3e Régiment de Hussards
ENCADREMENT DU 3e REGIMENT DE HUSSARDS début août 1914
1er août 1914
Le 2e Hussards quitte Senlis à 4 h. 58 et est cantonné le jour même à Fouzy et Girondelle. *
Composition du régiment mobilisé :
Officiers : 25
Hommes de troupe : 621
Chevaux : 647
Encadrement du régiment
Colonel, commandant le régiment : LYAUTEY **
commandant CARRIÈRE
commandant DANGLADE
capitaine De MORDANT DE MASSIAC
lieutenant BELLOT DES MINIÈRES
médecin major PIRCK
médecin aide-major CHASTEL
vétérinaire major FERRY
1er Escadron
capitaine BERGER
lieutenant DAUGER
lieutenant De BLOIS Louis
lieutenant De La GARENNE
lieutenant De BLOIS
2e Escadron
capitaine LEFEBVRE
lieutenant De La VILLÉON
lieutenant BAUNY
lieutenant Roland GOSSELIN
3e Escadron
capitaine De SONNOIS
lieutenant D'AUGSBOURG
lieutenant GRANDE
lieutenant D'ARGENLIEU
lieutenant MERLE
4e Escadron
capitaine GABARROT
lieutenant De FRAGUIER
lieutenant GAVRAUD
lieutenant De METZ, commandant la secion de mitrailleuses
* Foulzy est une commune associée de Girondelle et une ancienne commune française, située dans le département des Ardennes.
** Journal officiel du 12 janvier 1916 page 300
Légion d'honneur pour officier
Chef de corps des plus distingués.
...
LYAUTEY (Raoul-Aimé), colonel commandant le 3e régiment de hussards : excellent chef de corps animé des sentiments les plus élevés et ne vivant que pour son régiment qu'il commande d'une façon parfaite. Vigoureux et actif.
Re: 3e Régiment de Hussards
Re: 3e Régiment de Hussards
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1915
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
TOUSSAINT (Alphonse-Raoul), matricule 01554, cavalier : cavalier très brave et très courageux. Tombé glorieusement à son poste de combat, aux tranchées de Monchy, le 3 février 1915. A été cité.
TOUSSAINT Alphonse
Tué à l'ennemi le/en 3 février 1915 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais)
Né le 27 mars 1890 à Vrocourt (Oise)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01554
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 809
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crillon (Oise) le 10 octobre 1915
=====================================================
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
CITATIONS
Le cavalier LEMOINE pose problème. Les sources s'opposent quant à la date de son décès. Par malchance son feuillet matricule semble inexistant aux Arch. Départ. de la Somme.
Le 19 octobre 1912, LEMOINE Frédéric-Irénée-Charles-Emile épouse à la mairie de Gueschart (Somme) Dlle MONVOISIN Germaine Jeanne
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
LEMOINE (Frédéric-Charles), matricule 02346, cavalier : s'est fait remarquer dès les premiers combats de la campagne par sa belle attitude au feu. Tombé glorieusement pour la France, le 16 septembre 1914, au cours d'une patrouille. A été cité.
LEMOINE Frédéric Charles Iréné Emile
Tué à l'ennemi le 8 février 1915 à Mercin * (Aisne)
Né le 10 décembre 1889 à Noyelles-en-Chaussée (Somme)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02346
Classe 1909 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 770
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 9 janvier 1919 par le tribunal civil d'Abbeville
Lieu de transcription du décès : Gueschart (Somme) le 27 janvier 1919
* commune de Mercin-et-Vaux
Journal officiel du 9 mai 1916 page 4022
Pensions (guerre)
Par décret du 3 avril 1916, sur le rapport du ministre de la guerre : il est accordé à chacune des deux cent quatre-vingt-quatorze veuves de militaires dénommées ci-après une pension fixée conformément aux indications suivantes :
MONVOISIN (Germaine-Jeanne), veuve LEMOINE. Le mari soldat, tué à l'ennemi. — Jouissance du 8 février 1915... 563 fr.
=====================================================
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
DUMONT (René) matricule 02381, cavalier de 1ère classe : cavalier d'une bravoure réputée, montrant toujours la même ardeur et le même dévouement, volontaire pour toutes les missions périlleuses. Mort glorieusement pour la France, à son poste d'honneur, le 9 avril 1915. A été cité.
DUMONT René Abdon
Tué à l'ennemi dans la nuit du 8 au 9 avril 1915 devant Monchy-au-Bois (BERLES), (Pas-de-Calais)
Né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02381
Classe 1912 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 784
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme) le 11 juin 1915
DUMONT René Abdon
Né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme), fils de Edmond François DUMONT et de feue TROUILLET Julia
Inorporé au 2e régiment de Hussards à compter du 10 décembre 1910, il est affecté au 5e Escadron puis au 4e avant de revenir au 5e Esc. Passé dans la réserve le 10 décembre 1913, il se retire à Abbeville au 34, faubourg Mautort.
Affecté au régiment de hussards stationné à Senlis où il est rappelé à la mobilisation générale. Nommé Cavalier de 1ère classe le 9 octobre 1914. Tué à l'ennemi le 9 avril 1915 aux tranchées devant Monchy.
Dumont, René Abdon, né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme), classe 1912, matricule n° 784, Bureau de recrutement d'Amiens - 1R1050 Archives de la Somme
BERNADOT (Georges), matricule 02316, cavalier : Voir la page 2 de ce sujet
COLLARD (Léon-Jules-Henri), matricule 0678, brigadier : Voir la page 2 de ce sujet
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
BARREAU (Georges), matricule 02102, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant la valeur de son dévouement en toutes circonstances. Mort pour la France, le 20 mai 1915. A été cité.
BARREAU Georges Fernand
Tué à l'ennemi le 20 mai 1915 à Monchy (Aux tranchées devant Monchy, (Pas-de-Calais)
Né le 22 avril 1888 à Juranville (Loiret)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1908 - Bureau de recrutement d'Orléans (Loiret) - Matricule au recrutement : 1603
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lorcy (Loiret) le 10 mars 1916
LEMOINE (Frédéric-Charles), matricule 02346, cavalier : Voir l'article qui lui est consacré ci-dessus
1915
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
TOUSSAINT (Alphonse-Raoul), matricule 01554, cavalier : cavalier très brave et très courageux. Tombé glorieusement à son poste de combat, aux tranchées de Monchy, le 3 février 1915. A été cité.
TOUSSAINT Alphonse
Tué à l'ennemi le/en 3 février 1915 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais)
Né le 27 mars 1890 à Vrocourt (Oise)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01554
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 809
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crillon (Oise) le 10 octobre 1915
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Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
CITATIONS
Le cavalier LEMOINE pose problème. Les sources s'opposent quant à la date de son décès. Par malchance son feuillet matricule semble inexistant aux Arch. Départ. de la Somme.
Le 19 octobre 1912, LEMOINE Frédéric-Irénée-Charles-Emile épouse à la mairie de Gueschart (Somme) Dlle MONVOISIN Germaine Jeanne
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
LEMOINE (Frédéric-Charles), matricule 02346, cavalier : s'est fait remarquer dès les premiers combats de la campagne par sa belle attitude au feu. Tombé glorieusement pour la France, le 16 septembre 1914, au cours d'une patrouille. A été cité.
LEMOINE Frédéric Charles Iréné Emile
Tué à l'ennemi le 8 février 1915 à Mercin * (Aisne)
Né le 10 décembre 1889 à Noyelles-en-Chaussée (Somme)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02346
Classe 1909 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 770
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 9 janvier 1919 par le tribunal civil d'Abbeville
Lieu de transcription du décès : Gueschart (Somme) le 27 janvier 1919
* commune de Mercin-et-Vaux
Journal officiel du 9 mai 1916 page 4022
Pensions (guerre)
Par décret du 3 avril 1916, sur le rapport du ministre de la guerre : il est accordé à chacune des deux cent quatre-vingt-quatorze veuves de militaires dénommées ci-après une pension fixée conformément aux indications suivantes :
MONVOISIN (Germaine-Jeanne), veuve LEMOINE. Le mari soldat, tué à l'ennemi. — Jouissance du 8 février 1915... 563 fr.
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Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
DUMONT (René) matricule 02381, cavalier de 1ère classe : cavalier d'une bravoure réputée, montrant toujours la même ardeur et le même dévouement, volontaire pour toutes les missions périlleuses. Mort glorieusement pour la France, à son poste d'honneur, le 9 avril 1915. A été cité.
DUMONT René Abdon
Tué à l'ennemi dans la nuit du 8 au 9 avril 1915 devant Monchy-au-Bois (BERLES), (Pas-de-Calais)
Né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02381
Classe 1912 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 784
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme) le 11 juin 1915
DUMONT René Abdon
Né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme), fils de Edmond François DUMONT et de feue TROUILLET Julia
Inorporé au 2e régiment de Hussards à compter du 10 décembre 1910, il est affecté au 5e Escadron puis au 4e avant de revenir au 5e Esc. Passé dans la réserve le 10 décembre 1913, il se retire à Abbeville au 34, faubourg Mautort.
Affecté au régiment de hussards stationné à Senlis où il est rappelé à la mobilisation générale. Nommé Cavalier de 1ère classe le 9 octobre 1914. Tué à l'ennemi le 9 avril 1915 aux tranchées devant Monchy.
Dumont, René Abdon, né le 30 juillet 1892 à Amiens (Somme), classe 1912, matricule n° 784, Bureau de recrutement d'Amiens - 1R1050 Archives de la Somme
BERNADOT (Georges), matricule 02316, cavalier : Voir la page 2 de ce sujet
COLLARD (Léon-Jules-Henri), matricule 0678, brigadier : Voir la page 2 de ce sujet
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
BARREAU (Georges), matricule 02102, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant la valeur de son dévouement en toutes circonstances. Mort pour la France, le 20 mai 1915. A été cité.
BARREAU Georges Fernand
Tué à l'ennemi le 20 mai 1915 à Monchy (Aux tranchées devant Monchy, (Pas-de-Calais)
Né le 22 avril 1888 à Juranville (Loiret)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1908 - Bureau de recrutement d'Orléans (Loiret) - Matricule au recrutement : 1603
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lorcy (Loiret) le 10 mars 1916
LEMOINE (Frédéric-Charles), matricule 02346, cavalier : Voir l'article qui lui est consacré ci-dessus
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1915
Du 19 novembre au 5 décembre, le régiment reste à Watten, puis se porte, en trois étapes, dans la vallée de la Canche, et cantonne pendant deux mois dans les villages de Haut-Mesnil, Queux, Montorgueil, Haravesnes, Galametz. Ce premier grand repos donné à la troupe depuis l'entrée en campagne est fort apprécié.
Le 4 janvier, le régiment est passé en revue par le colonel LYAUTEY qui remet au sous-lieutenant CORDIER, blessé au Mont Kemmel, la Croix de la Légion d'Honneur.
A cette époque, les premiers détachements de cavaliers commencent à prendre les tranchées de concert avec l'infanterie. Les escadrons et mitrailleuses du régiment, mis à la disposition du 23e C. A., se relèvent à tour de rôle dans le secteur de la Fosse-Calonne, où ils sont transportés en autos...
Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
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Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
DOUCET (Albert-Joseph), matricule 0699, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 28 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
DOUCET Albert Joseph
Tué à l'ennemi le 28 janvier 1915 à Monchy (ou Mouchy) (aux tranchées devant Monchy (Pas-de-Calais)
Né le 3 octobre 1886 à Déluge (Le) (Oise)
trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 0699
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 391
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Beauvais (Oise) le 16 juin 1915
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
BIRE (Germain), matricule 2336, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 31 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
BIRE Germain
Tué à l'ennemi le 31 janvier 1915 aux tranchées devant Monchy ou Mouchy (Pas-de-Calais)
Né le 23 janvier 1893 à Toulouse (Haute-Garonne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Toulouse (Haute-Garonne) - Matricule au recrutement : 1476
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Toulouse (Haute-Garonne) le 29 mai 1915
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
COCU (Gaëtan-Georges), matricule 0911, cavalier : très bon soldat, animé des sentiments les plus élevés et du meilleur exemple, a toujours donné entière satisfaction à ses chefs, Mort pour la France à son poste de combat, le 15 avril 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
COCU Gaëtan Georges
Tué à l'ennemi le 15 avril 1915 à Braquis (Meuse)
Né le 13 septembre 1886 à Gauville (Somme)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 0911
Classe 1906 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 647
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Gauville (Somme) le 13 septembre 1915
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
LEFEVRE (Henri-Delphin), matricule 02110, cavalier : bon cavalier courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 3 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LEFEVRE Henri Delphin
Décédé le 3 juin 1915 à l'hôpital temporaire 9 bis d'Amiens (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 4 novembre 1890 à Orléans (Loiret)
cavalier de 1re classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02110
Classe 1910 - Bureau de recrutement d'Orléans (Loiret) - Matricule au recrutement : 1449
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis le 3 juin 1915 à la mairie d'Olivet
Lieu de transcription du décès : Olivet (Loiret)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
PICART (Joseph-Honoré), matricule 2179, cavalier : soldat dévoué et consciencieux. Mort, le 10 juillet 1915, des suites de blessures reçues accidentellement en service commandé. Citation en exécution de l'article 277 du service courant.
