Bonsoir, Domenico.
J'ai reçu depuis l'historique du régiment RIR 255. Comme on pouvait malheureusement s'y attendre, le mousquetaire Josef Cheron n'y est pas mentionné personnellement.
Cependant, sa mort à Lipowo est consignée dans les rapports de pertes en annexe.
Les combats de Lipowo y sont décrits avec force détails. On peut aisément imaginer où ce tragique événement a pu se produire. Il semble qu'il n'ait pas eu lieu dans la ville même de Lipowo, mais plutôt lors de l'attaque de la colline 223 (ouest) ou de la colline 223 (est).
Schumacher, Julius u.a.; Reserve-Infanterie-Regiment 255 im Weltkriege 1914 – 1918; Berlin 1929; p 36 - 38
https://susudata.de/messtisch/tk25.html ... %281931%29
https://www.google.com/maps/@54.2102487 ... M0gBUAM%3D
(…) La 77e division de réserve avait pour mission de contenir les importantes forces ennemies au nord-est de Suwałki par une série d'attaques locales.
Le 27 mai 1915, le 1er bataillon du 255e régiment de reserve (RIR 255) fut retiré de sa position de réserve divisionnaire. Les 2e et 3e bataillons du RIR 255 furent chargés de sécuriser l'ensemble du secteur, y compris la ligne de Stary. Le 1er bataillon se déplaça vers le camp de Sobolewo et, après 14 jours, le 12 juin 1915, releva le 3e bataillon. L'après-midi du 14 juin, le 3e bataillon (!!!), qui revenait tout juste d'exercices sur le terrain, fut mis en alerte à Sobolewo et marcha via Krzywe jusqu'à Osinki.
Après un bon repas, les troupes poursuivirent leur route dans l'obscurité la plus totale, traversant Wengielnia en direction du nord vers la hauteur 177, sous le feu de l'artillerie. En chemin, l'ordre d'attaque de la division fut annoncé : la hauteur 223 (Est) devait être prise par surprise, en suivant le 2e bataillon du RIR 257 à gauche et le 3e bataillon du RIR 256 à droite. L'heure d'attaque prévue était 0 h 45. Vers minuit, la position en avant de la hauteur 177 fut franchie. Les sous-officiers du 2e bataillon du RIR 257, connaissant bien le terrain, étaient censés servir de guides, mais ils étaient absents. Le bataillon dut donc progresser péniblement à travers le labyrinthe de positions et de barbelés dans la nuit noire. Un temps précieux fut perdu à tenter de s'orienter. Ce n'est qu'à l'aube, vers 1h45 du matin le 15 juin 1915, qu'un contact fut établi avec ce dernier bataillon par un officier du 2e bataillon RIR 257 envoyé dans la direction opposée, et le troisième bataillon RIR 255 (!!!) avec trois compagnies en première ligne vers la hauteur 223 (Ouest) — front vers la hauteur 223 (Est) — reçut immédiatement l'ordre d'attaquer.
Entre-temps, les Russes étaient devenus beaucoup plus actifs. Une attaque surprise était devenue impossible. Les mitrailleuses pilonnaient de toutes parts et les compagnies dispersées ne purent atteindre la hauteur 223 (Ouest) qu'au prix de lourdes pertes. Toute progression vers la hauteur 223 (Est), située un kilomètre plus à l'est et séparée par un profond ravin, s'avéra impossible sous le feu nourri de l'ennemi et la lumière du jour désormais avancée, d'autant plus que des tirs de flanc avaient également commencé depuis Glemboki-Row, position connue depuis la bataille d'hiver. Tandis que les 10e ( !!!) et 12e compagnies s'enfonçaient dans les défenses le long de leur front est, les deux autres compagnies du bataillon, suivant les nouveaux ordres divisionnaires, avancèrent vers les hauteurs de Livovo plus au nord, conjointement avec le 2e bataillon du RIR 257. Ce n'est que dans l'après-midi, à 16 heures, que trois compagnies du RIR 256 intervinrent depuis Szury, permettant ainsi une approche concentrique, que l'attaque progressa et aboutit à un succès après deux heures.
