


Norton Cru, sans que je m'autorise à minimiser son travail, a écorné les premières représentations que je m'étais faites de 14-18 il y a bien longtemps (1967), en critiquant vivement Dorgelès et Barbusse.



Bien qu'ayant indiscutablement exagéré certains aspects, ces deux auteurs facilitent l'entrée dans l'histoire de la grande guerre et sa compréhension, notamment pour ce qui est de la psychologie des personnages, qu'ils nous ont rendu proches.
Son ouvrage, qui est celui d'un chercheur, sacrifie à mon sens l'humain à la vérité des faits.

Oserais-je affirmer que certaines invraisemblances qu'il relève n'en sont peut-être pas ?



Mais je ne veux pas réallumer l'incendie,



Cordialement,
jPG