Bonjour
Je reconnais là le gars Alain, toujours aussi pointilleux sur le sujet. La différence est bien dans le structuré pas dans le "langage de requête"
Cordialement
Jérôme
Bonjour
Ah ! Tu veux que je pointille ... et bien il est toujours suffisamment structuré notre langage, fut-il rudimentaire, alors SQL, c'est l'arbre qui ... ne cache rien. C'est juste "hautement formalisé (normalisé ?)" - je n'ai pas dit sottement- pour se faire comprendre d'une quincaille quelconque, et ouf ! Dieu Merci, il n'y a pas d'analyse sémantique des résultats.
Et si ça marchait mieux NoSQL ???
Cordialement
Alain
Pour en revenir à "l'affaire" Stanislas de Bodin de Galembert...
Correspondant avec quelqu’un de sa famille, il semble bien que le cas de ce Sous-lieutenant restera une énigme, sa fiche MdH "officielle" le disant "Mort en captivité", une autre notant "N'est pas mort tué à l'ennemi", une troisième stipulant "Passé volontairement à l'ennemi le 3 juin 1918, condamné à la peine de mort", l'extrait du SHD de Vincennes lui: "Condamné à mort". Avec ça...
Pour le moins étonnant...
Fils du Général Joseph De Bodin de Galembert, commandant d'armée, le jeune Stanislas, engagé volontaire dès le début de la guerre au 44ème d'artillerie passa, sur sa demande, au 102ème d'Infanterie en novembre 1914. Il fut successivement Aspirant au 318ème régiment d'infanterie en septembre 1916 et Sous-lieutenant en avril 1917. Sa belle conduite sur le front français lui a valu ses galons et plusieurs citations. Citation à l'ordre de la 9e Division d'Infanterie : "Énergique et courageux - a rempli intégralement sa mission, au combat du 16 avril 1917, en dirigeant avec bravoure sa Section sur les lignes ennemies, faisant vingt prisonniers, détruisant une mitrailleuse et opérant, sous les tirs de barrage de l'artillerie et des mitrailleuses, sa jonction avec l'unité voisine".
Affecté au 2ème bis de Zouaves, il partit avec ce régiment pour l'Armée d'Orient, puis passa au 42ème Colonial. Au cours d'un engagement, il fut fait prisonnier et envoyé en Bulgarie. Il y est mort, le 21 aout 1918, à Seslievo, de fatigue et d'épuisement, dit la source officielle. Un extrait de l’historique du 42ème RIC, présent à ce moment là dans la région de Monastir, relate que des Bulgares déguisés en soldats français ont reconquis des positions précédemment enlevées par les Français :
"Nos braves marsouins ont eu également à se dégager d’un guet-apens dont l’ennemi a trop abusé ; des fractions bulgares revêtues de l’uniforme français ont pu, grâce à leur déguisement, se reporter sur les positions que nous avions conquises et ouvrir traîtreusement le feu à bout portant. Le premier moment de surprise passé, nos hommes ont fait payer cher à l’ennemi cet acte criminel ; ils se sont battus jusqu’à épuisement total des munitions et n’ont abandonné les positions conquises que submergés par le nombre et en s’ouvrant une issue à la baïonnette. La 23ème compagnie notamment a fait merveille ; elle en a imposé à l’ennemi par son admirable résistance…. Le 17 mai 1918, 16 officiers étaient réputés tués, blessés ou disparus..."