À 21 h, après une préparation d'artillerie minutieuse, les 10e et 12e compagnies devaient prendre d'assaut la hauteur 223 (Est). Nos tirs d'artillerie s'ouvrirent à l'heure prévue, malheureusement contre nos propres positions. La pluie ayant interrompu les communications téléphoniques, ce n'est que grâce à des patrouilles spéciales que les tirs d'artillerie (sur nos positions) purent cesser.
Dans ces circonstances, l'attaque ordonnée fut annulée. Peu après minuit, elle fut de nouveau ordonnée. Les assaillants progressèrent jusqu'aux barbelés russes et parvinrent à les percer à plusieurs endroits, mais s'effondrèrent ensuite sous le feu nourri de l'infanterie et des mitrailleuses ennemies, subissant de lourdes pertes.
Le lieutenant Beyer (10/255) fut tué, et le lieutenant Twiehaus (10/255) fut fait prisonnier par les Russes. Le sergent Türbsch, grièvement blessé par balle au poumon, parvint à se traîner jusqu'à un abri russe abandonné dans la vallée. Il a été retrouvé là deux nuits plus tard par une patrouille sous les ordres du sergent von Gajewski (10/255) et ramené sain et sauf.
L'attaque lancée le matin du 16 juin contre la hauteur 214 à l'est de Lipowo, à laquelle participèrent les 9e et 11e compagnies, fut annulée sur ordre de la division. Les pertes totales du 3e bataillon, du 14 au 16 juin, s'élevèrent à 5 officiers et 65 hommes. Au cours des semaines suivantes, la hauteur 223 (Ouest) fut fortement renforcée et fortifiée par les 9e, 10e, 12e et 11e compagnies.
Un officier d'état-major dépêché par la division, après avoir inspecté la position, conclut que la hauteur 223 (Est) ne pouvait être prise que par un encerclement, et non par un assaut frontal.
Vous avez peut-être déjà contacté krzymen, membre du forum. Il est bien plus informé que moi sur les troupes prussiennes, et notamment sur leurs opérations sur le front de l'Est. Il pourrait également savoir si des fouilles ou des opérations de récupération de victimes de guerre ont eu lieu dans cette zone, qui est aujourd'hui en territoire polonais.
Cher Domenico, je suis très impressionné par le succès de vos recherches. Cela prouve que même après tant d'années, il est encore possible d'obtenir des résultats. Les hommes morts à cette époque méritent que leur mémoire soit honorée. Je dois malheureusement conclure que les Prussiens n'ont pas semblé déployer tous les efforts possibles à ce moment-là. Mais je dois avouer que je suis partial, car si mon grand-père était encore vivant et lisait ce récit, il piquerait une nouvelle crise de colère, suivie d'une longue litanie d'insultes contre les "Preiß'n" [Prussiens].
Bien cordialement
Joseph
CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
- kglbayrRIR2
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Re: site internet pour retrouver le parcours de lorrains incorporés dans l'armée allemande
.. Les officiers français étaient impuissants. Aucune persuasion n'a aidé, pas même l'avertissement de suivre l'exemple des courageuses troupes bavaroises. ..
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
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domenico54
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Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Merci Joseph, merci pour vos compliments mais je vous avoue qu'il faut savoir preuve de persévérance et souvent d'opiniâtreté car nos archives nationales ont beaucoup de mal à aider les familles dans leurs recherches et les laissent souvent se débrouiller seul dans une masse documentaire disparate et classée selon une logique pas évidente pour un non spécialiste comme moi.
Par contre, je suis aussi très impressionné et très admiratifs par vos recherches très détaillées,
on pourrait presque vivre ces mouvements de troupes !
Difficile d'imaginer les terribles moments que ces soldats ont vécus
et Oui, ils méritent vraiment que leur mémoire soit honorée !