PICART Joseph Honoré
Décédé le 10 juillet 1915 à l'Ambulance 14 groupe 9 à Amiens (Somme) des suites de blessures - coup de pied de cheval (en service).
Né le 21 janvier 1895 à Pierrepont (Aisne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Laon (Aisne) - Matricule au recrutement : 236
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : au dernier domicile à Cuffies (Aisne)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
SORET (Albert-Jules), matricule 02268, cavalier a toujours servi en brave et excellent cavalier donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 6 octobre 1915, en Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.
SORET Albert Jules
Tué à l'ennemi - disparu le 6 octobre 1915 à Souain (Marne) (Perthes-les-Hurlus)
Né le 28 septembre 1889 à Arronville (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
cavalier de 1re classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 557
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 10 août 1918 par le tribunal civil de Beauvais
Lieu de transcription du décès : Beauvais (Oise) le 3 septembre 1918
APPOLONNE (Henri-Gaston), mie 02392, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
APLANCOURT (Lucien), matricule 02566, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
LANTHIEZ (Eugène), matricule 01534, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
1915
Du 19 novembre au 5 décembre, le régiment reste à Watten, puis se porte, en trois étapes, dans la vallée de la Canche, et cantonne pendant deux mois dans les villages de Haut-Mesnil, Queux, Montorgueil, Haravesnes, Galametz. Ce premier grand repos donné à la troupe depuis l'entrée en campagne est fort apprécié.
Le 4 janvier, le régiment est passé en revue par le colonel LYAUTEY qui remet au sous-lieutenant CORDIER, blessé au Mont Kemmel, la Croix de la Légion d'Honneur.
A cette époque, les premiers détachements de cavaliers commencent à prendre les tranchées de concert avec l'infanterie. Les escadrons et mitrailleuses du régiment, mis à la disposition du 23e C. A., se relèvent à tour de rôle dans le secteur de la Fosse-Calonne, où ils sont transportés en autos...
Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
=============================================================
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
DOUCET (Albert-Joseph), matricule 0699, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 28 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
DOUCET Albert Joseph
Tué à l'ennemi le 28 janvier 1915 à Monchy (ou Mouchy) (aux tranchées devant Monchy (Pas-de-Calais)
Né le 3 octobre 1886 à Déluge (Le) (Oise)
trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 0699
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 391
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Beauvais (Oise) le 16 juin 1915
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
BIRE (Germain), matricule 2336, cavalier : a toujours servi en brave et excellent cavalier, donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 31 janvier 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
BIRE Germain
Tué à l'ennemi le 31 janvier 1915 aux tranchées devant Monchy ou Mouchy (Pas-de-Calais)
Né le 23 janvier 1893 à Toulouse (Haute-Garonne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Toulouse (Haute-Garonne) - Matricule au recrutement : 1476
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Toulouse (Haute-Garonne) le 29 mai 1915
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
COCU (Gaëtan-Georges), matricule 0911, cavalier : très bon soldat, animé des sentiments les plus élevés et du meilleur exemple, a toujours donné entière satisfaction à ses chefs, Mort pour la France à son poste de combat, le 15 avril 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
COCU Gaëtan Georges
Tué à l'ennemi le 15 avril 1915 à Braquis (Meuse)
Né le 13 septembre 1886 à Gauville (Somme)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 0911
Classe 1906 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 647
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Gauville (Somme) le 13 septembre 1915
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
LEFEVRE (Henri-Delphin), matricule 02110, cavalier : bon cavalier courageux et dévoué, qui s'est fait remarquer par sa belle conduite au feu. Mort glorieusement pour la France, le 3 juin 1915. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LEFEVRE Henri Delphin
Décédé le 3 juin 1915 à l'hôpital temporaire 9 bis d'Amiens (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 4 novembre 1890 à Orléans (Loiret)
cavalier de 1re classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02110
Classe 1910 - Bureau de recrutement d'Orléans (Loiret) - Matricule au recrutement : 1449
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis le 3 juin 1915 à la mairie d'Olivet
Lieu de transcription du décès : Olivet (Loiret)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
PICART (Joseph-Honoré), matricule 2179, cavalier : soldat dévoué et consciencieux. Mort, le 10 juillet 1915, des suites de blessures reçues accidentellement en service commandé. Citation en exécution de l'article 277 du service courant.
PICART Joseph Honoré
Décédé le 10 juillet 1915 à l'Ambulance 14 groupe 9 à Amiens (Somme) des suites de blessures - coup de pied de cheval (en service).
Né le 21 janvier 1895 à Pierrepont (Aisne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Laon (Aisne) - Matricule au recrutement : 236
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : au dernier domicile à Cuffies (Aisne)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
SORET (Albert-Jules), matricule 02268, cavalier a toujours servi en brave et excellent cavalier donnant en toutes circonstances la valeur de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France, le 6 octobre 1915, en Champagne. Croix de guerre avec étoile de bronze.
SORET Albert Jules
Tué à l'ennemi - disparu le 6 octobre 1915 à Souain (Marne) (Perthes-les-Hurlus)
Né le 28 septembre 1889 à Arronville (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
cavalier de 1re classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 557
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 10 août 1918 par le tribunal civil de Beauvais
Lieu de transcription du décès : Beauvais (Oise) le 3 septembre 1918
APPOLONNE (Henri-Gaston), mie 02392, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
APLANCOURT (Lucien), matricule 02566, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
LANTHIEZ (Eugène), matricule 01534, cavalier : VOIR à la page 2 de ce sujet
Dernière modification par ae80 le lun. déc. 22, 2025 2:34 pm, modifié 11 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
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Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1916
=====================================================
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
ALVIN (François), matricule 01683, cavalier : a toujours été un brave et excellent cavalier. Mort glorieusement pour la France, le 25 février 1916. A été cité.
ALVIN Francis
Tué à l'ennemi le 25 février 1916 au bois Vacher, Nord de la Ferme des Wacques - (Souain-Perthes-lès-Hurlus) - Champagne - (Marne)
Né le 24 août 1887 à Villards-sur-Thônes (Les) (Haute-Savoie)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1907 - Bureau de recrutement d'Annecy (Haute-Savoie) - Matricule au Rt : 239
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Villards-sur-Thônes (Les) (Haute-Savoie) le 20 avril 1916
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
NICOLAS (Emile) matricule 02659, cavalier : très bon soldat, plein d'allant, dévoué, très courageux. Mort pour la France, le 15 mars 1916, par chute d'avion. Citation en exécution de l'article 277 du service courant.
NICOLAS Emile Félix Jean Philibert
Mort pour la France le 15 mars 1916 à Buc (Yvelines (ex Seine-et-Oise) à l'Ecole d'aviation de Buc (accident d'aviation.
Né le 20 juin 1890 à Paris 17e arrondissement (ex Seine)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Blois (Loir-et-Cher) - Matricule au recrutement : 983
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Mur-de-Sologne (Loir-et-Cher)
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
BONVIN (Pierre-Baptiste-François-Alexandre), matricule T. 24, cavalier éclaireur : détaché comme éclaireur au 354e rég. d'infanterie, a toujours fait courageusement son devoir. Mort au champ a honneur, le 1er avril 1916 à Souain (Marne). A été cité.
BONVIN Pierre Baptiste François Alexandre
Tué à l'ennemi le 1er avril 1916 aux environs de Souain (Marne)
Né le 29 décembre 1873 à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Matricule au corps T. 24
Classe 1893 - Bureau de recrutement de Tours - Matricule au recrutement : 1897
Lieu de transcription du décès : Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) le 12 septembre 1916
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
COLOMB (Paul-Emile), matricule 2282, cavalier : cavalier très courageux et dévoué, qui, étant en soutien, s'est proposé pour passer en première ligne comme fusilier mitrailleur. A été tué le lendemain matin, à son poste de combat, le 24 décembre 1916. A été cité.
COLOMB Paul Emile Victor Christophe
Tué à l'ennemi le 24 décembre 1916 aux tranchées de Bailly (Oise)
Né le 27 août 1894 à Toulon (Var)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2282
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Toulon (Var) - Matricule au recrutement : 1076
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Toulon (Var) le 13 juin 1917
1916
=====================================================
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
ALVIN (François), matricule 01683, cavalier : a toujours été un brave et excellent cavalier. Mort glorieusement pour la France, le 25 février 1916. A été cité.
ALVIN Francis
Tué à l'ennemi le 25 février 1916 au bois Vacher, Nord de la Ferme des Wacques - (Souain-Perthes-lès-Hurlus) - Champagne - (Marne)
Né le 24 août 1887 à Villards-sur-Thônes (Les) (Haute-Savoie)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1907 - Bureau de recrutement d'Annecy (Haute-Savoie) - Matricule au Rt : 239
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Villards-sur-Thônes (Les) (Haute-Savoie) le 20 avril 1916
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
NICOLAS (Emile) matricule 02659, cavalier : très bon soldat, plein d'allant, dévoué, très courageux. Mort pour la France, le 15 mars 1916, par chute d'avion. Citation en exécution de l'article 277 du service courant.
NICOLAS Emile Félix Jean Philibert
Mort pour la France le 15 mars 1916 à Buc (Yvelines (ex Seine-et-Oise) à l'Ecole d'aviation de Buc (accident d'aviation.
Né le 20 juin 1890 à Paris 17e arrondissement (ex Seine)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Blois (Loir-et-Cher) - Matricule au recrutement : 983
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Mur-de-Sologne (Loir-et-Cher)
Journal officiel du 9 décembre 1919 page 14233
3e régiment de hussards.
BONVIN (Pierre-Baptiste-François-Alexandre), matricule T. 24, cavalier éclaireur : détaché comme éclaireur au 354e rég. d'infanterie, a toujours fait courageusement son devoir. Mort au champ a honneur, le 1er avril 1916 à Souain (Marne). A été cité.
BONVIN Pierre Baptiste François Alexandre
Tué à l'ennemi le 1er avril 1916 aux environs de Souain (Marne)
Né le 29 décembre 1873 à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Matricule au corps T. 24
Classe 1893 - Bureau de recrutement de Tours - Matricule au recrutement : 1897
Lieu de transcription du décès : Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) le 12 septembre 1916
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
COLOMB (Paul-Emile), matricule 2282, cavalier : cavalier très courageux et dévoué, qui, étant en soutien, s'est proposé pour passer en première ligne comme fusilier mitrailleur. A été tué le lendemain matin, à son poste de combat, le 24 décembre 1916. A été cité.
COLOMB Paul Emile Victor Christophe
Tué à l'ennemi le 24 décembre 1916 aux tranchées de Bailly (Oise)
Né le 27 août 1894 à Toulon (Var)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2282
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Toulon (Var) - Matricule au recrutement : 1076
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Toulon (Var) le 13 juin 1917
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1917
====================================================
GUILLOU Jean Marie Louis
Décédé le 31 janvier 1917 à l'hôpital de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) des suites de blessures en service commandé.
Né le 5 octobre 1897 à Fouesnant (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Quimper (Finistère) - Matricule au Rt : 172
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis à Fouesnant le 31 janvier 1917
Lieu de transcription du décès : Fouesnant (Finistère)
SEDLACEK Gaston Frédéric
Mort pour la France le 25 février 1917 à Ochey (Meurthe-et-Moselle) par chute d'avion
Né le 21 février 1896 à Saint-Mandé (Val-de-Marne) (ex Seine et Seine-et-Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de la Seine 4e bureau (75) - Matricule au Rt : 681
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement le 4 juillet 1917
VANOVERBECKE Léon Henri Ghislain
Décédé le 13 mars 1917 à l'hôpital n° 68 de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes) de maladie contractée au front - tuberculose pulmonaire
Né le 20 septembre 1893 à Lys-lez-Lannoy (Nord)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 1984
Mention : Mort pour la France
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
ACKERMANN (Armand), matricule 1219, brigadier : depuis le début de la campagne a fait preuve, en plusieurs circonstances, d'une belle énergie et d'une bravoure osée. Modèle de toutes les qualités militaires, est tombé, mortellement blessé, au cours d'une reconnaissance à cheval sur de nouvelles positions ennemies. Mort pour la France, le 20 mars 1917. A été cité.