A-t-il été capturé lors d'un coup de mains ennemi ? La recherche de renseignements sur le terrain s'effectue par ce genre d'opérations. De là une supposition de la part de mon correspondant: Le jeune Bodin de Galembert est blessé ou prisonnier, et dans la confusion générale ses camarades le voient partir vers les lignes bulgares soit par erreur après sa blessure, soit emmené par des Bulgares déguisés en Français. La conclusion " passé volontairement à l'ennemi" devient plus claire. Fiction, réalité...? Le dossier 146 235 de Vincennes contient peut-être la réalité des faits…
Cordialement
BB
Bruno BAVEREL - Romans: "La voiture de Vandier" - "Les aventures du lieutenant Maréchal" - "Le manuscrit de Magerøya ou le Tombeau des quatre ours" (Éditions des Indes Savantes)
"L'aventure" du sous-lieutenant Stanislas continue. Voici ce que m'écrit Guy, mon correspondant, cousin de la famille De Bodin de Galembert, d'après les souvenirs d'un autre membre de la famille:
"Sous-Lieutenant au 22ème RIC, Stanislas de Galembert aurait pris seul l'initiative d'en savoir davantage sur la position de lignes autrichiennes dans la région de Monastir. Il n'avait donc aucun ordre écrit lui imposant cette mission. Parti vers les lignes ennemies, il n'en est plus revenu pendant quelque temps,(durée… ?). Considérant son absence irrégulière comme une désertion, il aurait alors fait l'objet d'une condamnation à mort, malgré le soutien actif de son capitaine. (La mention "est volontairement passé à l'ennemi" trouve ici sa logique).
Par la suite, il a été retrouvé (quand ?) : A-t-il été réellement prisonnier ou s'est-il trouvé dans l'impossibilité de faire marche arrière et de regagner son Unité ? (après s'être trouvé encerclé par exemple)...
A-t-il été blessé ? Dans ce cas les Autrichiens ne l'auraient pas "oubliés" derrière eux. A-t-il été blessé par les français, alors qu'il rejoignait ses lignes, sachant que l'ennemi utilisait souvent ce stratagème pour s'approcher des tranchées à conquérir ?
Finalement a-t-il été fusillé ? Et aurait-t-on voulu épargner sa famille en transformant l'information en "fatigue et épuisement". Après la guerre, son père (Le Général Joseph Marie Gustave de Bodin de Galambert) s'est-il mis en campagne afin que son fils soit reconnu "Mort pour la France" comme l'indique la sépulture, et l'inscription sur le Monument aux Morts" de La Celle St-Avant ?".
D'après Guy, un document de cette époque, écrit et diffusé dans le cercle familial, existerait. Cela ne serait pas une preuve non plus, mais il donnera peut-être un éclairage complémentaire...
Cdlt
BB
Bruno BAVEREL - Romans: "La voiture de Vandier" - "Les aventures du lieutenant Maréchal" - "Le manuscrit de Magerøya ou le Tombeau des quatre ours" (Éditions des Indes Savantes)
A la 33e BIC en Macédoine au camp Mortreuil à Iven rive gauche de la branche est de la Cerna. Je trouve "le 10 septembre le soldat camus du 54e RIC est passé par les armes au camp Mortreuil"
quelqu'un aurait-il une information sur le motif de cette exécution?
"Le 24 septembre le tirailleur Konaté du 95e BTS est passé par les armes au camp Mortreuil. La 1ere compagnie du 93e BTS (Capitaine Guerin) est désignée pour assister à la parade d'exécution" Cette exécution fait suite à l'incident suivant:
Le 29 août le tirailleur sénégalais Ibrahima Konaté de la Section Hors Rang du 95e BTS installée au bivouac rocheux tue l'officier de détail du bataillon, le sous-lieutenant Roussel et le caporal Cordonnier. Il blesse aussi le sergent-major Gotto. Il est blessé d'une balle et arrêté.
quelqu'un aurait-il des précisions sur cette affaire?
cette période semble sensible car j'ai aussi repéré un autre incident quelques jours plus tot, le 17 aout le caporal Wod Aleoume (?) du 54e RIC qui vient d'être cassé de son grade tue d'un coup de fusil l'adjudant Louis Eckert. Il tourne ensuite son arme sur vers l'adjudant Augé sur lequel il tire sans heureusement le tuer mais il le blesse gravement. Il s'en prend ensuite à un soldat de garde dénommé Gillot mais alors qu'il le tient en joue avec son fusil, ce dernier, bien qu'il soit allongé et tenu à terre, arrive à se saisir de sa propre arme et tue l'ancien caporal. Cette affaire peut-elle être mise en rapport avec la méprise des mitrailleurs dans la nuit du 9 au 10 où une mitrailleuse française a tiré sur une patrouille du 54e RIC qui revenait vers ses lignes? le caporal était-il responsable de la mitrailleuse ?