Non, je n'ai pas contacté krzymen je suis nouveau sur ce forum que j'ai découvert par hasard...
je vais lui envoyer un msg privé
Peut être que par miracle, il existe une tombe quelque part...ou qu'il sait s'il y a eu des fouilles sur ces zones...
Juste pour vous dire que quelque fois des "miracles" peuvent survenir.
Aujourd'hui j'appris qu'une famille qui ne disposait que d'une photo a pu retrouver un film ou un oncle défilait devant un Général.
En fait cette photo avait été tirée à partir d'un morceau de pellicule découpé par un voisin de cet oncle qui était cinéaste, reconnaissant son voisin ce cinéaste avait découpé la pellicule et en avait tiré une photo qu'il avait envoyé pour souvenir à la famille.
L'histoire aurait pu en restée là sauf que, il y a quelque mois un archiviste de Metz que la famille avait contacté pour avoir des informations sur cet oncle, a reconnu le visage de l'oncle sur des films vidéos qu'il visionnait pour la préparation d'une exposition !
Quel coincidence, quel mémoire pour cet archiviste, et j'imagine quel joie pour cette famille de retrouver cet oncle "presque vivant" dans un défilé militaire !
Bien Cordialement
Domenico
Par contre, je suis aussi très impressionné et très admiratifs par vos recherches très détaillées,
on pourrait presque vivre ces mouvements de troupes !
Difficile d'imaginer les terribles moments que ces soldats ont vécus
et Oui, ils méritent vraiment que leur mémoire soit honorée !
Non, je n'ai pas contacté krzymen je suis nouveau sur ce forum que j'ai découvert par hasard...
je vais lui envoyer un msg privé
Peut être que par miracle, il existe une tombe quelque part...ou qu'il sait s'il y a eu des fouilles sur ces zones...
Juste pour vous dire que quelque fois des "miracles" peuvent survenir.
Aujourd'hui j'appris qu'une famille qui ne disposait que d'une photo a pu retrouver un film ou un oncle défilait devant un Général.
En fait cette photo avait été tirée à partir d'un morceau de pellicule découpé par un voisin de cet oncle qui était cinéaste, reconnaissant son voisin ce cinéaste avait découpé la pellicule et en avait tiré une photo qu'il avait envoyé pour souvenir à la famille.
L'histoire aurait pu en restée là sauf que, il y a quelque mois un archiviste de Metz que la famille avait contacté pour avoir des informations sur cet oncle, a reconnu le visage de l'oncle sur des films vidéos qu'il visionnait pour la préparation d'une exposition !
Quel coincidence, quel mémoire pour cet archiviste, et j'imagine quel joie pour cette famille de retrouver cet oncle "presque vivant" dans un défilé militaire !
Bien Cordialement
Domenico
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domenico54
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Re: site internet pour retrouver le parcours de lorrains incorporés dans l'armée allemande
bonjour,Uschen a écrit : ↑ven. déc. 05, 2025 11:26 am bonjour
Si vous connaissez les dates de DC je vous recommande de consulter le registre des
DC de l'année dans sa commune. Rédigé en allemand et si le rédacteur fut consciencieux , le rgt, lieu date et heure y figure. Entre la date de DC et le report dans les registres il s'écoula des fois six mois.A partir de 1918 la chose fut plus aléatoire.
Il faut également consulter le rgt frère de la Brigade, surtout en Pologne, car ils se prêtaient des compagnies pour une action temporaire.
Le nom de village du temps allemand diffère grandement des noms actuels mais sur un site polonais il est possible de retrouver leur correspondance.
je viens d'avoir la transcription du décès dans sa commune natale faite le 26/01/1922
(4 ans après le décès ! , bizarrement sa femme s'etait déjà remariée le 18/04/1921....)

je suis presque sur que les archives du tribunal de baillage de Thionville n'existe plus
y a t-il moyen de retrouver une trace de ce jugement du tribunal du 17 fevrier 1921 ailleurs ?
j'imagine qu'il y a eu une transmission d'information de " quelque part ?" vers le tribunal de Thionville...
merci pour votre aide
Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Bonjour Domico,
vous avez trouvé un indice majeur : le jugement du Tribunal de Thionville du 17 février 1921.
