Bonjour à tous,
bonjour François Xavier. J'ai lu des trucs ainsi autour du 33RI et des Zouaves, ce vers le 2 mars 16 à Douaumont. Dans la pagaille (encerclement de nos troupes), des Allemands se seraient déguisés en soldats Français: à vérifier dans le livre "la capture", relatif au Capitaine De Gaulle, livre qui m'avait été aimablement prété par un intervenant de ce forum.
cordialement, François Noury
"Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
- francois noury
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonjout FX,
Durant la bataille de Maubeuge, le lieut. Billiet du 145èRI ecrit à propos d'une fausse reddition allemande :
"Soudain, une quinzaine d'hommes vêtus de gris débouchent en courant du village (Douzies) agitant les bras et levant leurs armes. Nous les prenons pour des anglais; mais non, voici derrière eux un casque à pointe. Et tous se mettent à crier en francais : "Nous rendons les armes !"
Le commandant Bounoure s'avance vers eux et leur crie : "Déposez vos armes". Et, lorsqu'il arrive à une quinzaine de pas, ils ouvrent le feu sur lui (...) derrière eux, je vis toute une compagnie qui les suivait, baïonnette au canon"

Cela dit, peut-on être sûr que ces pratiques n'ont pas été utilisées par les deux camps ?
Cordialement / David.
Durant la bataille de Maubeuge, le lieut. Billiet du 145èRI ecrit à propos d'une fausse reddition allemande :
"Soudain, une quinzaine d'hommes vêtus de gris débouchent en courant du village (Douzies) agitant les bras et levant leurs armes. Nous les prenons pour des anglais; mais non, voici derrière eux un casque à pointe. Et tous se mettent à crier en francais : "Nous rendons les armes !"
Le commandant Bounoure s'avance vers eux et leur crie : "Déposez vos armes". Et, lorsqu'il arrive à une quinzaine de pas, ils ouvrent le feu sur lui (...) derrière eux, je vis toute une compagnie qui les suivait, baïonnette au canon"

Cela dit, peut-on être sûr que ces pratiques n'ont pas été utilisées par les deux camps ?
Cordialement / David.
Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonjour à tous
Il a été signalé dans plusieurs témoignages que les Allemands profitant du "cessez-le -feu" tacite, lorsque les brancardiers étaient en train de ramasser les blessés sur le no man's land, amenaient au plus pres des tranchées Françaises (ou autres), leurs mitrailleuses sur des brancards par du personnel portant la croix rouge des infirmiers.Les témoins de ces scenes sont formels, puisque pour maquiller le mefait, ils cachaient le corps des mitrailleuses avec des couvertures.
Autre méfait quelque peu contesté: la prise du fort de Douaumont par des Allemands déguisés en zouaves (voir le "Péricard").
Les troupes Françaises signalent aussi des guetteurs, dans des postes d'écoute (donc trés pres de la tranchée ) habillés en Français.
Cdlt Alex.
Il a été signalé dans plusieurs témoignages que les Allemands profitant du "cessez-le -feu" tacite, lorsque les brancardiers étaient en train de ramasser les blessés sur le no man's land, amenaient au plus pres des tranchées Françaises (ou autres), leurs mitrailleuses sur des brancards par du personnel portant la croix rouge des infirmiers.Les témoins de ces scenes sont formels, puisque pour maquiller le mefait, ils cachaient le corps des mitrailleuses avec des couvertures.
Autre méfait quelque peu contesté: la prise du fort de Douaumont par des Allemands déguisés en zouaves (voir le "Péricard").
Les troupes Françaises signalent aussi des guetteurs, dans des postes d'écoute (donc trés pres de la tranchée ) habillés en Français.
Cdlt Alex.
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonsoir,
Mon arrière-grand-père a vécu ce genre de situation au 57e RI.
Lors des combats de Lobbes, en Belgique, le 23 août 1914 :
Puis arrive la nuit. Les Allemands chargent sur nous en nombre beaucoup supérieur. Ils ont de petits drapeaux blancs et nous crient de ne pas tirer, qu’ils sont Anglais. Ils sont à peine à cinquante mètres de nous. On voit très bien leurs casques à pointe, mais c’est trop tard. Plus vite fait que de le dire ils ont fait feu sur nous et comme trois compagnies 5 - 6 - 7 sont déployées en tirailleurs et debout, une quantité tombent morts et blessés. Sur cela plus rien à faire, on tire.
Un fait qu'il a entendu dire lors de la bataille de la Marne :
Pendant notre marche en avant, je me souviens avoir passé à Château-Thierry où a eu lieu un combat dans les rues même où étaient le 123ème et le 6ème. Là les boches avaient agis par la ruse. Dans la rue principale où ils étaient massés, ils avaient caché derrière eux des mitrailleuses, et disant qu’ils se rendaient, les nôtres s’approchaient. Arrivés tout près d’eux les bandits ouvrirent les rangs et firent feu presque à bout portant.