D'avance merci si quelqu'un peut m'apporter des éclaircissements
Je fais des recherches sur le carré militaire de Houdain (62).
Il y a dans le carré de cette ville un soldat du 21e BCP nommé : André, Georges Edouard Adrien. Il figure au fichier MPLF. Décédè le 17 Juillet 1915 à Fresnicout (aujourd'hui Fresnicourt le Dolmen).
Or bien que je connaisse pas très bien mon coin (honte à moi !) je sais que les lignes sont restées assez loin de là et que ce village n'était qu'un cantonnement.
En parcourant le JMO du 21e BCP, en particulier sur les jours de juillet 1915 on peut lire que le 17 juillet 1915, je cite : "La 1ere Cie assiste à l’exécution du chasseur André condamné à mort par le conseil de guerre de la 13e division. Cette exécution à lieu à Fresnicourt."
Je crois qu'il à des raisons de penser que le chasseur André du JMO et celui du fichier MPLF dont la tombe est à Houdain, sont un seul et même homme. http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... le_id=3893
Bernard Labarbe (s'il me permet de le citer) et d'autres sources me confirme que le cas serait encore inconnu.
Je recherche donc des informations sur cette homme.
Je fais des recherches sur le carré militaire de Houdain (62).
Il y a dans le carré de cette ville un soldat du 21e BCP nommé : André, Georges Edouard Adrien. Il figure au fichier MPLF. Décédè le 17 Juillet 1915 à Fresnicout (aujourd'hui Fresnicourt le Dolmen).
Or bien que je connaisse pas très bien mon coin (honte à moi !) je sais que les lignes sont restées assez loin de là et que ce village n'était qu'un cantonnement.
En parcourant le JMO du 21e BCP, en particulier sur les jours de juillet 1915 on peut lire que le 17 juillet 1915, je cite : "La 1ere Cie assiste à l’exécution du chasseur André condamné à mort par le conseil de guerre de la 13e division. Cette exécution à lieu à Fresnicourt."
Je crois qu'il à des raisons de penser que le chasseur André du JMO et celui du fichier MPLF dont la tombe est à Houdain, sont un seul et même homme. http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... le_id=3893
Bernard Labarbe (s'il me permet de le citer) et d'autres sources me confirme que le cas serait encore inconnu.
Je recherche donc des informations sur cette homme.
Cordialement
FredB
Enfin, quand je dis "je recherche", j'aimerai savoir comment en rechercher, pas que ça me tombe dans le bec tout cuit . C'est mon premier "cas" de soldat fusillé, faut il que je descende sur Vincennes ?
Un extrait du livre de guerre de mon Grand-Père, caporal au 23e Régiment d'Infanterie Coloniale, 12e section. 12 Février 1915
Une condamnation.
" Après les deux relèves de Massiges, il fallut reformer le régiment:
Le 11 février, je fus nommé caporal et le lendemain notre Cie se trouvant de service ce jour, je fus commandé de piquet au Conseil de Guerre.
Des Officiers, Sous-Officiers et Caporaux du Xe Colonial, un peu moins d'une vingtaine, allaient répondre de leur retraite à la dernière attaque boche de Massiges.
Nous entrons dans l'humide petite église de Dommartin, siège du Conseil.
Quelques curieux sont déjà assis sur les bancs poussièreux. Dans les coins, sont empilés des armes, des éffets de drap et d'équipement.
Le piquet, composé de quelques soldats s'aligne, Caporal et Sous-Officiers en tête, entre les deux rangées de bancs.
Un cri "La Cour"!
Le conseil, sortant sans doute de la sacristie, parait dans le choeur: nous présentons les armes en même temps que tous les camarades se lèvent...