C'est ce jugement qui a tout débloqué. En effet, vous avez noté que la femme du soldat s'est remariée le 18 avril 1921. Pour que ce remariage soit possible, le tribunal devait d'abord déclarer officiellement que le soldat disparu était décédé. C'est la raison d'être de ce jugement ! Par conséquent, l'acte de mariage de 1921 et l'acte de décès de 1922 contiennent tous les deux la référence complète de ce jugement, et c'est là qu'il faut chercher en priorité. Mais il y a aussi une autre piste très prometteuse puisque le soldat etait mineur :
je vous conseille vivement de contacter le Centre des Archives Industrielles et Techniques de la Moselle (CAITM) à Saint-Avold. Les mines et les usines de cette époque gardaient des dossiers impressionnants sur leur personnel, . Si vous trouvez son dossier au CAITM, vous pourriez y découvrir non seulement son parcours professionnel, mais aussi des copies d'actes d'état civil, des photos, et des informations sur son service militaire et les démarches de pension. Ces dossiers sont souvent beaucoup plus complets que les archives militaires seules ! Il faut contacter le CAITM, donner son nom et sa profession, et leur demander s'ils ont son dossier de personnel ; s'ils ne l'ont pas, ils pourront vous dire où chercher.
vous avez trouvé un indice majeur : le jugement du Tribunal de Thionville du 17 février 1921.
C'est ce jugement qui a tout débloqué. En effet, vous avez noté que la femme du soldat s'est remariée le 18 avril 1921. Pour que ce remariage soit possible, le tribunal devait d'abord déclarer officiellement que le soldat disparu était décédé. C'est la raison d'être de ce jugement ! Par conséquent, l'acte de mariage de 1921 et l'acte de décès de 1922 contiennent tous les deux la référence complète de ce jugement, et c'est là qu'il faut chercher en priorité. Mais il y a aussi une autre piste très prometteuse puisque le soldat etait mineur :
je vous conseille vivement de contacter le Centre des Archives Industrielles et Techniques de la Moselle (CAITM) à Saint-Avold. Les mines et les usines de cette époque gardaient des dossiers impressionnants sur leur personnel, . Si vous trouvez son dossier au CAITM, vous pourriez y découvrir non seulement son parcours professionnel, mais aussi des copies d'actes d'état civil, des photos, et des informations sur son service militaire et les démarches de pension. Ces dossiers sont souvent beaucoup plus complets que les archives militaires seules ! Il faut contacter le CAITM, donner son nom et sa profession, et leur demander s'ils ont son dossier de personnel ; s'ils ne l'ont pas, ils pourront vous dire où chercher.
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domenico54
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Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Merci Jerôme pour ces informations
L'acte de décès qui aurait dû être rédigé à Saint Quentin en 1918 n'a jamais été rédigé et il n'y a jamais eu de registre reconstitué à Saint Quentin donc ça sera impossible d'avoir un acte de décès...
Bon là j'ai la transcription du décès dans les registres de la commune de naissance qui donne cette information du jugement du tribunal qui devait confirmé le décès afin que le remariage puisse se faire, jugement le 17 février , remariage le 19 avril 1921, logique !
Je viens de demander une copie de l'acte de mariage, on verra ce qui est indiqué
Oui effectivement, je sais que les archives de St avold ont beaucoup d'informations, je vais les contacter pour cette personne, mais à une autre époque lors d'autres recherches généalogiques, on m'avait dit que l'archivage était en cours d'inventaire car ils avaient récuperés beaucoup de chose de droite et gauche : Arcelor, Mital etc...) mais bon on verra
Après comme je dis, le Tribunal pour prononcer son jugement a bien dû se baser sur une source, non ?
mais laquelle ?
L'acte de décès qui aurait dû être rédigé à Saint Quentin en 1918 n'a jamais été rédigé et il n'y a jamais eu de registre reconstitué à Saint Quentin donc ça sera impossible d'avoir un acte de décès...
Bon là j'ai la transcription du décès dans les registres de la commune de naissance qui donne cette information du jugement du tribunal qui devait confirmé le décès afin que le remariage puisse se faire, jugement le 17 février , remariage le 19 avril 1921, logique !
Je viens de demander une copie de l'acte de mariage, on verra ce qui est indiqué
Oui effectivement, je sais que les archives de St avold ont beaucoup d'informations, je vais les contacter pour cette personne, mais à une autre époque lors d'autres recherches généalogiques, on m'avait dit que l'archivage était en cours d'inventaire car ils avaient récuperés beaucoup de chose de droite et gauche : Arcelor, Mital etc...) mais bon on verra
Après comme je dis, le Tribunal pour prononcer son jugement a bien dû se baser sur une source, non ?
mais laquelle ?
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domenico54
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Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Je reviens vers vous Jerôme,
je n'ai pas trouvé d'adresse mail pour le CAITM St avold, il faut passer par l'AD57 ? ou avez vous un mail ?
merci pour votre retour
Bien Cordialement
Domenico
je n'ai pas trouvé d'adresse mail pour le CAITM St avold, il faut passer par l'AD57 ? ou avez vous un mail ?
merci pour votre retour
Bien Cordialement
Domenico
Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Pour le Centre des archives industrielles et techniques de la Moselle (CAITM) : L'adresse est 18 rue du Merle, 57500 Saint-Avold (Tél. : 03 87 78 06 78). Attention : vous devez les appeler avant pour vérifier qu'ils détiennent bien le dossier du chercheur et pour demander l'accès à la salle de lecture. Lors de l'appel, vous devrez donner le nom, prénom, date de naissance et de décès de la personne recherchée. Cest le même numéro de lecteur que pour les Archives Départementales. Vous êtes autorisé à prendre les documents en photo, mais sans utiliser le flash. Pensez à charger votre téléphone !
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domenico54
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Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
merci Jérome, mais je suis de la région de Longwy, St Avold c'est pas tout pret pour moi 120 km ...
je pensais qu'il y avait une adresse mail,
j'ai déjà fait comme ça avec l'AD57 de Metz ils peuvent envoyer les docs et s'il y en a trop ils font un devis pour l'indemnisation..
vous les avez déjà contacté vous le CAITM de St Avold ? ils sont sympas et "serviables" ?
je pensais qu'il y avait une adresse mail,
j'ai déjà fait comme ça avec l'AD57 de Metz ils peuvent envoyer les docs et s'il y en a trop ils font un devis pour l'indemnisation..
vous les avez déjà contacté vous le CAITM de St Avold ? ils sont sympas et "serviables" ?
Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Bonjour Domenico
Sur ces deux sites
https://www.saintavold-coeurdemoselle.f ... a-moselle/
https://chr.grandest.fr/acteurs/centre- ... a-moselle/
il y a l’adresse mail suivante :
[email protected]
Amicalement
Jean-Louis
Sur ces deux sites
https://www.saintavold-coeurdemoselle.f ... a-moselle/
https://chr.grandest.fr/acteurs/centre- ... a-moselle/
il y a l’adresse mail suivante :
[email protected]
Amicalement
Jean-Louis
133° RI "Les Lions du Bugey"
"Pas s'en faire, pas s'en fichtre .... Le Lion atteint toujours sa proie"
"Pas s'en faire, pas s'en fichtre .... Le Lion atteint toujours sa proie"
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domenico54
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Re: CHERON Théophile et Joseph mort en 1918 et 1915 sous l'uniforme allemand
Merci Jean Louis,
oui c'est l'adresse mail de Metz...
je telephonerai directement à St Avold lundi
Bonne soirée
Domenico
PS : si quelqu'un a des infos sur la possible source ? je suis preneur....
oui c'est l'adresse mail de Metz...
je telephonerai directement à St Avold lundi
Bonne soirée
Domenico
PS : si quelqu'un a des infos sur la possible source ? je suis preneur....