la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

GREG54
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par GREG54 »

Bonsoir à tous,

Je vais continuer d'agrémenter ce thème.

Voici l'histoire d'un quartier qui a totalement disparu apres l offensive de 1918.

On peut encore marché sur des maisons de l'epoque sauf que peu de monde save ou se trouve ces maisons detruites.

Voici une vue des maisons avant la destruction

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à droite de cette photo sous la zone en herbe, les habitants est regroupés l'ensemble des maisons detruites de 1918

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Vue en venant de la passerelle vers l'eglise

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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par GREG54 »

Vue de la tour centrale du village apres l offensive de 1918


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La vie est un eternel recommencement, la rue du château est actuellement en renovation compléte (2011)

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vue de la tour sur le coté gauche

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GREG54
alaindu512010
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par alaindu512010 »

Bonsoir
Ne te fatigues pas GREG
http://www.history.army.mil/topics/afam/92div.htm
ça se traduit tout seul avec google; mais si tu pense faire mieux je suis preneur de la traduction
cordialement
alain
alaindu 512010
GREG54
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par GREG54 »

Salut Alain,

Effectivement je ne savais pas que ce document pouvait se traduire directement par google :pt1cable:
J'ai demandé à un de mes cousins totalement bilingue de bien vouloir traduire.

VOICI LA TRADUCTION GOOGLE

MEUSE-ARGONNE OFFENSIVE, SEPTEMBRE 26�OCTOBER 5
AU moment où le commandant en chef américain arrive en France, il courbés chaque effort vers organiser une armée américaine sous commandement américain, le moment possible plus tôt. Pour ce faire normalement consommerait beaucoup de temps parce qu'il faudrait d'abord transporter un grand nombre de troupes vers l'Europe, de fournir pour leur approvisionnement et de parfaire leur formation. En outre, l'organisation de cette armée a été reportée par la situation critique créée par les offensives allemandes, lancés au printemps et le début de l'été de 1918. Ces offensives appauvri si les réserves alliés que les alliés face presque certaine défaite à moins qu'ils ont reçu un soutien immédiat. Dans cette crise, le commandant en chef de la American reporté pour le moment, la concentration des divisions américaines pour la formation d'une armée américaine et faites combattant américain toutes les forces disponibles pour le service avec les armées britanniques et françaises. Avec cette aide, les alliés ont pu non seulement arrêter les offensives allemandes avant ils ont obtenu une victoire décisive, mais, le 18 juillet, pour lancer une contre-attaque avec succès contre les Allemands dans le saillant de la Marne. Le 24 juillet, alors que cette offensive était toujours en cours, un plan stratégique de l'offensif a été convenu par les commandants en chef et le commandant en chef alliées qui comprenait une mission pour une armée américaine. Le but immédiat de ce plan était de réduire la Motti qui interférait avec des communications de chemin de fer qui étaient essentielles pour davantage d'opérations offensives. L'un d'eux était le saillant de St. Mihiel. [3, 5]
La première armée américaine a été organisée le 10 août et le 30 août, a pris le commandement du front de Port-sur-Seille, est de la rivière Moselle, à Watronville, 11 kilomètres au sud-est de Verdun. À partir de septembre 11 à 16, il conduit

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L'Offensive Saint Mihiel qui a entraîné la réduction du saillant St. Mihiel. [5]
Avec la réduction de la Saint-Mihiel et autres Motti la but immédiat du plan stratégique offensif du 24 juillet avait été accompli, et il est devenu possible d'entreprendre les grands offensives convergentes qui avait bean convient par les commandants en chef et le commandant en chef alliées au début de septembre. Ces offensives inclus une attaque américaine qui sera lancé le 26 septembre, entre la Meuse et de la forêt d'Argonne, appuyée sur la gauche par le français quatrième armée entre l'Argonne et la rivière Suippes ; un renouvellement le 27 septembre de l'attaque britannique-français entre l'Oise et de la Scarpe rivières. et une attaque alliée combinée est d'Ypres le 28 septembre. Entre ces offensives principales, opérations secondaires ont été entrepris. [5, 6, 7, 107]
L'Offensive Meuse-Argonne de la première armée américaine était dirigée contre la principale ligne latérale allemande de l'approvisionnement, le chemin de fer Carignan�Sedan�Mézières, qui, à Sedan, pondre 53 kilomètres du front. La rupture de cette artère rendrait les positions allemandes à l'Ouest et le nord-ouest de la berline intenable. [5]
Protéger cette ligne d'approvisionnement vital, les Allemands avaient, au cours des quatre années précédentes, construit un solide système de fortifications de campagne. Sur le front de la Meuse-Argonne, il y avait quatre positions défensives distinctes. La première réside près derrière la ligne de front. Le second inclus de Montfaucon et traversé l'Argonne au sud d'Apremont. Le troisième, qui était connu pour les allemands comme les Stellung de Kriemhild, formé une partie de leur grand système défensif, communément appelé la ligne Hindenburg qui reliait les environs de Metz à la mer du Nord. Cette position s'étendue de Bois de Forêt, à travers les hauteurs de Cunel et de Romagne, pour inclure les hauteurs au nord de Grandpré. La quatrième position inclus les hauteurs de Barricourt et prolongée vers l'ouest à Buzancy et Thénorgues. Les trois premières positions avaient été minutieusement organisées, et nombreuses positions intermédiaires construit entre eux.
8
Ces défenses, conjointement avec la force militaire naturelle du terrain, a présenté un formidable obstacle à une attaque armée. L'importance des communications protégées par ce front fait certains que les Allemands seraient opposeraient à ici à la dernière extrémité. [5]
Le plan de la première armée envisagé une avance initiale de 16 kilomètres et une pénétration de la troisième position hostile. Cette pénétration serait forcer l'ennemi à évacuer la forêt d'Argonne et assurer la jonction de la première armée avec l'armée quatrième français à Grandpré. Une avance de plus de 16 kilomètres était alors à apporter à la ligne, Stenay�le Chesne. Une telle avance serait déborder la position de l'ennemi le long de la rivière Aisne, devant la quatrième armée française et ouvrir la voie à une avance sur Mézières ou de Sedan. Ces opérations ont été soit complété par une attaque pour effacer les hauteurs à l'est de la Meuse en Bois de la Grande Montagne. [5]
En préparation de l'infraction de Meuse-Argonne, le front de la première armée a été prorogé à Watronville au bord de l'ouest de la forêt d'Argonne le 22 septembre. L'attaque devait être lancé à 05:30 a. m., le 26 septembre, avec la III, le v et le corps d'armée en ligne de droite à gauche. À l'ouest de la forêt d'Argonne, la quatrième armée française devait attaquer conjointement avec les forces américaines. Les éléments de la première armée est de la Meuse ne devaient ne pas attaquer pendant les jours de l'ouverture de l'offensive. [5]
P
Les paragraphes suivants, en italique, sont un synopsis du service de la Division 92nd dans l'Offensive Meuse-Argonne. Ce sommaire est conçu pour rendre les principaux faits concernant ce service disponible pour le lecteur en forme compacte.
Thc 92nd Division, moins l'infanterie 368th et la Brigade d'artillerie de campagne 167e, était dans la réserve du Corps I le 26 septembre. L'infanterie 368th a été un élément du groupe de liaison franco-américaine connu comme GroupementDurand de qui opère entre l'armée américaine de la première et la quatrième armée française. Le régiment attaqué sur la droite du Groupement Durand le matin

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de la 26e sur un front de 1-bataillon de La Harazée à Vienne-le-Château. Régiment de THC environ 1 kilomètre de pointe, mais le soir, tous sauf pelotons épars et sa société gauche se retirent. Compagnie gauche de THC maintenu des postes pour la nuit dans la Tranchée des Baleines.
Dans la matinée du 27 septembre, le régiment, avec deux bataillons en ligne, atteint et a occupé des postes dispersés dans la Tranchée de la Tringle, Tranchée Tirpitz et la partie supérieure du Vallée Moreau. Dans un autre attentat à la fin de l'après-midi postes ont été atteint est et à l'ouest de la route de Vienne-le-Château�Binarville ; en et près de Tranchée Tirpitz et dans la Vallée Moreau.
Le 28 septembre, une entreprise acquise et occupé une ligne dans le ravin au nord de Tranchée Tirpitz. Sur la gauche, les troupes occupent des positions dans la Vallée Moreau.
Régiment de THC ne prend aucune action offensive le 29 septembre. Le bataillon de gauche a été libéré par les troupes françaises. Le bataillon de droite a été relevé par le bataillon de l'ancienne réserve qui ont pris position dans la Tranchée Tirpitz.
Le septembre 30 le régiment avait avancer à Tranchée du Dromadaire en midi et en fin d'après-midi rejoint les français dans un assaut sur Binarville. La ville fut capturée et une ligne pour la nuit a statué sur la de 300 mètres au sud. Il y avait des détachements au nord-est de la ville et une compagnie en ligne avec les français.
Le matin du 1er octobre, l'infanterie 368th a été retiré de la ligne de front. La Division 92nd, moins l'artillerie, des ingénieurs et la Brigade d'infanterie 183d, avaient été mis à la disposition du Corps XXXVIII français le 29 et resta en réserve de ce corps du 1 octobre au 4.
Le plan de l'Offensive Meuse-Argonne envisagé que la première armée ferait progresser rapidement à l'est de la forêt d'Argonne, et que l'attaque principale de la quatrième armée française serait prise à l'ouest de la rivière Aisne. Par cette action enveloppante, l'ennemi était d'être obligés d'évacuer ses positions fortes dans la forêt d'Argonne. Liaison entre les deux armées devait être maintenu par un groupe franco-américaine qui devait

