Fils du Général de Nonancourt
Henry de Nonancourt Lieutenant Observateur Escadrille F41 Tombé en combat arien le 25.09.1917
a+
Gérard
Deuil des généraux
Re: Deuil des généraux
bonjour
general bon : 1 fils bernard lt au 109 ri
genéral neraud : 2 fils yves slt 20 BCP et jean caporal 109 RI
cordialement
pascal
general bon : 1 fils bernard lt au 109 ri
genéral neraud : 2 fils yves slt 20 BCP et jean caporal 109 RI
cordialement
pascal
- machault
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Re: Deuil des généraux
Bonjour à tous,
Le général Ditte a perdu 2 de ses 3 fils durant la GG :
François André, lieutenant au 31° BCP, meurt pour la France le 9 mai 1915 à Notre Dame de Lorette (Pas de Calais), frappé d’une balle en plein cœur (à 27 ans).
Numa Albert, adjudant au 19° escadron de Train, meurt pour la France à Dickebusch en Belgique le 25 janvier 1916 (27 ans également).
Cordialement.
Jean Luc Arnould
Le général Ditte a perdu 2 de ses 3 fils durant la GG :
François André, lieutenant au 31° BCP, meurt pour la France le 9 mai 1915 à Notre Dame de Lorette (Pas de Calais), frappé d’une balle en plein cœur (à 27 ans).
Numa Albert, adjudant au 19° escadron de Train, meurt pour la France à Dickebusch en Belgique le 25 janvier 1916 (27 ans également).
Cordialement.
Jean Luc Arnould
Re: Deuil des généraux
Bonjour,
Le général Malcor, commandant l'Artillerie de la 4e Armée en 1916, perd son fils Marc Malcor, pilote de bombardier, victime d'un accident au décollage lors d'un départ en mission depuis le terrain de Malzéville près de Nancy le 7 avril 1916.
Voici comment le général apprend la nouvelle par le général Gouraud d'après le livre "Idéal de Chef" écrit par le colonel Malcor, autre fils du général Malcor:

Cordialement,
Guy François.
Le général Malcor, commandant l'Artillerie de la 4e Armée en 1916, perd son fils Marc Malcor, pilote de bombardier, victime d'un accident au décollage lors d'un départ en mission depuis le terrain de Malzéville près de Nancy le 7 avril 1916.
Voici comment le général apprend la nouvelle par le général Gouraud d'après le livre "Idéal de Chef" écrit par le colonel Malcor, autre fils du général Malcor:

Cordialement,
Guy François.
- Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: Deuil des généraux
Bonjour à tous,
Autre fils de général mort au combat : le sergent André Villien, du 15e régiment d’infanterie, tué le 25 août 1914 à Borville (54). Fait sans doute peu commun, sa mère a fait transférer le corps de son fils du cimetière militaire de Bayon dans le cimetière communal de Bayon en avril 1924.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Autre fils de général mort au combat : le sergent André Villien, du 15e régiment d’infanterie, tué le 25 août 1914 à Borville (54). Fait sans doute peu commun, sa mère a fait transférer le corps de son fils du cimetière militaire de Bayon dans le cimetière communal de Bayon en avril 1924.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: Deuil des généraux
Bonsoir à tous, bonjour Eric ,
FOCH a perdu son fils Germain ( 131 è RI d'Orléans ) et son gendre Paul BECOURT ( 26 è BCP de Pont-à-Mousson ) le même jour :22 aout 1914.
Bien cordialement,
Alexandre
FOCH a perdu son fils Germain ( 131 è RI d'Orléans ) et son gendre Paul BECOURT ( 26 è BCP de Pont-à-Mousson ) le même jour :22 aout 1914.
Bien cordialement,
Alexandre
Re: Deuil des généraux
Bonjour
Le général Menétrez a perdu son fils le capitaine Menétrez Charles du 25 BCP décédé le 18 novembre 14 à l'hôpital nr 1 de Verdun. Il a été mortellement blessé en même temps que le fils du général De Lardemelle, le 17 novembre 1914 à la côte St Marie près de St Mihiel.
Cordialement
Pierre
Le général Menétrez a perdu son fils le capitaine Menétrez Charles du 25 BCP décédé le 18 novembre 14 à l'hôpital nr 1 de Verdun. Il a été mortellement blessé en même temps que le fils du général De Lardemelle, le 17 novembre 1914 à la côte St Marie près de St Mihiel.
Cordialement
Pierre
Re: Deuil des généraux
Bonjour à chacun
Extrait d'une lettre du capitaine André Segretain (EM du CA, SP26 - Rouen probablement) du 20-08-1915, écrite à son beau-frère le colonel Paul Coquelin de Lisle :
" ... Le pauvre général Ebener est bien durement éprouvé. Son second fils, qui avait été blessé, est revenu au front il y a deux mois; le général l'avait fait affecter à l'un de ses régiments. Quinze jours plus tard ce régiment nous était enlevé et partait boucher le trou d'Ypres, où le jeune Ebener s'est admirablement conduit. Citation très belle. Or, il y a 4 jours, le général apprenait que son fils venait d'être tué raide dans la tranchée, au cours d'un bombardement.
L'attitude du général a été admirable : quand nous sommes venus lui présenter nos condoléances, il nous a seulement dit :"Ne me faites pas pleurer".
Sa femme est morte l'an dernier, ses deux fils sont morts ; il reste donc seul dans l'existence. Je crois, entre nous, qu'il ne tient pas aux condoléances ; à vous de juger si vous devez lui en envoyer."
Amicalement.
Extrait d'une lettre du capitaine André Segretain (EM du CA, SP26 - Rouen probablement) du 20-08-1915, écrite à son beau-frère le colonel Paul Coquelin de Lisle :
" ... Le pauvre général Ebener est bien durement éprouvé. Son second fils, qui avait été blessé, est revenu au front il y a deux mois; le général l'avait fait affecter à l'un de ses régiments. Quinze jours plus tard ce régiment nous était enlevé et partait boucher le trou d'Ypres, où le jeune Ebener s'est admirablement conduit. Citation très belle. Or, il y a 4 jours, le général apprenait que son fils venait d'être tué raide dans la tranchée, au cours d'un bombardement.
L'attitude du général a été admirable : quand nous sommes venus lui présenter nos condoléances, il nous a seulement dit :"Ne me faites pas pleurer".
Sa femme est morte l'an dernier, ses deux fils sont morts ; il reste donc seul dans l'existence. Je crois, entre nous, qu'il ne tient pas aux condoléances ; à vous de juger si vous devez lui en envoyer."
Amicalement.
Patrick Fournié