Le président, Colonel M. de notre régiment et ses assesseurs prennent place autour d'une table, sur l'escabeau près du maître autel. A leur gauche et en avant le Commandant x... Commissaire du Gouvernement, à droite le Sous-Officier greffier.
Entre les juges et nous, la table de communion...
Tout le reste se rassied, sauf le piquet qui reste debout, baÏonnette au canon...
La matinée est sombre, il pleut dehors. Inquiètes me paraissent les physionomies des membres du Conseil ! jusqu'à Papa M... qui semble s'être mal levé. Dans le coin droit de la table du Conseil un Officier attire particulièrement mon attention: rasé, cheveux grisonnants, étroitement sanglé dans son uniforme, le port droit, il a le regard très sec. J'ai l'impression d'un petit homme redoutable... C'est le tour du Sergent M... il s'avance d'un air assuré. Visiblement, il se croit certain de son acquittement. Il ose même une question au Colonel sur un ton un peu familier qui donne à penser qu'il ne comparait que pour remplir une banale formalité.
Cette attitude met hors de lui notre Colonel, plutôt d'ordinaire plutôt paternel !
Nom de Dieu ! s'éclate-t'il, mais voyez moi cette assurance!...On ne croirait jamais un accusé!...Et quelle accusation!...Ce n'est pas ici devant nous que vous devriez comparaître mais bien devant le Conseil spécial aux Armées!
Ah! ce Colonel M... je ne le connaissais pas sous ce jour jusqu'alors!...Tout le temps de l'interrogatoire, qui fut extrèmement serré, je le vis livrer une lutte sévère au pauvre prévenu
" Donc Sergent M...vous arrivez sur la côte de Massiges à x heures, qu'est ce qui se passe alors?
-Mon Colonel, le premier peloton va aux premières lignes et le deuxième, le mien, reste dans les abris au flanc de la côte.
-Très bien, ensuite ?
-Toute la côte est ébranlée par un fort bombardement.
-Bien et alors ?
-Le Sergent z... passe devant les cagnas en criant: Tout le monde en bas de la côte dans les abris de bombardement.
-Quelle unité commandait ce Sergent ?
-Sa demi-section.
-Donc vous n'aviez pas d'ordre à recevoir de lui.
-Mais j'ai cru qu'il me transmettait un ordre.
-Vous l'a t'il donné écrit?
-Non.
-Ou est maintenant ce Sergent?
-Il est tué !
-Les morts ne témoignent plus.
-Donc, vous avez pris sur vous d"évacuer les cagnas pour aller dans les abris au bas de la côte...Vous êtes responsable devant nous.
-Mais mon Colonel, il fallait bien que quelqu'un m'ait transmis ou intimé cet ordre...J'arrivais de Paris et pour la première fois je montais aux tranchées, j'ignorais toute topographie des lieux, et même s'il existait des abris au bas de la côte...
-Celà suffit, vous n'invoquez à votre décharge que le témoignage d'un mort qui n'avait pas qualité pour vous donner des ordres ! En conséquence vous avez abandonné votre poste une première fois.
-Mais je n'ai pas abandonné.
-Enfin le Conseil appréciera...
-Vous voilà dans les abris de bombardement, qu'arrive t'il?
-Nous entendons de formidables explosions, ce sont les mines qui sautent...
-Qu'en saviez vous si les mines sautaient, vous n'étiez pas aux premières lignes!...Enfin, bon et alors ?..
-Quelques instants après, les boches dévalent les pentes en agitant deux fanions, l'un blanc et l'autre jaune.
-Que faites vous ?
-Voyant que nous allions être fait prisonniers dans nos abris, j'ordonne la retraîte vers une petite sapinière.
-Là, par exemple, l'abandon de poste est bien caractèrisé...Devant les boches vous avez trouvé cette ressource de foutre le camp.
-Mais mon Colonel, il fallait se rendre prisonnier ou mourir inutilement.