10
opérer entre la forêt d'Argonne et la rivière Aisne. [8, 12]
La Division 92nd a été désignée comme réserve du corps d'armée. Il était toujours sans sa brigade d'artillerie, mais avait attaché à la Brigade de l'artillerie de campagne 62nd, 37e Division. Le régiment du génie, trois bataillons d'infanterie, deux compagnies du bataillon de mitrailleuses 351st et l'infanterie 368th avait été détaché pour les autres missions. L'infanterie 368th, par un arrangement avec la quatrième armée française, fut de former une partie du groupe de liaison franco-américaine qui était de maintenir le contact entre la 77e Division, corps d'armée, l'élément de gauche de la première armée et les français 1 désassemblée Division de cavalerie, Corps XXXVIII français, l'élément de droite de la quatrième armée française. [8, 9, 10, 11, 12]
Ce groupe de liaison, organisé comme une brigade provisoire, était connu tant que Groupement Durand et Groupement Rive Droite et devait fonctionner comme l'élément de droite des français 1re Division de cavalerie démontée. C'était d'attaquer dans la formation suivante :
Fr 11e régiment de Cuirassiers Infanterie amer 368th
2d bataillon bataillon 3D 2d bataillon
1er bataillon bataillon 3D
1er bataillon (Div Res)
Les limites assignés pour l'attaque étaient les suivantes :
La limite gauche, armée américaine : La Harazée (incl.) �Binarville (hors) �Lançon (hors) �Grand Ham (incl.).
La limite gauche, Division 77e américaine (comme ordonné par cette division): La Harazée (incl.) �road junction 800 mètres au nord-ouest du Moulin de l'homme Mort�Etang de Poligny.
La limite droite, infanterie 368th américain (comme ordonné par Groupement Durand): La Harazée (à l'exclusion) �crossroads environ 700 mètres au nord de point 213�Binarville�Lançon.
La limite gauche, infanterie 368th américain (comme ordonné par Groupement Durand): bordure orientale du Bois Long�Bois Carré�Boyau de la Cote 176 (incl.) �point 500 mètres à l'ouest de Binarville.

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La limite droite du Groupement Durand et l'infanterie 368th ne coïncide pas précisément avec la limite gauche de la Division 77e. Peu à peu l'écart existait entre les deux limites et à Binarville était environ 800 mètres de large. [8, 12, 13, 14, 15, 16]
Les français 1re Division de cavalerie démontée consistait à promouvoir chevauchant la rivière Aisne, rendant son effort principal avec ces éléments à l'ouest de la rivière. Groupement Durand, de fonctionnement est de la rivière, était de protéger le droit des troupes faisant l'effort principal et assurer la liaison avec la Division 77e dans la forêt d'Argonne. La progression de l'attaque, il était prévu que les français 11e régiment de Cuirassiers pourrait être pincés sortir par les avances convergents pour les deux flancs. [12, 15, 17]
Le 24 septembre Groupement Durand a émis des ordonnances enjoignant à un bataillon d'infanterie 368th à soulager le 1er Bataillon, 11e régiment de Cuirassiers, durant la nuit du 24-25 septembre dans le sous-secteur de la Biesme, de point 213 ouest jusqu'à un point situé à 300 mètres à l'ouest de la route de Vienne-le-Château�Binarville. Les bataillons de soutien et de la réserve devaient demeurer au sud de La Rivière de la Biesme. M. p. 9 le 24 l'infanterie 368th a commencé son mouvement vers l'avant et le lendemain matin terminé la réparation. [13, 18]
Le 25 septembre les français 1re Division de cavalerie démontée a annoncé que les troupes d'assaut de Groupement Durand serait en position dans la nuit du 25-26 septembre. Des efforts particuliers devaient être faites ne pas d'attirer l'attention de l'ennemi dans la ligne de départ, qui reliait Nord-Ouest 213 de point à point environ 300 mètres au sud-est de Bois Beaurain de plus en plus. Une préparation d'artillerie devait commencer à six heures avant l'heure de l'attaque. Les troupes à l'ouest de l'Aisne étaient de garder à l'avance de Groupement Durand. À l'heure H Groupement Durand a été de faire progresser sur une ligne qui s'étend généralement est et l'Ouest, par le biais de Servon et occupent la première ligne de tranchées hostiles, après quoi les unités devaient être réorganisé, reconnaissance du front devait être faite et postes devaient être retenu contre la contre-attaque hostile, particulièrement de la forêt d'Argonne. Sur commande des français 1er désassemblée cavalerie Divi -