Ce dernier fait est-il prouvé ?
Cordialement
Vincent
Mon arrière-grand-père a vécu ce genre de situation au 57e RI.
Lors des combats de Lobbes, en Belgique, le 23 août 1914 :
Puis arrive la nuit. Les Allemands chargent sur nous en nombre beaucoup supérieur. Ils ont de petits drapeaux blancs et nous crient de ne pas tirer, qu’ils sont Anglais. Ils sont à peine à cinquante mètres de nous. On voit très bien leurs casques à pointe, mais c’est trop tard. Plus vite fait que de le dire ils ont fait feu sur nous et comme trois compagnies 5 - 6 - 7 sont déployées en tirailleurs et debout, une quantité tombent morts et blessés. Sur cela plus rien à faire, on tire.
Un fait qu'il a entendu dire lors de la bataille de la Marne :
Pendant notre marche en avant, je me souviens avoir passé à Château-Thierry où a eu lieu un combat dans les rues même où étaient le 123ème et le 6ème. Là les boches avaient agis par la ruse. Dans la rue principale où ils étaient massés, ils avaient caché derrière eux des mitrailleuses, et disant qu’ils se rendaient, les nôtres s’approchaient. Arrivés tout près d’eux les bandits ouvrirent les rangs et firent feu presque à bout portant.
Ce dernier fait est-il prouvé ?
Cordialement
Vincent
- francois noury
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonsoir M. Douaumont,
comme M. Invité, nous aimerions avoir la source de votre déclaration.
Cordialement, M. Fosse 6
comme M. Invité, nous aimerions avoir la source de votre déclaration.
Cordialement, M. Fosse 6
- LABARBE Bernard
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonne sieste à tous (c'est l'heure...)
Comme vous l'a dit Vincent, les témoignages de combattants du 57ème RI attestent également que ces ruses ont eu lieu en 1914.
Je crois qu'il faut bien comprendre que les allemands, sur le plan militaire, étaient très supérieurs en tout. "Nous avons été battus partout, de la Sambre aux Vosges" (c'est de Pétain je crois, pas sûr...). Ils ont usé de tout, la technologie (obusiers de campagne) la tactique (mitrailleuses immédiatement en première ligne contrairement aux français), etc.., de tout ! Et y compris la ruse, comme si tout le reste ne suffisait pas ! Bien entendu, la ruse, les déguisements ou autres drapeaux étrangers brandis, ça reste très marginal et ce n'est pas à cause de cela que nous avons été battus, mais cela signifie à mon sens qu'ils avaient déjà intégré l'idée de la guerre TOTALE, voir les actions de leurs sous-marins... "On est plus à l'époque des chevaliers, on met tous les moyens quels qu'ils soient de notre côté", je traduis ça comme ça. En un mot, la guerre moderne !
Lancé comme je suis, j'allais tirer à boulets rouges sur ceux qui pensent encore que le pantalon de la même couleur est une des causes des défaites de 14, mais ce sera pour une autre fois, c'est un autre sujet, j'en ai un sac à dire...
Comme vous l'a dit Vincent, les témoignages de combattants du 57ème RI attestent également que ces ruses ont eu lieu en 1914.
Je crois qu'il faut bien comprendre que les allemands, sur le plan militaire, étaient très supérieurs en tout. "Nous avons été battus partout, de la Sambre aux Vosges" (c'est de Pétain je crois, pas sûr...). Ils ont usé de tout, la technologie (obusiers de campagne) la tactique (mitrailleuses immédiatement en première ligne contrairement aux français), etc.., de tout ! Et y compris la ruse, comme si tout le reste ne suffisait pas ! Bien entendu, la ruse, les déguisements ou autres drapeaux étrangers brandis, ça reste très marginal et ce n'est pas à cause de cela que nous avons été battus, mais cela signifie à mon sens qu'ils avaient déjà intégré l'idée de la guerre TOTALE, voir les actions de leurs sous-marins... "On est plus à l'époque des chevaliers, on met tous les moyens quels qu'ils soient de notre côté", je traduis ça comme ça. En un mot, la guerre moderne !
Lancé comme je suis, j'allais tirer à boulets rouges sur ceux qui pensent encore que le pantalon de la même couleur est une des causes des défaites de 14, mais ce sera pour une autre fois, c'est un autre sujet, j'en ai un sac à dire...
