Voici un sujet parfois abordé dans les fils consacrés aux fusillés pour l'exemple mais, me semble-t-il, jamais regroupés dans un même sujet.
Ce sujet serait-il tabou ? Les descendants seraient-ils plus traumatisés que ceux de Landru ?
En histoire, il ne doit pas y avoir de sujets tabous.
BOURDA Jean-Baptiste
Soldat au 6e Régiment d'infanterie coloniale, tua dans la nuit du 19 au 20 décembre 1917 sa grand-mère maternelle, la veuve Rouvier, au hameau de Madesureille, à Lesperon, en Ardèche, avant de voler 50 francs, un sautoir en or et de mettre le feu à la maison.
Fusillé au champ de tir du Pharo le 21 août1918.
Source http://guillotine.voila.net/Palmares1871_1977.html
http://nova.polymtl.ca/~simark/journaux ... 046060.pdf
DAUBIRAC Gabriel
Soldat à la 18e section d'exclus, tua le 21 août 1916 sa compagne à coups de révolver.
source la Lanterne du 22 novembre 1916 sur Gallica
Appartenant à une section d'exclus, il ne peut être invoqué à son égard l'excuse des traumatismes subis au front.
Cordialement
IM Louis Jean
Etienne