-Mieux vaudrait pour vous être mort que de comparaître ici...
-J'ai fait mon devoir en sauvant des hommes et en les conservant à la France.
-Vous le dites mais le Conseil appréciera.
-Mais mon Colonel, si je m'étais rendu avec mes hommes, je serais maintenant tranquille avec eux en Allemagne. Je ne comparaitrais pas en accusé...
-Vous êtes trop intelligent, Vous discutez trop. Le devoir au feu ne se discute pas : On meurt à son poste, c'est tout; Vous n'aviez pas à voir plus loin.
-Et d'ailleurs, qui commandait la section ?
-Le Lieutenant Y
-Qu'est il devenu ?
-Il doit être prisonnier.
-Pourquoi ?
-Parce qu'il n'est pas sorti assez tôt de son abri, si j'avais fait comme lui, je serais prisonnier avec lui.
-Pas du tout, là ou est le chef, là est le poste. Si vous n'aviez pas abandonné votre poste, vous auriez sauvé votre Lieutenant. Vous êtes responsable de sa captivité...
Ensuite ?
-J'ai fait faire le coup de feu à mes hommes dans le bosquet de sapins !...
On passe à l'audition des témoins à décharge. L'un d'eux, particulièrement maladroit, achève de noyer le pauvre Sergent en voulant le sauver...
Le Commissaire du Gouvernement se lève: C'est un Commandant à figure bien sympathique: un brave homme sûrement.
Son réquisitoire est bref:
"Le Sergent M... a convaincu d'avoir par deux fois abandonné son poste sans ordre. En conséquence je réclame l'application du Code"
Le défenseur éssaye de disculper le prévenu, mais on a l'impression que sa plaidoirie est sans influence sur les juges.
Les juges se retirent pour délibérer et tout le monde y compris le défenseur de l'accusé, l'accusé lui même et le Commissaire du Gouvernement évacuent l'église...
Quelques minutes plus tard, tout le monde rentre à nouveau, sauf le prévenu qui n'assiste jamais au verdict. On annonce de nouveau: la Cour !
Nous présentons les armes.
Devant le Conseil et le public debout, lecture est faite du verdict...
Au nom du peuple français, le Sergent M...,coupable d'abandon de poste devant l'ennemi tel jour à telle heure, est condamné à mort !
C'est fini !
Pauvre Sergent, il était sans doute bon, mais les circonstances ont été trop fortes contre lui. 37 ans, dont 12 de Coloniale, une femme, un enfant et avec celà l'envie et l'idée de bien faire et mourir comme un traître ! La loi est dure...
Le Sous-Officier sort pour conduire le malheureux au poste; il s'attendait à un acquittement certain malgré le réquisitoire du Commissaire au Gouvernement.
Un mot traduit son immense étonnement: -Vous m'arrêtez ?... A partir de ce moment ses yeux se mouillent. Il proteste de sa bonne conscience et de son patriotisme. J'ai fait mon devoir ne se lasse t'il pas de répéter, et il le croit certainement. Il a écrit à sa femme. Il s'attendait à être fusillé au matin...
Mais on lui fit grace et il fut versé dans un autre régiment.
C'est chose bien terrible un Conseil de Guerre!...
Les sanctions sont indiscutables. Mort ou acquittement: Suprême justice, suprême injustice ! Le devoir au front n'est pas toujours aussi simple qu'on le dit: Le succès surtout innocente l'action d'un chef. Il fait mal être malheureux dans une affaire!..."
Ps: Le président de ce Conseil de Guerre, le Colonel M...(surnommé Papa M...) est très vraisemblablement le Colonel Monhoven du 23e Régiment d'Infanterie Coloniale.
Cordialement.
Pierre M.
Bonjour au modérateur.
Je suis désolé d'avoir malencontreusement édité deux fois le même message sans parvenir à éffacer le doublon.
Je sollicite l'aide du modérateur pour aider un "boulet" du clavier.
Merci.
Bien cordialement.
Pierre M.