ACKERMANN Armand
Tué à l'ennemi le 20 mars 1917 à la sortie Sud-Ouest de la commune de Quessy (Aisne)
Né le 16 septembre 1892 à Belfort (Territoire de Belfort)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1219
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Besançon (Doubs) - Matricule au recrutement : 234
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès Besançon (Doubs) le 7 juin 1917
GASTINGER Louis Gaston
Tué à l'ennemi le 11 mai 1917 à Juvincourt-et-Damary (Devant Juvincourt, (Aisne)
Né le 25 septembre 1884 à Limoges (Haute-Vienne)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) détaché au 66e BCP ou BCA
N° matricule au corps : 3309
Classe 1904 - Bureau de recrutement de Neufchâteau (Vosges) - Matricule au Rt : 1047
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saumur (Maine-et-Loire) le 21 novembre 1917
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards.
GASTINGER (Louis-Gaston), matricule 3309, maréchal des logis : a commandé l'échelon de la C. M. avec beaucoup de bravoure et de dévouement. Pendant l'attaque et sous le bombardement, a organisé son service avec le plus grand sang-froid. A été blessé mortellement en reconnaissance. A été cité.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
LEFER (Jules), matricule 2224, brigadier : très bon gradé, dévoué, d'une bravoure exemplaire. Mortellement blessé à son poste de combat, le 14 août 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LEFER Jules
Décédé le 14 août 1917 à l'Ambulance 2/73 de Chauny (Aisne) des suites de blessures de guerre.
Né le 11 février 1893 à Bantouzelle (Nord)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2224
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Cambrai (Nord) - Matricule au recrutement : 2262
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crèvecoeur-sur-l'Escaut (Nord) le 31 décembre 1919
1917
====================================================
GUILLOU Jean Marie Louis
Décédé le 31 janvier 1917 à l'hôpital de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) des suites de blessures en service commandé.
Né le 5 octobre 1897 à Fouesnant (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Quimper (Finistère) - Matricule au Rt : 172
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis à Fouesnant le 31 janvier 1917
Lieu de transcription du décès : Fouesnant (Finistère)
SEDLACEK Gaston Frédéric
Mort pour la France le 25 février 1917 à Ochey (Meurthe-et-Moselle) par chute d'avion
Né le 21 février 1896 à Saint-Mandé (Val-de-Marne) (ex Seine et Seine-et-Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de la Seine 4e bureau (75) - Matricule au Rt : 681
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement le 4 juillet 1917
VANOVERBECKE Léon Henri Ghislain
Décédé le 13 mars 1917 à l'hôpital n° 68 de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes) de maladie contractée au front - tuberculose pulmonaire
Né le 20 septembre 1893 à Lys-lez-Lannoy (Nord)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 1984
Mention : Mort pour la France
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
ACKERMANN (Armand), matricule 1219, brigadier : depuis le début de la campagne a fait preuve, en plusieurs circonstances, d'une belle énergie et d'une bravoure osée. Modèle de toutes les qualités militaires, est tombé, mortellement blessé, au cours d'une reconnaissance à cheval sur de nouvelles positions ennemies. Mort pour la France, le 20 mars 1917. A été cité.
ACKERMANN Armand
Tué à l'ennemi le 20 mars 1917 à la sortie Sud-Ouest de la commune de Quessy (Aisne)
Né le 16 septembre 1892 à Belfort (Territoire de Belfort)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1219
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Besançon (Doubs) - Matricule au recrutement : 234
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès Besançon (Doubs) le 7 juin 1917
GASTINGER Louis Gaston
Tué à l'ennemi le 11 mai 1917 à Juvincourt-et-Damary (Devant Juvincourt, (Aisne)
Né le 25 septembre 1884 à Limoges (Haute-Vienne)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) détaché au 66e BCP ou BCA
N° matricule au corps : 3309
Classe 1904 - Bureau de recrutement de Neufchâteau (Vosges) - Matricule au Rt : 1047
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saumur (Maine-et-Loire) le 21 novembre 1917
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards.
GASTINGER (Louis-Gaston), matricule 3309, maréchal des logis : a commandé l'échelon de la C. M. avec beaucoup de bravoure et de dévouement. Pendant l'attaque et sous le bombardement, a organisé son service avec le plus grand sang-froid. A été blessé mortellement en reconnaissance. A été cité.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
LEFER (Jules), matricule 2224, brigadier : très bon gradé, dévoué, d'une bravoure exemplaire. Mortellement blessé à son poste de combat, le 14 août 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LEFER Jules
Décédé le 14 août 1917 à l'Ambulance 2/73 de Chauny (Aisne) des suites de blessures de guerre.
Né le 11 février 1893 à Bantouzelle (Nord)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2224
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Cambrai (Nord) - Matricule au recrutement : 2262
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crèvecoeur-sur-l'Escaut (Nord) le 31 décembre 1919
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1918
====================================================
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
DEMAREST (Olivier-Emile), matricule 01304, cavalier trompette : cavalier modèle de dévouement et d'activité, s'aventurant avec sa voiture d'ambulance, sur les chemins les plus difficiles et les plus exposés. Tué au poste de secours régimentaire, au cours d'un violent bombardement, le 19 avril 1918. A été cité.
DEMAREST Olivier Emile
Tué à l'ennemi le 19 avril 1918 à Westock (Westoutre) (Belgique)
Né le 17 décembre 1887 à Haudivillers (Oise)
soldat trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01304
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 63
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Chantilly (Oise) le 5 septembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
CLEDEL (Louis), matricule 2999, cavalier : soldat discipliné, désireux de s'employer en toutes cIrconstances. A été frappé mortellement son poste de fusil-mitrailleur dans le du combat de la Clytte (Belgique), le 25 avril 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
CLEDEL Louis Jean
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 2 février 1895 à Saint-Céré (Lot)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2999
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Cahors (Lot) - Matricule au recrutement : 1035
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Céré (Lot) le 9 juillet 1918
LEROUX DE LA JONKAIRE Bernard Louis Gustave
Décédé le 25 avril 1918 à l'Ambulance 14/14 d'Abeele (Belgique) des suites de blessures de guerre.
Né le 3 mars 1897 à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Rouen Nord (76) - Matricule au recrutement : 1681
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rouen (Seine-Maritime) le 28 novembre 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LEROUX DE LA JONKAIRE (Bernard-LouisGustave), matricule 4012, brigadier : blessé, le 25 avril 1918, s'est néanmoins porté au secours de son officier blessé lui-même. Mort des suites de ses blessures. A été cité.
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
MARGOT (René-Léopold), matricule 3184, cavalier : excellent mitrailleur, passionné de son arme. Modèle de tenue au feu. Est mort glorieusement pour la France alors que, par la précision de son tir, il enrayait la progression de l'ennemi, le 25 avril 1918. A été cité.
MARGOT René Léopold
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à la Clytte (Belgique)
Né le 16 octobre 1896 à Cressat (Creuse)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3184
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Guéret (Creuse) - Matricule au recrutement : 304
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Cressat (Creuse) le 1er août 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
LAHEURTE(Marius-Robert), matricule 2128, cavalier : excellent soldat, brave et dévoué. A toujours donné la plus complète satisfaction. Tombé pour la France, à son poste de combat, à la Clytte (Belgique), le 26 avril 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LAHEURTE Marius Robert
Tué à l'ennemi le 26 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 4 janvier 1895 à Rochesson (Vosges)
trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2128
Classe 1915 - Bureau de recrutement d'Epinal (Vosges) - Matricule au recrutement : 730
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rochesson (Vosges) le 31 août 1918
========================================================
Heuvelland est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale, constituée par les anciennes communes de La Clytte, Dranoutre, Kemmel, Locre, Neuve-Église, Westoutre, Wytschaete et Wulverghem. Elle se situe à proximité de Bailleul et d'Armentières.
========================================================
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
GOARIN (Piçrre-Corentin), matricule 2901, cavalier : cavalier brave et dévoué. Blessé mortellement dans une reconnaissance dont il avait demandé à faire partie. A été cité.
GOARIN Pierre Corentin
Tué à l'ennemi le 27 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 21 septembre 1894 à Gouesnach (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de la Seine 3e bureau (75)
Matricule au recrutement : 6060
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Arcueil (Val-de-Marne (ex Seine et Seine-et-Oise)
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
CANIVET (Pierre), matricule 1872, cavalier de 1ère classe : volontaire dans une patrouille de contact, le 25 avril 1918. A été tué au cours d'une reconnaissance. A été cité.
CANIVET Pierre Isidore Jean Marie
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 9 janvier 1891 à Plouay (Morbihan)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) - Matricule au recrutement : 208
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Plouay (Morbihan)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
LOZE (Joseph), matricule 2969, cavalier : a pris part, pendant trois ans, à toutes les opérations dans lesquelles son escadron a été engagé. S'est distingué par son esprit de sacrifice. Est mort pour la France, à son poste de combat, à La Clytte, le 29 avril 1918. A été cité.
LOZE Joseph
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 13 novembre 1895 à Saint-Ybars (Ariège)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2969
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Foix (Ariège) - Matricule au recrutement : 440
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Artigat (Ariège) le 20 août 1918
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LE DESTIN DES FRERES OLIVE
Morts pour la France à trois jours d'intervalle au même emplacement.
OLIVE Louis Roland dit Henri - Frère jumeau de Louis Aristide
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme)
cavalier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1668
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1013
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Airion (Oise) le 3 août 1918
OLIVE Louis Roland dit Henri
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme) est le fils de Florent OLIVE et de PRAT Marie. Il est garde moulin à Airion (Oise) en 1911 au moment où il se présente devant le conseil de révision de Clermont. Il y reçoit le numéro matricule au recrutement 10113.
Signalement ; cheveux châtain foncé, yeux bleu foncé, nez busqué, menton saillant. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 3.
Il est incorporé au 3e régiment de hussards à Senlis à compter du 1er octobre 1912 - matricule au corps 1668.
Un autre n° mat au corps le 2918 alors qu'il est au 4e Escadron du 3e Hussards (date inconnue)
Tué à l'ennemi à la Clytte le 26 avril 1918 (avis de décès N° 11.411)
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 992
OLIVE Louis Roland dit Henri né en 1891 - Classe 1911 - Bureau de Rt de Beauvais N° Mat1013
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
OLIVE (Louis-Aristide), matricule 1677, cavalier : excellent cavalier ayant les plus belles qualités militaires. Au front depuis le début n'a cessé d'être un modèle pour ses camarades. Mort glorieusement pour la France au combat de la Clytte, le 29 avril 1918, à la place où son frère avait été grièvement frappé trois jours auparavant. A été cité.
OLIVE Louis Aristide - Frère jumeau de Louis Roland dit Henri
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1677
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1012
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Airion (Oise) le 3 août 1918
OLIVE Louis Aristide
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme) est le fils de Florent OLIVE et de PRAT Marie. Comme son frère, il exerce la profession de garde moulin à Airion (Oise) en 1911 au moment où il se présente devant le conseil de révision de Clermont.
Signalement : cheveux châtain moyen, yeux bleu verdâtre, front moyen, nez rectiligne. Il mesure 1 mètre 62. Il possède un degré d'instruction de niveau 3.
Déclaré bon pour le service armé, il est incorporé à compter lu 1er octobre 1912 à Senlis au 3e régiment de hussards, N° matricule au corps 1677. Nommé hussard de 1ère classe le 2 novembre 1914. Il est tué le 29 avril 1918 à la Clytte (Belgique) - avis de décès n° 11.409
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 992
OLIVE Louis Aristide né en 1891 - Classe 1911 - Bureau de Rt de Beauvais - N° mat 1012
On peut présumer que le besson survivant, n'a pas supporté la mort de son frère jumeau et dans son chagrin a pris tous les risques au combat.
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Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
SCHUH (Eugène), matriculee 3297, maréchal des logis : excellent sous-officier, belle tenue au feu. Tué à son poste, le 29 avril 1918. A été cité.
