme la plus méchante en Grande-Bretagne »
Cordialement
Pierre
Aujourd’hui, je citerai une femme très connue en Nouvelle Zélande et Australie, elle s’est intéressée à un des fléaux des armées en campagne de cette époque (les antibiotiques n’étant pas encore découverts)
Ettie Annie ROUT est née 24 fevrier 1877 à Launceston Tasmanie, suite à des difficultés sa famille s’établit en Nouvelle Zélande à wellington en 1884. Elle devient sténographiste pour la court suprême, avant guerre elle est reporter ecrivain, femme politique socialiste, lutte pour l’égalité des salaires, crée le journal travailliste « The Maoriland Worker »
En 1915 elle crée son organisation le « New Zeland Volunteer Sisterhood » qui recrute des femmes agées de 30 à 50 ans, elles sont rapidement prêtes à partir pour l’Egypte, mais le gouvernement néo zélandais ne soutient pas l’initiative et la presse de Christchurch combat l’initiative arguant du fait que ces femmes feront le travail attribué aux égyptiens ce qui aboutira à une perte de prestige de la race blanche ! Ettie trouve des sponsors et le premier contingent part en octobre 1915. Ses volontaires travaillent sous l’égide du YMCA néo zélandais.
A son arrivée en 1916 Ettie découvre les ravages que causent les VD (veneral diseases) parmi les soldats (on estime à 20% le taux de soldats contaminés, estimation basse !) Considérant qu’il s’agit d’un problème médical et non pas moral elle recommande l’usage de kits prophylactiques et la mise en place d’une inspection des bordels, elle ouvre à El Quantara un club pour soldat le El KEBIR Soldier’s Club afin de fournir repos loisirs et alimentation de qualité.
En juin 17 elle va en grande Bretagne et crée son propre kit prophylactique comprenant une crème au calomel à appliquer avant relation sexuelle, des préservatifs et des cristaux de permanganate de potassium pour irrigation après. Elle installe à Hornchurch le « New Zeland Medical Soldiers Club » près d’un hôpital de convalescence néozélandais et y vend ses kits. Ses kits peuvent être achetés par corrspondance Fin 17 l’armée néozélandaise adopte ses kits et les distribue aux soldats en permission. Lady Stout accompagnée d’une délégation de femmes se plaint auprès du premier ministre néozélandais de cette femme qui fait de la réclame pour un « vice » en sécurité.
En avril 1918 Ettie ROUT se rend à Paris où elle se charge de mettre en place un système de « sexual welfare service for soldiers » (que l’on pourrait traduire par service de loisirs sexuels pour les soldats !) elle accueille les soldats néozélandais permissionnaires gare du nord leur donne des cartes recommandant le bordel de « madame Yvonne » qu’elle a agréé l’établissement respectant ses règles concernant l’hygiène et étant inspecté périodiquement (cet établissement était situé 29 rue Saint Lazare avait le téléphone et on y parlait anglais d’après la réclame). Ettie fournissait une carte stipulant qu’ »elle avait visité Madame Yvonne à de nombreuses occasions dans les deux derniers mois en compagnie d’officiers du service de sante et que tous étaient convaincus qu’à cet instant c’était le meilleur établissement et le plus sûr pour répondre aux besoins sexuels de la troupe » !
Après la guerre elle sera honorée de la médaille de la reconnaissance française pour sa participation à la reconstruction de Villers Bretonneux où elle gère un dépôt de la croix rouge.
En juin 1920 elle reçoit une lettre de félicitation du roi Georges V lettree transmise en son nom par W Churchill.
Durant des années son nom était « banni » en Nouvelle Zélande et il fallu attendre 1988 pour que les NZAF baptisent une clinique de son nom.
Un livre a été écrit sur elle : Tolerton, Jane. Ettie: a Life of Ettie Rout. Penguin: Auckland, 1992.et HG WELLS la cite dans une de ses nouvelles
Elle se suicidera le 17 septembre à Rarotonga 1936 en prenant une dose toxique de quinine (après avoir envoyé un télégramme : « Ettie Rout est morte en mer ») elle est enterrée au cimetière de la mission chrétienne de Avarua aux iles Cook
Des médecins français, néozélandais et britanniques ont vu en elle : «l’ange gardien des ANZACs » un évêque, parlant à la Chambre des Lords, l'appelait« la femme la plus méchante en Grande-Bretagne »
Cordialement
Pierre
pierre
Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
Bonjour à toutes et à tous
Merci Pierre pour l'intéressante biographie de cette femme ,la connaissance son combat et le discrédit porté sur son oeuvre sanitaire .
Quelques renseignements et photos sur Europeana ainsi qu'un film tourné en 1983
http://www.europeana1914-1918.eu/pt/dig ... ie+rout%22
Cordialement.
Merci Pierre pour l'intéressante biographie de cette femme ,la connaissance son combat et le discrédit porté sur son oeuvre sanitaire .
Quelques renseignements et photos sur Europeana ainsi qu'un film tourné en 1983
http://www.europeana1914-1918.eu/pt/dig ... ie+rout%22
Cordialement.
Elisabeth
"Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable." Rigord -historien -moine de l' abbaye de St Denis.XIIs
"Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable." Rigord -historien -moine de l' abbaye de St Denis.XIIs
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
*
bonjour à toutes et tous,
Ettie Annie Rout et le problème de la prostitution
* Merci Pierre, pour votre investissement et le partage de vos connaissances au sujet d'Ettie Annie Rout
* Merci également Elisabeth pour votre apport, il est visible sur [strike]de[/strike] ce lien (europeana) )
(le lien est devenu inactif)
* Une présentation du livre de Jane Tolerton: "Rout, Ettie Annie", from the Dictionary of New Zealand Biography. Te Ara - the Encyclopedia of New Zealand, updated 28-Jan-2014: consultable sur ce lien
cordialement
Brigitte
indexé dans le sommaire, au paragraphe: "prostitution"
bonjour à toutes et tous,
Ettie Annie Rout et le problème de la prostitution
* Merci Pierre, pour votre investissement et le partage de vos connaissances au sujet d'Ettie Annie Rout
* Merci également Elisabeth pour votre apport, il est visible sur [strike]de[/strike] ce lien (europeana) )
(le lien est devenu inactif)
* Une présentation du livre de Jane Tolerton: "Rout, Ettie Annie", from the Dictionary of New Zealand Biography. Te Ara - the Encyclopedia of New Zealand, updated 28-Jan-2014: consultable sur ce lien
cordialement
Brigitte
indexé dans le sommaire, au paragraphe: "prostitution"
Dernière modification par Skellbraz . le jeu. mars 01, 2018 12:00 pm, modifié 2 fois.
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
http://www.gresivaudan-magazine.fr/14-1 ... es-femmes/
Une femme parmi tant d'autres de la France en guerre, Séraphie Dalban-Moreynas, qui pendant que son mari se trouve sur le front a assumé seules les charges de la ferme familiale avec un courage et une détermination remarquable. Il ne faut pas les oublier.
Cordialement.
François
Une femme parmi tant d'autres de la France en guerre, Séraphie Dalban-Moreynas, qui pendant que son mari se trouve sur le front a assumé seules les charges de la ferme familiale avec un courage et une détermination remarquable. Il ne faut pas les oublier.
Cordialement.
François
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
*
bonjour à toutes et tous
Merci François pour cet article intéressant. (le lien ne fonctionne plus)
A cause de cette guerre qui a entraîné l'absence des hommes dans les exploitations agricoles, Séraphie Ferrier, épouse Dalban-Moreynas, révèle, dans bien des domaines, des compétences qu'elle ne se connaissait pas. A travers les courriers qu'elle échange avec son mari au front, on peut noter que Pierre est admiratif de son épouse. (un témoignage dans le Grésivaudan)
bien à vous
Brigitte
Indexé dans le sommaire, au chapitre II :"l'effort de guerre" (paragraphe " le monde agricole")
bonjour à toutes et tous
Merci François pour cet article intéressant. (le lien ne fonctionne plus)
A cause de cette guerre qui a entraîné l'absence des hommes dans les exploitations agricoles, Séraphie Ferrier, épouse Dalban-Moreynas, révèle, dans bien des domaines, des compétences qu'elle ne se connaissait pas. A travers les courriers qu'elle échange avec son mari au front, on peut noter que Pierre est admiratif de son épouse. (un témoignage dans le Grésivaudan)
bien à vous
Brigitte
Indexé dans le sommaire, au chapitre II :"l'effort de guerre" (paragraphe " le monde agricole")
Dernière modification par Skellbraz . le jeu. mars 01, 2018 12:03 pm, modifié 1 fois.
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- Alain Dubois-Choulik
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- Localisation : Valenciennes
- Contact :
Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
Bonsoir
Une page qui résume (bien) en images (trop pour les insérer) pas mal de situations : http://theimageworks.com/pub/nn031/warwomen/index.html
et
deux historiettes tirées du Cri de Paris sur les chauffeuses. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... .item.zoom en bas à gauche : Humour.



Cordialement
Alain
Une page qui résume (bien) en images (trop pour les insérer) pas mal de situations : http://theimageworks.com/pub/nn031/warwomen/index.html
et
deux historiettes tirées du Cri de Paris sur les chauffeuses. http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... .item.zoom en bas à gauche : Humour.



Cordialement
Alain
Les civils en zone occupée
Ma famille dans la grande guerre
Les Canadiens à Valenciennes
"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
Ma famille dans la grande guerre
Les Canadiens à Valenciennes
"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
- Skellbraz .
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)
*
Bonsoir à toutes et tous
En effet, Alain, de nombreuses photos qui méritent le détour. J'en reprends directement quelques -unes, pour illustrer des chapitres déjà présents dans le sommaire (femmes à la mécanique, par exemple...). Merci, merci
Cordialement
Brigitte
certaines photos sont indexées au sommaire
Bonsoir à toutes et tous
En effet, Alain, de nombreuses photos qui méritent le détour. J'en reprends directement quelques -unes, pour illustrer des chapitres déjà présents dans le sommaire (femmes à la mécanique, par exemple...). Merci, merci

Cordialement
Brigitte
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Dernière modification par Skellbraz . le jeu. mars 01, 2018 12:08 pm, modifié 1 fois.
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