12
sion, les éléments à l'ouest de l'Aisne étaient de faire une autre poussée vers le Nord. [19]
La mission assignée à l'infanterie 368th était de garder l'ennemi sous surveillance et de maintenir un contact, d'assurer la liaison avec les deux flancs et, en cas de retrait des ennemis, à poursuivre en conjonction avec la 11e régiment de Cuirassiers. Pour accomplir la dernière partie de cette mission, le bataillon d'assaut devait forment une ligne de résistance loin possible, se sentant hors l'ennemi avec patrouilles et avancer comme opportunité offerte. Les détachements de liaison mixte devaient être fournis pour les deux flancs. Enfin, si l'infanterie 368th devait être prêt à envoyer une garde d'avance vers Binarville. Le régiment réserve bataillon, à partir d'une position à prendre au nord de la Biesme, devait être prêt à répondre aux contre-attaques du nord-est, mais ne devait ne pas être engagés dans l'attaque du régiment sans autorité de Groupement Durand. Le 25, ce bataillon devait effectuer des reconnaissances des routes dans la direction de Binarville et au nord-est. Le bataillon de réserve de la division devait être engagée que sur les commandes des français 1re Division de cavalerie démontée. Le 25 septembre, c'est à chevaucha itinéraires d'avance à Vienne-le-Château et ses environs. [14, 20]
Dans les ordres émis par l'infanterie 368th le bataillon 3d a été réalisé pour sécuriser et assurer la liaison avec les éléments de soutien de la Division 77e. L'heure de l'attaque a été annoncé comme 05:30 a. m. le 26 septembre. [21]
Le 26 septembre
Le bataillon 2d, l'infanterie 368th, attaqué sur 05:25 a. m., pris en charge par la compagnie mitrailleuse régimentaire. L'artillerie à la disposition des français 1re Division de cavalerie démontée était insuffisante pour fournir une préparation efficace dans la zone d'action du régiment et a fait peu ou pas de dommages pour les positions ennemies fortement câblés sur son front. En outre, aucune agencements lourds ont été fournis par la division française à temps pour être utilisée pour l'attaque, et en conséquence les troupes ont été contraints de progresser dans les tranchées existantes ou les chemins. Cela fait latérale communication extrêmement difficile. [13, 23, 24, 25, 26, 27, 28]
L'action du premier bataillon bientôt développé dans des mouvements séparés par trois groupes, un seul qui a été con-

alaindu512010
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par alaindu512010 »

Bonjour
Concernant la visite de Clémenceau à Moncheutin où une maison porte son nom
http://bcdi.crdp-reims.fr/bcdiweb/bcdiw ... 20NG,TITRE
reste a trouver ce journal " horizon d'argonne 62" ha !! ha !! je me gausse,devinez
bien à vous
je lis l'article m'en imprègne et vous scanne ces lignes si vous souhaitez
alain
alaindu 512010
GREG54
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par GREG54 »

Bonjour Alain,

Escusez moi pour ma reponse tardive mais la semaine fut tres chargé :pt1cable: et je ne suis pas venu visiter le site

Je suis effectivement tres interessé par votre article et souhaiterez beaucoup le decouvrir.

Comment doit on procéder ?

GREG54
alaindu512010
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Re: la vie à GRANDPRE Village Sud Argonne (08) pendant l'occupation 14 18

Message par alaindu512010 »

Bonsoir Greg
Simplement a l'office du tourisme de Sainte Ménéhould C'est horizon d'argonne n°62 mais donnez votre adresse et je vous le scanne
Clémenceau vint en Argonne et une maison de Moncheutin où il passa porte encore le nom de villa Clémenceau
l'article de Georges Clause mentionne la venue de Clémenceau 'le tigre " à la date du 3 aout 1919 à Grandpré
le président déjeune dans son train arrivé en gare de Vouziers et ,à quatorze heures précises son cortège automobile s'ébranle en direction de Grandpré;
il fera toutefois halte à Olisy pour permettre à une jeune fille de remettre un bouquet quui s'ajoute a ceux qui ornent déjà la voiture présidentielle,
la même scène se produira à Semide, Machault et Juniville
Dans sa magistale biographie Jean Baptiste Duroselle rappelle que Clémenceau commença ses visites au front en 1915
Jean Baptiste Duroselle ,Clémenceau ;Fayard , 1988 1078 p
bien à vous
alain
cordialement
alaindu 512010
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