SCHUH Eugène
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 3 juillet 1888 à Paris 10e arrondissement (ex Seine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Cosne (Nièvre) - Matricule au recrutement : 1021
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Moulins (Allier) le 21 février 1919
1918
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Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
DEMAREST (Olivier-Emile), matricule 01304, cavalier trompette : cavalier modèle de dévouement et d'activité, s'aventurant avec sa voiture d'ambulance, sur les chemins les plus difficiles et les plus exposés. Tué au poste de secours régimentaire, au cours d'un violent bombardement, le 19 avril 1918. A été cité.
DEMAREST Olivier Emile
Tué à l'ennemi le 19 avril 1918 à Westock (Westoutre) (Belgique)
Né le 17 décembre 1887 à Haudivillers (Oise)
soldat trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01304
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 63
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Chantilly (Oise) le 5 septembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
CLEDEL (Louis), matricule 2999, cavalier : soldat discipliné, désireux de s'employer en toutes cIrconstances. A été frappé mortellement son poste de fusil-mitrailleur dans le du combat de la Clytte (Belgique), le 25 avril 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
CLEDEL Louis Jean
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 2 février 1895 à Saint-Céré (Lot)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2999
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Cahors (Lot) - Matricule au recrutement : 1035
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Céré (Lot) le 9 juillet 1918
LEROUX DE LA JONKAIRE Bernard Louis Gustave
Décédé le 25 avril 1918 à l'Ambulance 14/14 d'Abeele (Belgique) des suites de blessures de guerre.
Né le 3 mars 1897 à Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Rouen Nord (76) - Matricule au recrutement : 1681
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rouen (Seine-Maritime) le 28 novembre 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LEROUX DE LA JONKAIRE (Bernard-LouisGustave), matricule 4012, brigadier : blessé, le 25 avril 1918, s'est néanmoins porté au secours de son officier blessé lui-même. Mort des suites de ses blessures. A été cité.
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
MARGOT (René-Léopold), matricule 3184, cavalier : excellent mitrailleur, passionné de son arme. Modèle de tenue au feu. Est mort glorieusement pour la France alors que, par la précision de son tir, il enrayait la progression de l'ennemi, le 25 avril 1918. A été cité.
MARGOT René Léopold
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à la Clytte (Belgique)
Né le 16 octobre 1896 à Cressat (Creuse)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3184
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Guéret (Creuse) - Matricule au recrutement : 304
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Cressat (Creuse) le 1er août 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
LAHEURTE(Marius-Robert), matricule 2128, cavalier : excellent soldat, brave et dévoué. A toujours donné la plus complète satisfaction. Tombé pour la France, à son poste de combat, à la Clytte (Belgique), le 26 avril 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
LAHEURTE Marius Robert
Tué à l'ennemi le 26 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 4 janvier 1895 à Rochesson (Vosges)
trompette au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2128
Classe 1915 - Bureau de recrutement d'Epinal (Vosges) - Matricule au recrutement : 730
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rochesson (Vosges) le 31 août 1918
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Heuvelland est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale, constituée par les anciennes communes de La Clytte, Dranoutre, Kemmel, Locre, Neuve-Église, Westoutre, Wytschaete et Wulverghem. Elle se situe à proximité de Bailleul et d'Armentières.
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Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
GOARIN (Piçrre-Corentin), matricule 2901, cavalier : cavalier brave et dévoué. Blessé mortellement dans une reconnaissance dont il avait demandé à faire partie. A été cité.
GOARIN Pierre Corentin
Tué à l'ennemi le 27 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 21 septembre 1894 à Gouesnach (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de la Seine 3e bureau (75)
Matricule au recrutement : 6060
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Arcueil (Val-de-Marne (ex Seine et Seine-et-Oise)
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
CANIVET (Pierre), matricule 1872, cavalier de 1ère classe : volontaire dans une patrouille de contact, le 25 avril 1918. A été tué au cours d'une reconnaissance. A été cité.
CANIVET Pierre Isidore Jean Marie
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 9 janvier 1891 à Plouay (Morbihan)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) - Matricule au recrutement : 208
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Plouay (Morbihan)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
LOZE (Joseph), matricule 2969, cavalier : a pris part, pendant trois ans, à toutes les opérations dans lesquelles son escadron a été engagé. S'est distingué par son esprit de sacrifice. Est mort pour la France, à son poste de combat, à La Clytte, le 29 avril 1918. A été cité.
LOZE Joseph
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte ( Belgique)
Né le 13 novembre 1895 à Saint-Ybars (Ariège)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2969
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Foix (Ariège) - Matricule au recrutement : 440
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Artigat (Ariège) le 20 août 1918
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LE DESTIN DES FRERES OLIVE
Morts pour la France à trois jours d'intervalle au même emplacement.
OLIVE Louis Roland dit Henri - Frère jumeau de Louis Aristide
Tué à l'ennemi le 25 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme)
cavalier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1668
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1013
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Airion (Oise) le 3 août 1918
OLIVE Louis Roland dit Henri
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme) est le fils de Florent OLIVE et de PRAT Marie. Il est garde moulin à Airion (Oise) en 1911 au moment où il se présente devant le conseil de révision de Clermont. Il y reçoit le numéro matricule au recrutement 10113.
Signalement ; cheveux châtain foncé, yeux bleu foncé, nez busqué, menton saillant. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 3.
Il est incorporé au 3e régiment de hussards à Senlis à compter du 1er octobre 1912 - matricule au corps 1668.
Un autre n° mat au corps le 2918 alors qu'il est au 4e Escadron du 3e Hussards (date inconnue)
Tué à l'ennemi à la Clytte le 26 avril 1918 (avis de décès N° 11.411)
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 992
OLIVE Louis Roland dit Henri né en 1891 - Classe 1911 - Bureau de Rt de Beauvais N° Mat1013
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
OLIVE (Louis-Aristide), matricule 1677, cavalier : excellent cavalier ayant les plus belles qualités militaires. Au front depuis le début n'a cessé d'être un modèle pour ses camarades. Mort glorieusement pour la France au combat de la Clytte, le 29 avril 1918, à la place où son frère avait été grièvement frappé trois jours auparavant. A été cité.
OLIVE Louis Aristide - Frère jumeau de Louis Roland dit Henri
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1677
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1012
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Airion (Oise) le 3 août 1918
OLIVE Louis Aristide
Né le 1er mai 1891 à Dancourt-Popincourt (Somme) est le fils de Florent OLIVE et de PRAT Marie. Comme son frère, il exerce la profession de garde moulin à Airion (Oise) en 1911 au moment où il se présente devant le conseil de révision de Clermont.
Signalement : cheveux châtain moyen, yeux bleu verdâtre, front moyen, nez rectiligne. Il mesure 1 mètre 62. Il possède un degré d'instruction de niveau 3.
Déclaré bon pour le service armé, il est incorporé à compter lu 1er octobre 1912 à Senlis au 3e régiment de hussards, N° matricule au corps 1677. Nommé hussard de 1ère classe le 2 novembre 1914. Il est tué le 29 avril 1918 à la Clytte (Belgique) - avis de décès n° 11.409
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 992
OLIVE Louis Aristide né en 1891 - Classe 1911 - Bureau de Rt de Beauvais - N° mat 1012
On peut présumer que le besson survivant, n'a pas supporté la mort de son frère jumeau et dans son chagrin a pris tous les risques au combat.
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Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
SCHUH (Eugène), matriculee 3297, maréchal des logis : excellent sous-officier, belle tenue au feu. Tué à son poste, le 29 avril 1918. A été cité.
SCHUH Eugène
Tué à l'ennemi le 29 avril 1918 à La Clytte (Belgique)
Né le 3 juillet 1888 à Paris 10e arrondissement (ex Seine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Cosne (Nièvre) - Matricule au recrutement : 1021
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Moulins (Allier) le 21 février 1919
Dernière modification par ae80 le lun. déc. 22, 2025 4:02 pm, modifié 8 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
1918
(suite) AISNE - MARNE
Juin 1918
...
Extrait de l'Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
* Antheuil-Portes (Oise)
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Ces travaux sont terminés au bout de 48 heures, les renforts d'infanterie sont d'ailleurs arrivés nombreux, et notre présence étant devenue inutile, nous sommes envoyés à l'arrière. En quatre étapes, le régiment se rend dans la région de Persan-Beaumont, Crouy-en-Thelle, où il est définitivement cantonné au repos le 11 juin. — Pendant ces étapes, le général de BOISSIEU commandant la 3e division a remis la Légion d'Honneur au lieutenant
GAUTHIER, la Médaille Militaire au maréchal des logis BREUIL, aux hussards JOLY du 2e escadron et BOINE du 3e escadron pour leur belle conduite au cours des opérations récentes sur l'Ourcq.
Ces récompenses sont d'ailleurs suivies peu de jours après de nombreuses citations accordées au régiment à la suite de ces combats.
Le docteur CHASTEL et l'infirmier SOYER sont cités à l'ordre de l'armée.
Le capitaine de FRAGUIER (amputé de la jambe gauche), le capitaine de COUET, très grièvement blessé, le lieutenant de THANNBERG, amputé de la cuisse droite reçoivent la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre avec palme. — Le lieutenant- colonel GUERARD est cité à l'ordre de la 6e armée.
Les autres citations du régiment sont:
Lieutenants TEISSÈDRE, PAULARD, LEFEVRE, MERMET ; docteur GRAINDORGE ; sous-lieutenant de BERTOULT ; sous-lieutenant MARTIN ; adjudants LEGROS et PAYEN ; maréchaux-des-logis ROGER, A. de HAUTECLOQUE, LECLERCQ, FEUILLET, FOULKES, de PONTALBA, CAMUS, LABAT, LOTH, LEDANOIS, QUIVY, LANCIN, BERTET, PETIT, BALDACCI, GUILLOTO, SABOTIN, CAMIER, KIMEL.
Les brigadiers: RIBROISE, NOËL, REGUIENCI, CHAUSSON, COMPAGNICE, GIE, PIELLARD, COQUELIN, MICHEL, BELLEGARDE, GUIBERT, PHILIPPE, BECHADE, SURLEMART, LEMAIRE, PERIER, DERCOURT, MALICHECQ, GONSTILLE, PASQUIER, MAURELLE, CLESSE, GERVOISE.
Les hussards: FOUQUEAU, DAILLY, CHEBANCE, HUCHEZ, SAIGNABON, VISSEROT, ROBLIN, ROUGE, COTEN,
PETEL, HUET, HADENCQ, FRAILLON, NADON, JACOB, THIBAULT, LEJEUNE, GOSNIER, MABILEAU, GUEGANO,
MICHEL, NABARRE, LONGLET, COROLLER, MAROIS,
BONILLOT, BRUNOT, DESJARDINS, NIVIERES, CRISTELLI, TONET, BOURBIER, NAUSSAC, CHOQUET, MARAUD, LEGRAND, VINCENTI, LACAUSSIDIERE, CAMBAY, MARGNON, THIERRY, PRADEAU, ROCQUENCOURT, BRUMENT, PONS, GIRARD, LACOUR, CASTEISE, CHERON, NORMANT, CUNNIAT, CHONTREAU, SCHUFFUKER, DUBARLE, CAUDRON, CORVILLE, DERODE, BESANCON, SERGENT, COTTEN, RUFFIER, FANDRY, BOUILLEAU, FROYARD, LEGER, ROSSAGE, DELACROISE, HUCHER, LOY, VAURIS, ZELLER, MOREAU, PELTIER, ROBIN, FRAGIT, GRONDARD, ROUSTEL, DARDONVILLE, BARTHES, LEMAIRE, CARON.
Du 11 au 25 juin, dans ses cantonnements de Fresnoy et Crouy-en-Thelle, le régiment reçoit quelques renforts, se reconstitue et réinstruit ses cadres nouveaux.