- LABARBE Bernard
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonjour invité , j'amorçais le truc sur le fameux pantalon rouge, car nous avons tous entendu ou lu de nombreux commentaires qui m'ont toujours étonnés... En effet regardez bien l'uniforme du soldat de 1914: Le képi rouge est devenu bleu par une coiffe ajoutée, la capote bleue type "3/4" descend jusqu'aux genoux et rabattue sur les côtés. Ajoutez quelques herbes hautes dans les champs, et que voyez-vous de rouge ? Un petit triangle ? Les 4/5ème de la silhouette étaient bleue ! Les unités manoeuvraient et combattaient par compagnies entières, à découvert, alors qu'ils aient été en rouge, vert, ou jaune canari, elles se voyaient arriver de loin ! Par contre, l'uniforme des officiers, nettement différenciés de ceux de la troupe fût certainement à l'origine de leurs pertes. Aisément repérables à cause justement de cette différence et non de leur couleur, en tête de l'attaque pour entrainer les soldats, ils furent parmi les premiers tués des premiers combats. Une troupe nombreuse sans chefs, (compagnies de 250 hommes en 14) aussi valeureuse soit-elle, risque la panique et la débandade, l'ennemi savait bien cela aussi. A Lobbes le 23 août, les capitaines des 3 compagnies du 2ème bataillon du 57 furent tués.
Pas vrai Vincent ?
Pas vrai Vincent ?

- Stephan @gosto
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Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonjour,
Quelques réflexions matinales...
Uniformes qui tuent...
Il me semble qu'il est à peu près établi aujourd'hui qu'une quelconque responsabilité des uniformes dans les lourdes pertes françaises du début de la guerre relève davantage de la légende. A tout le moins, l'impact sur les pertes fut mineur.
Les Allemands, aussis, eurent , je crois, quelques tués en 1914 et les changements de couleurs d'uniformes n'empêchèrent pas les hécatombes de 1915 et la suite du massacre jusqu'en 1918...
Il faut davantage regarder du côté des mitrailleuses allemandes, et de la façon dont les troupes françaises étaient jetées sur ces mitrailleuses... Plus généralement, c'est la façon de combattre qui est à mettre en cause ; l'uniforme a bon dos pour endosser les erreurs tragiques de ces premiers mois...
Pour les officiers, j'ai envie de dire que c'est un peu la même chose : leur position - en tête des troupes qu'ils emmenaient à l'attaque - est plus à incriminer que les quelques cm2 de dorures qui ornaient leurs uniformes. Il y eu bien le cas de quelques fougueux Saint-cyriens qui firent tout ce qui étaient en leur pouvoir pour se faire descendre au plus vite... Mais dans l'ensemble, si les officiers avaient été placés à l'arrière des troupes, dorures ou pas, ils s'en seraient mieux tirés, et la troupe n'aurait pas perdu à ce point l'encadremenet qui lui était nécessaire pour poursuivre des combats parfois longs et difficiles...
Boucliers humains
Octobre 1918, Roulers. On est de nouveau dans un phase de guerre de mouvement ; on avance, il ne faut pas traîner, la progression étant réglée à la minute près sur le tir de barrage. L'avance est assez rapide, beaucoup d'allemands se rendent. Cependant, les mitrailleurs du sergent Legentil, 74e R.I., sont pris à parti par des tireurs embusqués résistant dans une maison. Mais il faut avancer coûte que coûte. Comment passer, avec les mitrailleuses et tout le matos ? Il faut faire vite.
Eh bien, c'est simple : on prend quelques allemands fraîchement capturés dans les minutes précedentes et, au lieu de les envoyer à l'arrière, on leur colle le pistolet dans les fesses et on se dirige vers les tireurs allemands... qui finissent par sortir gentiment de la maison pour rendre les armes...
Lu du côté français, franchement, on n'est pas choqué. On trouve même, dans ce contexte, la manoeuvre plutôt habile. Eh puis, c'est la guerre...
Mais le même fait d'armes, s'il était relaté par les allemands, laisserait très certainement une impression différente ; il y serait question de traitrise ou de lâcheté...
Comme quoi, tout ceci est très relatif... En 14, les allemands pensaient en finir vite... en octobre 18, les français voulaient en finir vite...
Amicalement,
Stéphan[/i]
Quelques réflexions matinales...
Uniformes qui tuent...
Il me semble qu'il est à peu près établi aujourd'hui qu'une quelconque responsabilité des uniformes dans les lourdes pertes françaises du début de la guerre relève davantage de la légende. A tout le moins, l'impact sur les pertes fut mineur.
Les Allemands, aussis, eurent , je crois, quelques tués en 1914 et les changements de couleurs d'uniformes n'empêchèrent pas les hécatombes de 1915 et la suite du massacre jusqu'en 1918...
