Bonjour à tous,
Bonjour Michel,
Je reprends ce "fil" sans avoir beaucoup à y ajouter, puisque je crois avoir déjà écrit ci-dessus ce que j’en pensais. Mais – il y a un "mais" non négligeable – en reprenant ce que j’y ai écrit
jusqu’à la fin de ma phrase : "
on trouvait à Senones, au 3 septembre 1918, trois "barrages contre tanks" dans ce seul quartier (l'un au Sud-ouest du cimetière, un autre au Nord-est de la gare, un troisième à l'Est de la gare)". Cela me paraît important puisque je ne crois avoir écrit nulle part que Senones comptait
uniquement 3 barrages de ce type, mais bien "
trois "barrages contre tanks" dans ce seul quartier" (en bon français, cela veut dire ce que cela veut dire, il me semble, mais peut-être à tort) ; en outre, les renseignements américains ne sont pas "passés à côté" du barrage proche de la gare, que je situais à l’Est de celle-ci. Ils ont bel et bien répertorié l’ensemble de ce dispositif, porté sur un plan qui figure en effet à la page 179 de l’ouvrage cité ci-dessus, mais qui ne porte – dans l’édition que je possède, mais peut-être est-elle incomplète – aucune mention de source. Je n’y vois pour ma part aucun inconvénient, connaissant la cote SHD contenant ce document. "A tout seigneur, tout honneur," dit-on : je laisse donc, le cas échéant, le soin à l’un des auteurs d’informer de cette source celles et ceux qui souhaiteraient approfondir leurs recherches sur le sujet.
Au bout du compte, la question reste entière, pour le moment, et ce barrage n’est toujours pas localisé.
Michel, pour répondre à votre question :
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.