Extrait de l'Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
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Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
COTTEN (François-René), matricule 3578, cavalier : bon cavalier. Tué à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
COTTEN François René
Tué à l'ennemi le 3 juin 1918 à Ferté-Milon (La) (Buisson de Borny), (Aisne)
Né le 25 février 1898 à Elliant (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3578
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Quimper (Finistère) - Matricule au recrutement : L.M. 49
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Quimper (Finistère) le 24 décembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
DELECROIX (André), matricule 3580, cavalier : très bon cavalier. Blessé mortellement à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
DELECROIX André Charles
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à 23 h. sur le champ de bataille de Vaux-Parfonds (Aisne) au Nord de Ferté-Milon (La) (Aisne)
Né le 1er octobre 1896 à Carvin (Pas-de-Calais)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3580
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au recrutement
3491
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Carvin (Pas-de-Calais) le 11 mars 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
DESGARDIN (Georges-Marie), matricule 3385, cavalier : soldat d'une grande bravoure, d'un dévouement inlassable. Mortellement blessé à son poste de combat, le 2 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
DESGARDIN Georges Marie
Décédé le 2 juin 1918 à l'ambulance 5/11 de Betz (secteur postal 80) (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 10 janvier 1897 à Guilvinec (Finistère)
cavalier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3385
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Quimper (29) - Matricule au recrutement : 321
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lanriec par Concarneau (Finistère) le 18 octobre 1918
FEUILLET Gustave
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 au Buisson de Borny (Aisne)
Né le 8 juillet 1891 à Paris 3e arrondissement (ex Seine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de la Seine 4e bureau (75) - Matricule au Rt : 461
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 4 avril 1919 par le tribunal de la Seine
Lieu de transcription du décès : Paris 3e arrondissement le 19 juin 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
FEUILLET (Gustave), matricule 1751, maréchal des logis : excellent sous-officier, très belle attitude au feu. A dirigé, le 1er juin, une reconnaissance hardie au contact de l'ennemi, a retardé en combattant la progression de celui-ci ; a fourni de très utiles renseignements au commandement. Mortellement blessé, le 2 juin 1918, en surveillant la marche de la contre-attaque. A été cité.
FOUQUEAU Pierre
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny) (Aisne)
Né le 27 mai 1888 à Senan (Yonne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02085
Classe 1908 - Bureau de recrutement d'Auxerre (Yonne) - Matricule au recrutement : 1255
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Champvallon (Yonne) le 13 novembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
FOUQUEAU (Pierre), matricule 02085, cavalier : très bon soldat, ayant un grand mépris du danger. A été tué à son poste de combat, s'étant placé de façon à mIeux utiliser sa carabine, dédaignant d'être à l'abri des vues et des coups de l'ennemi. CroIx de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
NOËL (Victor), matricule 2078, brigadier : excellent gradé, modèle d'esprit de discipline, de courage et de sang-froid. Mort pour la France pendant qu'il dirigeait le tir de son équipe de F. M, au cours d'une violente attaque ennemie, le 2 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
NOËL Victor
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 Au Buisson de Borny (Aisne)
Né le 29 février 1892 à Nancy ( Meurthe-et-Moselle)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2078
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Nancy (54) - Matricule au recrutement : 1741
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tomblaine (Meurthe-et-Moselle) le 7 août 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
REGINENSI (Ange-Paul-Marie), matricule 3292, brigadier : brigadier très courageux. A été tué en transportant son sous-officier au secours duquel il s'était porté de son plein gré. A été cité.
REGINENSI Ange Paul Marie Bernard
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny), (Aisne)
Né le 24 novembre 1897 à Mont-de-Marsan (Landes)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 (E.V. 1915) - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du Rhône) - Matricule au recrutement : 849
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tarrano (Haute-Corse) le 19 décembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
SERGEANT (Auguste), matricule 2384, cavalier : bon soldat. Tué à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
SERGEANT Auguste Joseph
Tué à l'ennemi le 3 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny) (Aisne)
Né le 20 août 1893 à Bailleul-Sir-Berthoult (Pas-de-Calais)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2384
Classe 1913 - Bureau de recrutement d'Arras (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 1369
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bailleul-Sir-Berthoult (Pas-de-Calais) le 18 novembre 1919
COMPAGNICE Albert
Décédé le 3 juin 1918 à l'Ambulance 5/11 de Betz (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 5 juin 1891 à Avesnes-en-Bray (Somme) LIRE : Seine-Maritime
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 682
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Germer-de-Fly (Oise) le 2 août 1919
LOY Camille Ernest Paul
Décédé le 3 juin 1918 à l'hôpital mixte de Meaux (Seine-et-Marne) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 18 juillet 1891 à Ponthoile (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 685
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé au domicile à Ponthoile
Lieu de transcription du décès : Ponthoile (Somme)
BELLEGARDE Jean Léon
Décédé le 6 juin 1918 à l'Ambulance 14/13 des suites de blessures de guerre
Né le 25 mars 1892 à Moncin (Pyrénées-Atlantiques) (ex Basses-Pyrénées)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1580
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Pau - Matricule au recrutement : 1011
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : le 15 août 1918 à Moncin (Pyrénées-Atlantiques)
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
BELLEGARDE (Jean-Léon), matricule 1588, brigadier : excellent gradé. Blessé grièvement à son poste de combat par un violent bombardement ennemi. Mort pour la France. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
BALDACCI (Jean-Baptiste), matricule 1160, maréchal des logis : très bon sous-officier. Son officier blessé, a pris le commandement de sa section. A fait preuve en maintes circonstances de beaucoup de courage sous le feu. Blessé à son poste de combat, le 8 juin 1918. Mort pour la France. A été cité.
BALDACCI Jean Baptiste
Décédé le 12 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 30 de Royaumont *
Né le 6 février 1891 à Corte (Haute-Corse)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1160
Classe 1911 - Bureau de recrutement d'Ajaccio (Corse) - Matricule au recrutement : 200
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis à la mairie
Lieu de transcription du décès : Corte (Haute-Corse) le 15 juin 1918
* (L'abbaye de Royaumont est un ancien monastère cistercien situé dans le hameau de Baillon à Asnières-sur-Oise dans le Val-d'Oise)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
SEIGNABOU (Eloi), matricule 4029, cavalier : très bon armurier mitrailleur d'un sang-froid remarquable. Sous un feu violent de mitrailleuses ennemies a été blessé grièvement pendant qu'il réparait une pièce cassée. Mort pour la France, le 9 juin 1918. A été cité.
SEIGNABOU Eloi
Décédé le 9 juin 1918 à l'Hôpital C.A. n° 47 d'Ognon (Oise) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 21 mars 1897 à Berbiguières (Dordogne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Bergerac (Dordogne) - Matricule au Rt : 563
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Berbiguières (Dordogne) le 11 octobre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
PERRIER (Gaston), matricule 01588, brigadier : gradé d'un rare mérite, sur le front depuis le début de la guerre, d'un d'esprit très réfléchi. Avait la complètr estime de ses chefs et de ses camarades tant par sa manière de servir et de commander, que par sa belle attitude au combat. A fait preuve du plus grand courage après sa blessure. Mort pour la France, le 11 juin 1918. Croix de Guerre avec étoile d'argent.
PERRIER Gaston Louis
Décédé le 11 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 301 de Royaucourt (Oise) - Asnières-sur-Oise -des suites de blessures de guerre.
Né le 14 février 1887 à Saint-Pierre-es-Champs (Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01588
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 125
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Pontoise (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise) le 19 août 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
CAPILLON (Edgard), matricule 2908, maréchal des logis : jeune sous-officier, animé du Plus élevé sentiment du devoir, donnant a tous le plus brillant et entraînant exemple. Mort pour la France au cours d'une attaque de nuit sur un village fortement tenu par des mitrailleuses ennemies. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.
CAPILLON Edgard Georges Marie
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 6 août 1896 à Saint-Maixent (Deux-Sèvres) actuelle commune de Saint-Maixent-L'Ecole.
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2908
Classe 1916 - Bureau de récrutement de Nantes - Matricule au recrutement : LM 220
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 4 octobre 120 par le tribunal civil de Nantes
Lieu de transcription de décès : Nantes (Loire-Atlantiques) le 27 octobre 1920
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
JACOB (Jules-Louis), matricule 3970, cavalier : bon cavalier, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, le 17 juillet 1918, à Montvoisin, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
JACOB Jules Louis
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 17 mars 1898 à Keryado (Morbihan)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3970
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) - Matricule au Rt : 1385
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lorient (Morbihan) le 31 décembre 1918
HOCQUIGNY Marius
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin - commune d'Œuilly (Marne)
Né le 1er juillet 1891 à Buenos Aires (Argentine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) - venu du 2e Chasseurs
N° matricule au corps : 4151
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Troyes (Aube) - Matricule au recrutement : 915
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Malakoff (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise) le 27 mars 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
HOCQUIGNY(Marius), matricule 4181, maréchal des logis : a été tué à l'attaque d'un village, en entraînant avec un complet mépris du danger sa demi-section sous un violent barrage de mitrailleuses. A été cité.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
RIVIÈRE (Henri-Maurice-Etienne), matricule 1649, maréchal des logis chef : sous-officier plein d'entrain et de courage. Malgré ses fonctions de comptable a insisté pour venir combattre au bataillon à pied. A trouvé une mort glorieuse, à son poste de combat, au cours de l'attaque de nuit d'un village, le 17 juillet 1918. A été cité.
RIVIERRE Henri Maurice Etienne
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 3 juin 1894 à Senlis (Oise)
maréchal des logis-chef au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1649
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Compiègne (Oise) - Matricule au recrutement : 1212
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Senlis (Oise) le 19 novembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LAILLE (Marius-Jean), matricule 3886, cavalier : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué le lendemain à son poste de combat. A été cité.
LAILLE Marius Jean
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 29 décembre 1898 à Augirein (Ariège)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N°matricule au corps : 3886
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Saint-Gaudens (Haute-Garonne) - Matricule au recrutement : 1136
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Augirein (Ariège) le 10 octobre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
OBRÉ (Adrien-Cléophas), matricule 3371, cavalier de 1ère classe : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué, le lendemain, à son poste de combat. A été cité.
OBRÉ Adrien Cléophas
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à MONTVOISIN (Marne)
Né le 9 août 1893 à Belleuse (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH) venu du 5e Dragons
N° matricule au corps : 3371
Classe 1913 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 38
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Contre (Somme) le 9 janvier 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
POTEL (Gaston-Edmond), matricule 2111, cavalier : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué, le lendemain, à son poste de combat. A été cité.
POTEL Edmond Gaston
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 23 septembre 1892 à Faverolles (Aisne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2111
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Soissons (Aisne) - Matricule au recrutement : 526
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Faverolles (Aisne) le 20 janvier 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards.
MORIN (Marcel-Honoré-Albert), matricule 1618, maréchal des logis : sous-officier merveilleux d'initiative et daudace. A remarquablement exécuté la reconnaissance d'un village, le 18 juillet 1918. Dans la nuit suivante, au cours d'une nouvelle reconnaissance offensive, a été tué à bout portant, sauvant ainsi la vie de son officier et de ses camarades. A été cité.
MORIN Marcel Honoré Albert
Tué à l'ennemi le 19 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 23 août 1892 à Viennay (Deux-Sèvres)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) 11e Escadron
N° matricule au corps : 1618
Classe 1912/1911 - Bureau de recrutement d'Angoulême (Charente) - Matricule au recrutement : 1266 ou L.M. 61
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Couronne (La) (Charente) le 9 mars 1920
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LAURENT (Georges-Victor), matricule 2388, brigadier : au front depuis le début de la campagne, a fait preuve, au cours des engagements du 25 au 30 avril, du 1er au 3 juin et du 16 au 19 juillet 1918, des plus belles qualités de courage et de sang-froid, notamment à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918, où, sous de violentes rafales de mitrailleuses, il a entraîné en avant son escouade. Grièvement blessé de plusieurs balles, est mort des suites de ses blessures, le 18 juillet 1918. A été cité.
LAURENT Georges
Décédé le 18 juillet 1918 à l'Hôpital complémentaire N° 58 de Sézanne (Marne) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 11 avril 1893 à Boissy-l'Aillerie (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2388
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) - Matricule au Rt 3735
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boissy-l'Aillerie (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise) le 14 novembre 1918
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1918
(suite) AISNE - MARNE
Juin 1918
Le dispositif du front est le suivant en ce qui concerne les compagnies du 3e hussards : compagnie de gauche, lisières nord et nord-est du Buisson de Borny. Compagnie TEISSEDRE, lisière est. Le 1er juin à 23 heures le colonel reçoit un ordre annonçant une attaque générale pour le lendemain, à 4 heures 15.
En conséquence, le colonel MOINEVILLE prépare l'ordre d'attaque dont voici un extrait :
"Par ordre du général commandant, le 2e C. C. attaquera sur tout son front pour reconquérir la ligne: Morroy, Marizy-Ste-Geneviève, Passy-en-Valois, Route de la Ferté-Milon à Neuilly-St-Front.
Le sort de la France dépend aujourd'hui du cœur et de la volonté de vaincre des troupes et de leurs chefs.