Il faut davantage regarder du côté des mitrailleuses allemandes, et de la façon dont les troupes françaises étaient jetées sur ces mitrailleuses... Plus généralement, c'est la façon de combattre qui est à mettre en cause ; l'uniforme a bon dos pour endosser les erreurs tragiques de ces premiers mois...
Pour les officiers, j'ai envie de dire que c'est un peu la même chose : leur position - en tête des troupes qu'ils emmenaient à l'attaque - est plus à incriminer que les quelques cm2 de dorures qui ornaient leurs uniformes. Il y eu bien le cas de quelques fougueux Saint-cyriens qui firent tout ce qui étaient en leur pouvoir pour se faire descendre au plus vite... Mais dans l'ensemble, si les officiers avaient été placés à l'arrière des troupes, dorures ou pas, ils s'en seraient mieux tirés, et la troupe n'aurait pas perdu à ce point l'encadremenet qui lui était nécessaire pour poursuivre des combats parfois longs et difficiles...
Boucliers humains
Octobre 1918, Roulers. On est de nouveau dans un phase de guerre de mouvement ; on avance, il ne faut pas traîner, la progression étant réglée à la minute près sur le tir de barrage. L'avance est assez rapide, beaucoup d'allemands se rendent. Cependant, les mitrailleurs du sergent Legentil, 74e R.I., sont pris à parti par des tireurs embusqués résistant dans une maison. Mais il faut avancer coûte que coûte. Comment passer, avec les mitrailleuses et tout le matos ? Il faut faire vite.
Eh bien, c'est simple : on prend quelques allemands fraîchement capturés dans les minutes précedentes et, au lieu de les envoyer à l'arrière, on leur colle le pistolet dans les fesses et on se dirige vers les tireurs allemands... qui finissent par sortir gentiment de la maison pour rendre les armes...
Lu du côté français, franchement, on n'est pas choqué. On trouve même, dans ce contexte, la manoeuvre plutôt habile. Eh puis, c'est la guerre...
Mais le même fait d'armes, s'il était relaté par les allemands, laisserait très certainement une impression différente ; il y serait question de traitrise ou de lâcheté...
Comme quoi, tout ceci est très relatif... En 14, les allemands pensaient en finir vite... en octobre 18, les français voulaient en finir vite...
Amicalement,
Stéphan[/i]
Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
Bonjour à tous
Je pense que le temoignage du gardien de batterie Cenot n'est pas à prendre en compte.En effet comment aurait-il pu voir des Allemands marchant dans le fossé en etant à l'observatoire de la 155? S'il les à vu, c'est à plusieurs KM!!! Et effectivement ,ils devaient porter un uniforme standart.Par contre s'il les avaient vu pres du fort n'aurait- il pas plus de précautions pour defendre l'ouvrage?
Dans le "Péricard" un homme s'approche asser pres pour identifier formellement des Allemands avec des chechias. D'autres témoignages confirment que "des hommes portant des chechias" sont passés devant eux, et savait qu'une compagnie de Zouaves "etait plus sur notre gauche".
Mais bon M.Denizot n'est pas à une erreur pres dans ces livres, il nous l'a suiffisamment prouvé.
Cordialement Alex
Je pense que le temoignage du gardien de batterie Cenot n'est pas à prendre en compte.En effet comment aurait-il pu voir des Allemands marchant dans le fossé en etant à l'observatoire de la 155? S'il les à vu, c'est à plusieurs KM!!! Et effectivement ,ils devaient porter un uniforme standart.Par contre s'il les avaient vu pres du fort n'aurait- il pas plus de précautions pour defendre l'ouvrage?
Dans le "Péricard" un homme s'approche asser pres pour identifier formellement des Allemands avec des chechias. D'autres témoignages confirment que "des hommes portant des chechias" sont passés devant eux, et savait qu'une compagnie de Zouaves "etait plus sur notre gauche".
Mais bon M.Denizot n'est pas à une erreur pres dans ces livres, il nous l'a suiffisamment prouvé.
Cordialement Alex
Re: "Traîtrises Allemandes" dans la bataille de la Mar
le pantalon rouge garance n'a surement pas ameliorer les choses!!! vous devriez avoir honte de dire de telle sotises, mon AG-oncles qui a combatu avec les boches en 14 avait été trés surpris de la voyances des uniformes francais alors qu'ils navaient qu'a ajuster leur mitrailleuse et tiraient dans le tas... Je suis d'accord que ce n'est pas l'unique raison des massacres de debut guerre mais quand meme , vcous avaient peut etre oublié que la doctrine de l'epoque etait la charge au sabre ou a la baionette comme en 1870,il etait impensable d'avoir un uniforme qui se confond avec la nature,c'etait de la lacheté! il est vrai cependant qu'il ont vite dechanté au vu des enormes pertes...