Zône d'action du régiment entre la ligne : Mosloy-Norroy et la ligne Loge-aux-Bœufs, Marizy-Ste-Geneviève. L'attaque partira à 4 h. 15 et sera menée par deux compagnies de la 13e B. D. un peloton cycliste, deux compagnies de la 3e B. L.
Les officiers de cavalerie sauront montrer l'entrain et l'élégance qui les font tant apprécier de leurs hommes."
L'artillerie reçoit un programme comportant préparation sur les divers objectifs et barrage roulant à la vitesse de 100 mètres en trois minutes. Dans la nuit, à 2 heures du matin, un ordre de la brigade fait connaître que l'attaque n'aura pas lieu dans les conditions prévues, que l'heure et certaines dispositions en seront changées. L'ordre correspondant du Corps de cavalerie, parvenu à 9 h. 30, prévoit que l'ordre d'attaque sera donné ultérieurement sous la forme H = h. Jusqu'alors la consigne est de s'organiser et de tenir.
Les comptes rendus des officiers en ligne montrent que pendant la nuit l'ennemi a continué à filtrer. Il a organisé un front qui ne laisse pas de place désormais à une contre-infiltration et ne peut être brisé que par un effort violent, une attaque montée. La possession de la Loge-aux-Bœufs par l'ennemi menace d'être une grosse difficulté pour l'attaque. Le colonel MOINEVILLE ordonne au lieutenant-colonel GUERARD d'étudier immédiatement le moyen de la réduire avec sa compagnie de réserve, ses mitrailleuses et le concours de l'artillerie. A cause de la proximité des lignes, ce concours se réduira vraisemblablement d'ailleurs à un tir d'encagement qui empêchera l'ennemi d'être renforcé et menacera sa retraite. A 10 h. 30, lorsqu'il reçoit cet ordre, le lieutenant-colonel GUERARD signale que par suite des pertes il est obligé de mettre en ligne la moitié de sa compagnie de réserve. Le colonel la lui remplace par deux pelotons de chasseurs cyclistes.
A 12 h. 55 arrive l'ordre téléphonique: H = 14 h. 30. L'ordre d'attaque part du P.C. du colonel à 13 h. 20 porté par une estafette.
Les compagnies d'attaque sortent exactement à 14 heures 30. Celles qui étaient en réserve viennent d'arriver ; elles n'ont pu être placées sur leurs bases de départ. Les officiers n'ont pas eu le temps de voir leurs objectifs et de repérer leurs axes de marche.
La coopération de l'A. D. C. 2 sur la Loge-aux-Bœufs n'a pu être qu'ébauchée.
Quoiqu'il en soit, l'attaque part.
A gauche, les dragons progressent d'environ 1000 mètres et franchissent la crête est de Mosloy, ils tombent alors sous le feu des mitrailleuses placées à contre-pente, et sont arrêtés.
Au centre, des éléments du 3e escadron du 3e hussards mêlés à trois pelotons de chasseurs cyclistes se dirigent d'abord trop à l'Est, puis se redressent vers le Nord et se trouvent bloqués par des mitrailleuses installées vers la grand route.
A droite le 8e hussards arrêté par les mitrailleuses de la Loge-aux-Bœufs ne peut déboucher. Le lieutenant-colonel GUERARD est grièvement blessé ; le capitaine de COUET prend le commandement du bataillon de légère.
A 15 heures, le mouvement est arrêté et les tirs de barrage se ralentissent. A 17 heures, le bois est redevenu calme, des groupes d'attaque et des blessés rejoignent la ligne peu à peu.
Vers 20 heures, l'artillerie allemande fait un nouveau tir d'interdiction sur le Buisson de Borny. Sans doute les observateurs ont-ils vu arriver à Vaux-Parfonds les deux compagnies de la 10e B.D. qui viennent en renfort. Une attaque doit en effet avoir lieu le soir même, mais est contre-mandée.
Dans la nuit, les deux compagnies du 3e hussards reçoivent l'ordre qu'elles seront relevées avant le jour par le 208e de ligne.
Mais c'est seulement à 4 heures du matin, le 3 juin que les premiers éléments de ce régiment arrivent au P. C. de bataillon. — La relève commence aussitôt, se déclenche sur tout notre front un violent bombardement qui cause beaucoup de pertes.
A 4 h. 30, le capitaine de COUET est blessé grièvement. Le bombardement est toujours d'une extrême violence, et se prolonge derrière nous jusqu'à atteindre Vaux-Parfonds, où le colonel MOINEVILLE est blessé à son poste de commandement.
Le lieutenant-colonel DELATRE du 21e dragons prend le commandement du régiment à pied de la 3e D. C. Il est 9 heures ; aucune action d'infanterie allemande n'a suivi la préparation d'artillerie ; la relève a pu s'achever. Le bataillon des 3e et 8e hussards rassemblé dans les bois au sud de Vaux-Parfonds se réorganise ; il ne compte plus que 267 hommes, mitrailleurs compris, très fatigués.
Cette opération de relève fut particulièrement délicate en raison de l'état de fatigue extrême dans lequel se trouvaient les troupes. Depuis quatre jours les hommes n'avaient pris aucun repas ; ils avaient été engagés après un raid à cheval de près de 200 kilomètres et ils étaient restés deux jours sans pouvoir être ravitaillés.
C'est en ce point que le bataillon de la brigade légère reçoit à 14 heures l'ordre de rejoindre par Mareuil-sur-Ourcq, le bivouac des chevaux au ravin de Collinarse. Les pertes du régiment dans ces combats de l'Ourcq sont les suivantes :
6 tués. — Le maréchal des logis FEUILLET du 3e escadron, brigadier REGINENSI du 3e escadron, les hussards NOEL et FOUQUEAU du 1er escadron, les cavaliers SERGENT et COTTEN du 3e escadron.
60 blessés dont 5 officiers : Le colonel MOINEVILLE, le lieutenant-colonel GUERARD amputé du bras gauche (meurt le 5 juin à l'hôpital de Royaumont), le capitaine de COUET, le lieutenant de THANNBERG, amputé de la cuisse droite, le lieutenant ALBERT de BLOIS.
Parmi les blessés :
Au 1er escadron, le maréchal des logis QUIVY, les brigadiers COQUELIN, GUIBERT, PHILIPPE, BECHADE, MICHEL, BELLEGARDE (mort des suites de ses blessures).
Au 2e escadron, les maréchaux des logis CAMUS (blessé 2 fois), de PONTALBA, le brigadier PARIRE (meurt à Royaumont), cavaliers HUCHEZ, POSTEL.
Au 3e escadron, les maréchaux des logis GUILLOTO, SABOTIN, de HAUTECLOQUE et BALDACCI (mort de ses blessures). Les brigadiers MOURETTE, CLESSE et GERVAISE. Le brigadier COMPAGNINCE, de la 1ère section de mitrailleuses, meurt des suites de ses blessures.
Le 4 juin, après avoir passé la nuit au bivouac de Collinarse, le 3e hussards, se rend à cheval dans les bois à l'ouest d'Antheuil*. Il s'y installe au bivouac, et met en état de défense le village de Plessis-s.-Antheuil *, qu'il doit défendre au cas où l'ennemi avancerait encore.
En conséquence, le colonel MOINEVILLE prépare l'ordre d'attaque dont voici un extrait :
"Par ordre du général commandant, le 2e C. C. attaquera sur tout son front pour reconquérir la ligne: Morroy, Marizy-Ste-Geneviève, Passy-en-Valois, Route de la Ferté-Milon à Neuilly-St-Front.
Le sort de la France dépend aujourd'hui du cœur et de la volonté de vaincre des troupes et de leurs chefs.
Zône d'action du régiment entre la ligne : Mosloy-Norroy et la ligne Loge-aux-Bœufs, Marizy-Ste-Geneviève. L'attaque partira à 4 h. 15 et sera menée par deux compagnies de la 13e B. D. un peloton cycliste, deux compagnies de la 3e B. L.
Les officiers de cavalerie sauront montrer l'entrain et l'élégance qui les font tant apprécier de leurs hommes."
L'artillerie reçoit un programme comportant préparation sur les divers objectifs et barrage roulant à la vitesse de 100 mètres en trois minutes. Dans la nuit, à 2 heures du matin, un ordre de la brigade fait connaître que l'attaque n'aura pas lieu dans les conditions prévues, que l'heure et certaines dispositions en seront changées. L'ordre correspondant du Corps de cavalerie, parvenu à 9 h. 30, prévoit que l'ordre d'attaque sera donné ultérieurement sous la forme H = h. Jusqu'alors la consigne est de s'organiser et de tenir.
Les comptes rendus des officiers en ligne montrent que pendant la nuit l'ennemi a continué à filtrer. Il a organisé un front qui ne laisse pas de place désormais à une contre-infiltration et ne peut être brisé que par un effort violent, une attaque montée. La possession de la Loge-aux-Bœufs par l'ennemi menace d'être une grosse difficulté pour l'attaque. Le colonel MOINEVILLE ordonne au lieutenant-colonel GUERARD d'étudier immédiatement le moyen de la réduire avec sa compagnie de réserve, ses mitrailleuses et le concours de l'artillerie. A cause de la proximité des lignes, ce concours se réduira vraisemblablement d'ailleurs à un tir d'encagement qui empêchera l'ennemi d'être renforcé et menacera sa retraite. A 10 h. 30, lorsqu'il reçoit cet ordre, le lieutenant-colonel GUERARD signale que par suite des pertes il est obligé de mettre en ligne la moitié de sa compagnie de réserve. Le colonel la lui remplace par deux pelotons de chasseurs cyclistes.
A 12 h. 55 arrive l'ordre téléphonique: H = 14 h. 30. L'ordre d'attaque part du P.C. du colonel à 13 h. 20 porté par une estafette.
Les compagnies d'attaque sortent exactement à 14 heures 30. Celles qui étaient en réserve viennent d'arriver ; elles n'ont pu être placées sur leurs bases de départ. Les officiers n'ont pas eu le temps de voir leurs objectifs et de repérer leurs axes de marche.
La coopération de l'A. D. C. 2 sur la Loge-aux-Bœufs n'a pu être qu'ébauchée.
Quoiqu'il en soit, l'attaque part.
A gauche, les dragons progressent d'environ 1000 mètres et franchissent la crête est de Mosloy, ils tombent alors sous le feu des mitrailleuses placées à contre-pente, et sont arrêtés.
Au centre, des éléments du 3e escadron du 3e hussards mêlés à trois pelotons de chasseurs cyclistes se dirigent d'abord trop à l'Est, puis se redressent vers le Nord et se trouvent bloqués par des mitrailleuses installées vers la grand route.
A droite le 8e hussards arrêté par les mitrailleuses de la Loge-aux-Bœufs ne peut déboucher. Le lieutenant-colonel GUERARD est grièvement blessé ; le capitaine de COUET prend le commandement du bataillon de légère.
A 15 heures, le mouvement est arrêté et les tirs de barrage se ralentissent. A 17 heures, le bois est redevenu calme, des groupes d'attaque et des blessés rejoignent la ligne peu à peu.
Vers 20 heures, l'artillerie allemande fait un nouveau tir d'interdiction sur le Buisson de Borny. Sans doute les observateurs ont-ils vu arriver à Vaux-Parfonds les deux compagnies de la 10e B.D. qui viennent en renfort. Une attaque doit en effet avoir lieu le soir même, mais est contre-mandée.
Dans la nuit, les deux compagnies du 3e hussards reçoivent l'ordre qu'elles seront relevées avant le jour par le 208e de ligne.
Mais c'est seulement à 4 heures du matin, le 3 juin que les premiers éléments de ce régiment arrivent au P. C. de bataillon. — La relève commence aussitôt, se déclenche sur tout notre front un violent bombardement qui cause beaucoup de pertes.
A 4 h. 30, le capitaine de COUET est blessé grièvement. Le bombardement est toujours d'une extrême violence, et se prolonge derrière nous jusqu'à atteindre Vaux-Parfonds, où le colonel MOINEVILLE est blessé à son poste de commandement.
Le lieutenant-colonel DELATRE du 21e dragons prend le commandement du régiment à pied de la 3e D. C. Il est 9 heures ; aucune action d'infanterie allemande n'a suivi la préparation d'artillerie ; la relève a pu s'achever. Le bataillon des 3e et 8e hussards rassemblé dans les bois au sud de Vaux-Parfonds se réorganise ; il ne compte plus que 267 hommes, mitrailleurs compris, très fatigués.
Cette opération de relève fut particulièrement délicate en raison de l'état de fatigue extrême dans lequel se trouvaient les troupes. Depuis quatre jours les hommes n'avaient pris aucun repas ; ils avaient été engagés après un raid à cheval de près de 200 kilomètres et ils étaient restés deux jours sans pouvoir être ravitaillés.
C'est en ce point que le bataillon de la brigade légère reçoit à 14 heures l'ordre de rejoindre par Mareuil-sur-Ourcq, le bivouac des chevaux au ravin de Collinarse. Les pertes du régiment dans ces combats de l'Ourcq sont les suivantes :
6 tués. — Le maréchal des logis FEUILLET du 3e escadron, brigadier REGINENSI du 3e escadron, les hussards NOEL et FOUQUEAU du 1er escadron, les cavaliers SERGENT et COTTEN du 3e escadron.
60 blessés dont 5 officiers : Le colonel MOINEVILLE, le lieutenant-colonel GUERARD amputé du bras gauche (meurt le 5 juin à l'hôpital de Royaumont), le capitaine de COUET, le lieutenant de THANNBERG, amputé de la cuisse droite, le lieutenant ALBERT de BLOIS.
Parmi les blessés :
Au 1er escadron, le maréchal des logis QUIVY, les brigadiers COQUELIN, GUIBERT, PHILIPPE, BECHADE, MICHEL, BELLEGARDE (mort des suites de ses blessures).
Au 2e escadron, les maréchaux des logis CAMUS (blessé 2 fois), de PONTALBA, le brigadier PARIRE (meurt à Royaumont), cavaliers HUCHEZ, POSTEL.
Au 3e escadron, les maréchaux des logis GUILLOTO, SABOTIN, de HAUTECLOQUE et BALDACCI (mort de ses blessures). Les brigadiers MOURETTE, CLESSE et GERVAISE. Le brigadier COMPAGNINCE, de la 1ère section de mitrailleuses, meurt des suites de ses blessures.
Le 4 juin, après avoir passé la nuit au bivouac de Collinarse, le 3e hussards, se rend à cheval dans les bois à l'ouest d'Antheuil*. Il s'y installe au bivouac, et met en état de défense le village de Plessis-s.-Antheuil *, qu'il doit défendre au cas où l'ennemi avancerait encore.
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Extrait de l'Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
* Antheuil-Portes (Oise)
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Ces travaux sont terminés au bout de 48 heures, les renforts d'infanterie sont d'ailleurs arrivés nombreux, et notre présence étant devenue inutile, nous sommes envoyés à l'arrière. En quatre étapes, le régiment se rend dans la région de Persan-Beaumont, Crouy-en-Thelle, où il est définitivement cantonné au repos le 11 juin. — Pendant ces étapes, le général de BOISSIEU commandant la 3e division a remis la Légion d'Honneur au lieutenant
GAUTHIER, la Médaille Militaire au maréchal des logis BREUIL, aux hussards JOLY du 2e escadron et BOINE du 3e escadron pour leur belle conduite au cours des opérations récentes sur l'Ourcq.
Ces récompenses sont d'ailleurs suivies peu de jours après de nombreuses citations accordées au régiment à la suite de ces combats.
Le docteur CHASTEL et l'infirmier SOYER sont cités à l'ordre de l'armée.
Le capitaine de FRAGUIER (amputé de la jambe gauche), le capitaine de COUET, très grièvement blessé, le lieutenant de THANNBERG, amputé de la cuisse droite reçoivent la Légion d'Honneur et la Croix de Guerre avec palme. — Le lieutenant- colonel GUERARD est cité à l'ordre de la 6e armée.
Les autres citations du régiment sont:
Lieutenants TEISSÈDRE, PAULARD, LEFEVRE, MERMET ; docteur GRAINDORGE ; sous-lieutenant de BERTOULT ; sous-lieutenant MARTIN ; adjudants LEGROS et PAYEN ; maréchaux-des-logis ROGER, A. de HAUTECLOQUE, LECLERCQ, FEUILLET, FOULKES, de PONTALBA, CAMUS, LABAT, LOTH, LEDANOIS, QUIVY, LANCIN, BERTET, PETIT, BALDACCI, GUILLOTO, SABOTIN, CAMIER, KIMEL.
Les brigadiers: RIBROISE, NOËL, REGUIENCI, CHAUSSON, COMPAGNICE, GIE, PIELLARD, COQUELIN, MICHEL, BELLEGARDE, GUIBERT, PHILIPPE, BECHADE, SURLEMART, LEMAIRE, PERIER, DERCOURT, MALICHECQ, GONSTILLE, PASQUIER, MAURELLE, CLESSE, GERVOISE.
Les hussards: FOUQUEAU, DAILLY, CHEBANCE, HUCHEZ, SAIGNABON, VISSEROT, ROBLIN, ROUGE, COTEN,
PETEL, HUET, HADENCQ, FRAILLON, NADON, JACOB, THIBAULT, LEJEUNE, GOSNIER, MABILEAU, GUEGANO,
MICHEL, NABARRE, LONGLET, COROLLER, MAROIS,
BONILLOT, BRUNOT, DESJARDINS, NIVIERES, CRISTELLI, TONET, BOURBIER, NAUSSAC, CHOQUET, MARAUD, LEGRAND, VINCENTI, LACAUSSIDIERE, CAMBAY, MARGNON, THIERRY, PRADEAU, ROCQUENCOURT, BRUMENT, PONS, GIRARD, LACOUR, CASTEISE, CHERON, NORMANT, CUNNIAT, CHONTREAU, SCHUFFUKER, DUBARLE, CAUDRON, CORVILLE, DERODE, BESANCON, SERGENT, COTTEN, RUFFIER, FANDRY, BOUILLEAU, FROYARD, LEGER, ROSSAGE, DELACROISE, HUCHER, LOY, VAURIS, ZELLER, MOREAU, PELTIER, ROBIN, FRAGIT, GRONDARD, ROUSTEL, DARDONVILLE, BARTHES, LEMAIRE, CARON.
Du 11 au 25 juin, dans ses cantonnements de Fresnoy et Crouy-en-Thelle, le régiment reçoit quelques renforts, se reconstitue et réinstruit ses cadres nouveaux.
Extrait de l'Historique du 3e régiment de hussards
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
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Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
COTTEN (François-René), matricule 3578, cavalier : bon cavalier. Tué à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
COTTEN François René
Tué à l'ennemi le 3 juin 1918 à Ferté-Milon (La) (Buisson de Borny), (Aisne)
Né le 25 février 1898 à Elliant (Finistère)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3578
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Quimper (Finistère) - Matricule au recrutement : L.M. 49
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Quimper (Finistère) le 24 décembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
DELECROIX (André), matricule 3580, cavalier : très bon cavalier. Blessé mortellement à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
DELECROIX André Charles
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à 23 h. sur le champ de bataille de Vaux-Parfonds (Aisne) au Nord de Ferté-Milon (La) (Aisne)
Né le 1er octobre 1896 à Carvin (Pas-de-Calais)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3580
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au recrutement
3491
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Carvin (Pas-de-Calais) le 11 mars 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
DESGARDIN (Georges-Marie), matricule 3385, cavalier : soldat d'une grande bravoure, d'un dévouement inlassable. Mortellement blessé à son poste de combat, le 2 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
DESGARDIN Georges Marie
Décédé le 2 juin 1918 à l'ambulance 5/11 de Betz (secteur postal 80) (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 10 janvier 1897 à Guilvinec (Finistère)
cavalier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3385
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Quimper (29) - Matricule au recrutement : 321
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lanriec par Concarneau (Finistère) le 18 octobre 1918
FEUILLET Gustave
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 au Buisson de Borny (Aisne)
Né le 8 juillet 1891 à Paris 3e arrondissement (ex Seine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de la Seine 4e bureau (75) - Matricule au Rt : 461
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 4 avril 1919 par le tribunal de la Seine
Lieu de transcription du décès : Paris 3e arrondissement le 19 juin 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
FEUILLET (Gustave), matricule 1751, maréchal des logis : excellent sous-officier, très belle attitude au feu. A dirigé, le 1er juin, une reconnaissance hardie au contact de l'ennemi, a retardé en combattant la progression de celui-ci ; a fourni de très utiles renseignements au commandement. Mortellement blessé, le 2 juin 1918, en surveillant la marche de la contre-attaque. A été cité.
FOUQUEAU Pierre
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny) (Aisne)
Né le 27 mai 1888 à Senan (Yonne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 02085
Classe 1908 - Bureau de recrutement d'Auxerre (Yonne) - Matricule au recrutement : 1255
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Champvallon (Yonne) le 13 novembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
FOUQUEAU (Pierre), matricule 02085, cavalier : très bon soldat, ayant un grand mépris du danger. A été tué à son poste de combat, s'étant placé de façon à mIeux utiliser sa carabine, dédaignant d'être à l'abri des vues et des coups de l'ennemi. CroIx de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
NOËL (Victor), matricule 2078, brigadier : excellent gradé, modèle d'esprit de discipline, de courage et de sang-froid. Mort pour la France pendant qu'il dirigeait le tir de son équipe de F. M, au cours d'une violente attaque ennemie, le 2 juin 1918. Croix de guerre avec étoile de bronze.
NOËL Victor
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 Au Buisson de Borny (Aisne)
Né le 29 février 1892 à Nancy ( Meurthe-et-Moselle)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2078
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Nancy (54) - Matricule au recrutement : 1741
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tomblaine (Meurthe-et-Moselle) le 7 août 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
REGINENSI (Ange-Paul-Marie), matricule 3292, brigadier : brigadier très courageux. A été tué en transportant son sous-officier au secours duquel il s'était porté de son plein gré. A été cité.
REGINENSI Ange Paul Marie Bernard
Tué à l'ennemi le 2 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny), (Aisne)
Né le 24 novembre 1897 à Mont-de-Marsan (Landes)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 (E.V. 1915) - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du Rhône) - Matricule au recrutement : 849
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tarrano (Haute-Corse) le 19 décembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
SERGEANT (Auguste), matricule 2384, cavalier : bon soldat. Tué à son poste, le 2 juin 1918. A été cité.
SERGEANT Auguste Joseph
Tué à l'ennemi le 3 juin 1918 à Passy-en-Valois (Buisson de Borny) (Aisne)
Né le 20 août 1893 à Bailleul-Sir-Berthoult (Pas-de-Calais)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2384
Classe 1913 - Bureau de recrutement d'Arras (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 1369
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bailleul-Sir-Berthoult (Pas-de-Calais) le 18 novembre 1919
COMPAGNICE Albert
Décédé le 3 juin 1918 à l'Ambulance 5/11 de Betz (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 5 juin 1891 à Avesnes-en-Bray (Somme) LIRE : Seine-Maritime
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 682
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Germer-de-Fly (Oise) le 2 août 1919
LOY Camille Ernest Paul
Décédé le 3 juin 1918 à l'hôpital mixte de Meaux (Seine-et-Marne) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 18 juillet 1891 à Ponthoile (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1911 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 685
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé au domicile à Ponthoile
Lieu de transcription du décès : Ponthoile (Somme)
BELLEGARDE Jean Léon
Décédé le 6 juin 1918 à l'Ambulance 14/13 des suites de blessures de guerre
Né le 25 mars 1892 à Moncin (Pyrénées-Atlantiques) (ex Basses-Pyrénées)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1580
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Pau - Matricule au recrutement : 1011
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : le 15 août 1918 à Moncin (Pyrénées-Atlantiques)
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
BELLEGARDE (Jean-Léon), matricule 1588, brigadier : excellent gradé. Blessé grièvement à son poste de combat par un violent bombardement ennemi. Mort pour la France. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
BALDACCI (Jean-Baptiste), matricule 1160, maréchal des logis : très bon sous-officier. Son officier blessé, a pris le commandement de sa section. A fait preuve en maintes circonstances de beaucoup de courage sous le feu. Blessé à son poste de combat, le 8 juin 1918. Mort pour la France. A été cité.
BALDACCI Jean Baptiste
Décédé le 12 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 30 de Royaumont *
Né le 6 février 1891 à Corte (Haute-Corse)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1160
Classe 1911 - Bureau de recrutement d'Ajaccio (Corse) - Matricule au recrutement : 200
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis à la mairie
Lieu de transcription du décès : Corte (Haute-Corse) le 15 juin 1918
* (L'abbaye de Royaumont est un ancien monastère cistercien situé dans le hameau de Baillon à Asnières-sur-Oise dans le Val-d'Oise)
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
SEIGNABOU (Eloi), matricule 4029, cavalier : très bon armurier mitrailleur d'un sang-froid remarquable. Sous un feu violent de mitrailleuses ennemies a été blessé grièvement pendant qu'il réparait une pièce cassée. Mort pour la France, le 9 juin 1918. A été cité.
SEIGNABOU Eloi
Décédé le 9 juin 1918 à l'Hôpital C.A. n° 47 d'Ognon (Oise) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 21 mars 1897 à Berbiguières (Dordogne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Bergerac (Dordogne) - Matricule au Rt : 563
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Berbiguières (Dordogne) le 11 octobre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12689
3e régiment de hussards
PERRIER (Gaston), matricule 01588, brigadier : gradé d'un rare mérite, sur le front depuis le début de la guerre, d'un d'esprit très réfléchi. Avait la complètr estime de ses chefs et de ses camarades tant par sa manière de servir et de commander, que par sa belle attitude au combat. A fait preuve du plus grand courage après sa blessure. Mort pour la France, le 11 juin 1918. Croix de Guerre avec étoile d'argent.
PERRIER Gaston Louis
Décédé le 11 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 301 de Royaucourt (Oise) - Asnières-sur-Oise -des suites de blessures de guerre.
Né le 14 février 1887 à Saint-Pierre-es-Champs (Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 01588
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 125
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Pontoise (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise) le 19 août 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
CAPILLON (Edgard), matricule 2908, maréchal des logis : jeune sous-officier, animé du Plus élevé sentiment du devoir, donnant a tous le plus brillant et entraînant exemple. Mort pour la France au cours d'une attaque de nuit sur un village fortement tenu par des mitrailleuses ennemies. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile de vermeil.
CAPILLON Edgard Georges Marie
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 6 août 1896 à Saint-Maixent (Deux-Sèvres) actuelle commune de Saint-Maixent-L'Ecole.
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2908
Classe 1916 - Bureau de récrutement de Nantes - Matricule au recrutement : LM 220
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 4 octobre 120 par le tribunal civil de Nantes
Lieu de transcription de décès : Nantes (Loire-Atlantiques) le 27 octobre 1920
Journal officiel du 12 mai 1920 pages 7168 et 7569
3e régiment de hussards
JACOB (Jules-Louis), matricule 3970, cavalier : bon cavalier, courageux et dévoué. Mort au champ d'honneur, le 17 juillet 1918, à Montvoisin, en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.
JACOB Jules Louis
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 17 mars 1898 à Keryado (Morbihan)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 3970
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) - Matricule au Rt : 1385
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lorient (Morbihan) le 31 décembre 1918
HOCQUIGNY Marius
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin - commune d'Œuilly (Marne)
Né le 1er juillet 1891 à Buenos Aires (Argentine)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) - venu du 2e Chasseurs
N° matricule au corps : 4151
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Troyes (Aube) - Matricule au recrutement : 915
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Malakoff (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise) le 27 mars 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
HOCQUIGNY(Marius), matricule 4181, maréchal des logis : a été tué à l'attaque d'un village, en entraînant avec un complet mépris du danger sa demi-section sous un violent barrage de mitrailleuses. A été cité.
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
RIVIÈRE (Henri-Maurice-Etienne), matricule 1649, maréchal des logis chef : sous-officier plein d'entrain et de courage. Malgré ses fonctions de comptable a insisté pour venir combattre au bataillon à pied. A trouvé une mort glorieuse, à son poste de combat, au cours de l'attaque de nuit d'un village, le 17 juillet 1918. A été cité.
RIVIERRE Henri Maurice Etienne
Tué à l'ennemi le 17 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 3 juin 1894 à Senlis (Oise)
maréchal des logis-chef au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 1649
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Compiègne (Oise) - Matricule au recrutement : 1212
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Senlis (Oise) le 19 novembre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LAILLE (Marius-Jean), matricule 3886, cavalier : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué le lendemain à son poste de combat. A été cité.
LAILLE Marius Jean
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 29 décembre 1898 à Augirein (Ariège)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N°matricule au corps : 3886
Classe 1918 - Bureau de recrutement de Saint-Gaudens (Haute-Garonne) - Matricule au recrutement : 1136
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Augirein (Ariège) le 10 octobre 1918
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
OBRÉ (Adrien-Cléophas), matricule 3371, cavalier de 1ère classe : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué, le lendemain, à son poste de combat. A été cité.
OBRÉ Adrien Cléophas
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à MONTVOISIN (Marne)
Né le 9 août 1893 à Belleuse (Somme)
cavalier de 1ère classe au 3e régiment de hussards (3e RH) venu du 5e Dragons
N° matricule au corps : 3371
Classe 1913 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 38
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Contre (Somme) le 9 janvier 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
POTEL (Gaston-Edmond), matricule 2111, cavalier : a fait preuve du plus grand courage en se portant avec entrain à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918. Tué, le lendemain, à son poste de combat. A été cité.
POTEL Edmond Gaston
Tué à l'ennemi le 18 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 23 septembre 1892 à Faverolles (Aisne)
cavalier de 2e classe au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2111
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Soissons (Aisne) - Matricule au recrutement : 526
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Faverolles (Aisne) le 20 janvier 1919
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards.
MORIN (Marcel-Honoré-Albert), matricule 1618, maréchal des logis : sous-officier merveilleux d'initiative et daudace. A remarquablement exécuté la reconnaissance d'un village, le 18 juillet 1918. Dans la nuit suivante, au cours d'une nouvelle reconnaissance offensive, a été tué à bout portant, sauvant ainsi la vie de son officier et de ses camarades. A été cité.
MORIN Marcel Honoré Albert
Tué à l'ennemi le 19 juillet 1918 à Montvoisin (Marne)
Né le 23 août 1892 à Viennay (Deux-Sèvres)
maréchal des logis au 3e régiment de hussards (3e RH) 11e Escadron
N° matricule au corps : 1618
Classe 1912/1911 - Bureau de recrutement d'Angoulême (Charente) - Matricule au recrutement : 1266 ou L.M. 61
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Couronne (La) (Charente) le 9 mars 1920
Journal officiel du 12 novembre 1919 page 12688
3e régiment de hussards
LAURENT (Georges-Victor), matricule 2388, brigadier : au front depuis le début de la campagne, a fait preuve, au cours des engagements du 25 au 30 avril, du 1er au 3 juin et du 16 au 19 juillet 1918, des plus belles qualités de courage et de sang-froid, notamment à l'attaque du village de Montvoisin, le 17 juillet 1918, où, sous de violentes rafales de mitrailleuses, il a entraîné en avant son escouade. Grièvement blessé de plusieurs balles, est mort des suites de ses blessures, le 18 juillet 1918. A été cité.
LAURENT Georges
Décédé le 18 juillet 1918 à l'Hôpital complémentaire N° 58 de Sézanne (Marne) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 11 avril 1893 à Boissy-l'Aillerie (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
brigadier au 3e régiment de hussards (3e RH)
N° matricule au corps : 2388
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) - Matricule au Rt 3735
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boissy-l'Aillerie (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise) le 14 novembre 1918
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Dernière modification par ae80 le mar. déc. 23, 2025 12:01 pm, modifié 2 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
Journal officiel du 19 septembre 1918 page 8174
1918/09/19 (A50,N255).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
Le président du conseil, ministre de la guerre,
Vu le décret du 13 août 1914,
Arrête :
Article unique. — Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire, les militaires dont lesfnoms suivent : LÉGION D'HONNEUR Pour chevalier.
(Pour prendre rang du 17 juillet 1918.)
DE FRAGUIER (Louis), matricule 11, capitaine (active) commandant le 2e escadron du 3e régiment de hussards : excellent officier, d'une brillante conduite au feu, possédant de belles qualités de commandement. À été blessé grièvement à son poste pendant un bombardement ennemi. Amputé de la jambe gauche.
Journal officiel du 19 septembre 1918 page 8174
1918/09/19 (A50,N255).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
Le président du conseil, ministre de la guerre,
Vu le décret du 13 août 1914,
Arrête :
Article unique. — Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire, les militaires dont lesfnoms suivent : LÉGION D'HONNEUR Pour chevalier.
(Pour prendre rang du 17 juillet 1918.)
DE FRAGUIER (Louis), matricule 11, capitaine (active) commandant le 2e escadron du 3e régiment de hussards : excellent officier, d'une brillante conduite au feu, possédant de belles qualités de commandement. À été blessé grièvement à son poste pendant un bombardement ennemi. Amputé de la jambe gauche.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
Journal officiel du 26 octobre 1918 page 9311
Nomination dans la Légion d'honneur
Pour chevalier.
(Pour prendre rang du 14 juin 1918.)
DE COUET DE LORRY (Charles-Paul-Hippolyte), capitaine (active) au 3e régiment de hussards : officier de grande valeur, qui s'est toujours montré d'une bravoure admirable au feu. Grièvement blessé à son poste de combat, en exerçant dans des circonstances difficiles, le commandement de son bataillon, a fait preuve d'une énergie et d'un sang-froid remarquables. Une citation.
Journal officiel du 26 octobre 1918 page 9311
Nomination dans la Légion d'honneur
Pour chevalier.
(Pour prendre rang du 14 juin 1918.)
DE COUET DE LORRY (Charles-Paul-Hippolyte), capitaine (active) au 3e régiment de hussards : officier de grande valeur, qui s'est toujours montré d'une bravoure admirable au feu. Grièvement blessé à son poste de combat, en exerçant dans des circonstances difficiles, le commandement de son bataillon, a fait preuve d'une énergie et d'un sang-froid remarquables. Une citation.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 3e Régiment de Hussards
3e Régiment de Hussards
Journal officiel du 21 avril 1918 page 3457
CAVALERIE
Promotions et Nominations
Au grade de lieutenant-colonel
M. GUERARD (Pierre-Henri-Richard), chef d'escadron au 3e régiment de hussards en remplacement de M. PHILPIN de PIÉDPAPE, promu.
GUERARD Pierre Henri Richard
Décédé le 5 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 301 de Royaumont (Seine-et-Oise) commune d'Asnières-sur-Oise (Val-d'Oise (ex Seine-et-Oise) des suites de blessures de guerre
Né le 17 décembre 1867 à Paris 8e arrondissement (ex Seine)
lieutenant-colonel au 3e régiment de hussards (3e RH) Chef de corps
Classe 1887 - Bureau de recrutement de la Seine 2e bureau (75) - Matricule au recrutement : 861
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 8e arrondissement à son domicile au 23, rue de Ponthieu (VIIe arrondissement)
Journal officiel du 9 décembre 1918 page 10601
CITATION à l'ordre de l'armée
GUÉRARD (Pierre-Henri-Richard), lieutenant-colonel au 3e régiment de hussards : remarquable officier supérieur, plein de vigueur et d'entrain. S'est distingué dans les Flandres où il a été l'objet d'une demande de citation. A été blessé mortellement au combat du 2 juin 1918, en avant de l'Ourcq, en conduisant à l'attaque le bataillon de la 3e brigade légère qu'il avait formé et qu'il électrisait par sa magnifique attitude.
Journal officiel du 21 avril 1918 page 3457
CAVALERIE
Promotions et Nominations
Au grade de lieutenant-colonel
M. GUERARD (Pierre-Henri-Richard), chef d'escadron au 3e régiment de hussards en remplacement de M. PHILPIN de PIÉDPAPE, promu.
GUERARD Pierre Henri Richard
Décédé le 5 juin 1918 à l'hôpital auxiliaire n° 301 de Royaumont (Seine-et-Oise) commune d'Asnières-sur-Oise (Val-d'Oise (ex Seine-et-Oise) des suites de blessures de guerre
Né le 17 décembre 1867 à Paris 8e arrondissement (ex Seine)
lieutenant-colonel au 3e régiment de hussards (3e RH) Chef de corps
Classe 1887 - Bureau de recrutement de la Seine 2e bureau (75) - Matricule au recrutement : 861
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 8e arrondissement à son domicile au 23, rue de Ponthieu (VIIe arrondissement)
Journal officiel du 9 décembre 1918 page 10601
CITATION à l'ordre de l'armée
GUÉRARD (Pierre-Henri-Richard), lieutenant-colonel au 3e régiment de hussards : remarquable officier supérieur, plein de vigueur et d'entrain. S'est distingué dans les Flandres où il a été l'objet d'une demande de citation. A été blessé mortellement au combat du 2 juin 1918, en avant de l'Ourcq, en conduisant à l'attaque le bataillon de la 3e brigade légère qu'il avait formé et qu'il électrisait par sa magnifique attitude.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE