Même cliché, mais dans une meilleure définition
D'IBERVILLE - Aviso Torpilleur
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
Marin du torpilleur d’escadre D’Iberville
— LASSERRE François Laurent, né le 4 septembre 1894 à Biarritz (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyré-nées-Atlantiques), quartier de la Mégrejoe, maison Hilaire (Registre des actes de naissance de la ville de Biarritz, Année 1894, f° x, acte n° 158), domicilié en dernier lieu dans ladite ville. Disparu très vrai-semblablement en mer, le 2 janvier 1918 [Jug. Trib. civ. 1re inst. Bayonne, 25 mars 1918, transcrit le ... à Biarritz].
Matelot de 2e classe fusilier auxiliaire, matricule n° 60.042 – 5 au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Classe 1914, n° 1.221 au recrutement de Bayonne.
• Fils de Jean Léon LASSERRE, né le 1er mars 1854 à Bidart (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), maison de Cazaville (Registre des actes de naissance de la commune de Bidart, Année 1854, f° 3, acte n° 12), cantonnier à la Compagnie des chemins de fer du Midi. Et de Magdalena Fran-cisca Juste ALMONDOZ, née le 28 mai 1863 à Aranaz (Espagne), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Irrugne (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), le 27 novembre 1889 (Registre des actes de mariage de la commune d’Irrugne, Année 1889, f° x, acte n° 21).
Nota. — Le 2 janvier 1918 au matin, le torpilleur d’escadre D’Iberville était amarré à l’appontement n° 2 de l’Arsenal de Sidi-Abdallah (Bizerte, Tunisie), où il était arrivé la veille, à 10 h. 10, après avoir con-voyé depuis Toulon les transports auxiliaires Basque (Compagnie des Messageries maritimes) et Rhône [Compagnie de navigation mixte (Compagnie Touache)]. De là, il rappareilla le même jour, à 14 h. 15, à destination de Marseille, en convoi avec, d’une part, les paquebots Sant’Anna [Compagnie française de navigation à vapeur (Cyprien Fabre & Cie)] et Sydney (Compagnie des Messageries maritimes), et, d’autre part, l’aviso-sloop Altaïr et le torpilleur d’escadre Epieu. Il accosta dans le Vieux Port de Mar-seille le 4 janvier 1918 vers 10 h. 00.[Journal de bord n° x / 1917 — 19 nov. ~ 6 janv. 1918 — Service his-torique de la Défense, Cote SS Y 273, p. num. 875 ~ Journal de navigation n° x / 1917 — 22 déc. 1917 ~ 27 janv. 1918 — Service historique de la Défense, Cote SS Y 273, p. num. 495 à 501]
Le matelot LASSERRE ne peut donc manifestement être disparu à Gênes (Italie), comme il est indiqué sur la fiche « Mort pour la France » ouverte à son nom.
Matelot de 2e classe fusilier auxiliaire, matricule n° 60.042 – 5 au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Classe 1914, n° 1.221 au recrutement de Bayonne.
• Fils de Jean Léon LASSERRE, né le 1er mars 1854 à Bidart (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), maison de Cazaville (Registre des actes de naissance de la commune de Bidart, Année 1854, f° 3, acte n° 12), cantonnier à la Compagnie des chemins de fer du Midi. Et de Magdalena Fran-cisca Juste ALMONDOZ, née le 28 mai 1863 à Aranaz (Espagne), sans profession. Époux ayant contracté mariage à Irrugne (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), le 27 novembre 1889 (Registre des actes de mariage de la commune d’Irrugne, Année 1889, f° x, acte n° 21).
Nota. — Le 2 janvier 1918 au matin, le torpilleur d’escadre D’Iberville était amarré à l’appontement n° 2 de l’Arsenal de Sidi-Abdallah (Bizerte, Tunisie), où il était arrivé la veille, à 10 h. 10, après avoir con-voyé depuis Toulon les transports auxiliaires Basque (Compagnie des Messageries maritimes) et Rhône [Compagnie de navigation mixte (Compagnie Touache)]. De là, il rappareilla le même jour, à 14 h. 15, à destination de Marseille, en convoi avec, d’une part, les paquebots Sant’Anna [Compagnie française de navigation à vapeur (Cyprien Fabre & Cie)] et Sydney (Compagnie des Messageries maritimes), et, d’autre part, l’aviso-sloop Altaïr et le torpilleur d’escadre Epieu. Il accosta dans le Vieux Port de Mar-seille le 4 janvier 1918 vers 10 h. 00.[Journal de bord n° x / 1917 — 19 nov. ~ 6 janv. 1918 — Service his-torique de la Défense, Cote SS Y 273, p. num. 875 ~ Journal de navigation n° x / 1917 — 22 déc. 1917 ~ 27 janv. 1918 — Service historique de la Défense, Cote SS Y 273, p. num. 495 à 501]
Le matelot LASSERRE ne peut donc manifestement être disparu à Gênes (Italie), comme il est indiqué sur la fiche « Mort pour la France » ouverte à son nom.
Dernière modification par Rutilius le lun. déc. 08, 2025 10:15 am, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: D'IBERVILLE - Aviso Torpilleur
Bonjour,
La photographie disparue du D'IBERVILLE :
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonsoir à tous,
Bâtiment autre que l’aviso-torpilleur D’Iberville demeurant à identifier (Voir ci-après)
[Lire : « Le Croiseur Troude traversant le canal »]
Dernière modification par Rutilius le mar. déc. 09, 2025 10:55 am, modifié 3 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: D'IBERVILLE - Aviso Torpilleur
Désolé mais ce n'est pas le D'Iberville mais un des trois croiseurs de la classe Troude: Troude, Lalande ou Cosmao-comparez les cheminées, les mats et le tube lance torpilles avant.
Cordialement
Alain
Alain
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
Marin du torpilleur d’escadre D’Iberville
— QUÉRÉ François Marie, né le 10 janvier 1875 à Primelin (Finistère) au lieu-dit « Kerloc’h » (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1875, f° 1, acte n° 2), domicilié en dernier lieu dans ladite commune au lieu-dit « Kerven ». Décédé le 13 août 1915 à l’Hôpital général de Singa-pour, alors « Colonie de la Couronne britannique » (Maladie contractée en service) [Acte de décès éta-bli le 13 août 1915 par R. de TAILLEPIED de BONDY, Consul de France à Singapour. Transcrit le 9 oc-tobre 1915 à Primelin (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1915, f° 5, acte n° 23)]
Quartier-maître chauffeur, inscrit au quartier d’Audierne, n° 3.032. Classe 1895, n° 1.144 au recru-tement de Quimper.
• Fils de Jean Guillaume QUÉRÉ, né le 13 septembre 1834 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1834, f° 5, acte n° 35) au lieu-dit « Kermalero », décédé dans ladite commune le 17 mars 1902 (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1902, f° 2, acte n° 3), marin de l’État. Et de Marie Josèphe JAFFRY, née le 25 septembre 1839 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1839, f° 4, acte n° 25) et y décédé, le 9 mars 1916 au lieu-dit « Kerodeven » (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1916, f° 2, acte n° 10), journalière [Cultivatrice (1872)]. Époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 24 juin 1872 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1872, f° 2, acte n° 4).
• Époux de Marguerite LUZUNOU, née le 19 avril 1870 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1870, f° 4, acte n° 18) et y décédée, le 12 décembre 1938, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 17 janvier 1896 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1896, f° 2, acte n° 2).
Fille de Jean Marie LUZUNOU, né le 9 juin 1829 à Esquibien (Finistère) (Registre des actes de naissance de la commune d'Esquibien, Année 1829, f° 7, acte n° 33), décédé le 19 décembre 1892 à Primelin, au lieu-dit « Poul-ar-Ramet » (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1892, f° 5, acte n° 42), cultivateur [Maçon (1855)]. Et de Marie Anne THOMAS, née le 5 avril 1835 à Primelin (Re-gistre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1835, f° 2, acte n° 7) et y décédée, le 2 mars 1895 (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1895, f° 2, acte n° 8), cul-tivatrice. Époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 4 décembre 1855 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1855, f° 4, acte n° 29).
• Père de François Marie QUÉRÉ, né le 7 octobre 1896 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1896, f° 7, acte n° 47), décédé le 5 mai 1917 à l’Hôpital d’évacuation n° 1 établi à Bouy (Marne) (Blessures de guerre) [Acte de décès transcrit le 11 septembre 1917 à Pri-melin (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1917, f° 26, acte n° 25)].
Soldat de 2e classe, 48e Régiment d’infanterie, 6e Compagnie, matricule n° 8.155 au corps. Classe 1916, n° 815 au recrutement de Quimper.
Quartier-maître chauffeur, inscrit au quartier d’Audierne, n° 3.032. Classe 1895, n° 1.144 au recru-tement de Quimper.
• Fils de Jean Guillaume QUÉRÉ, né le 13 septembre 1834 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1834, f° 5, acte n° 35) au lieu-dit « Kermalero », décédé dans ladite commune le 17 mars 1902 (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1902, f° 2, acte n° 3), marin de l’État. Et de Marie Josèphe JAFFRY, née le 25 septembre 1839 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1839, f° 4, acte n° 25) et y décédé, le 9 mars 1916 au lieu-dit « Kerodeven » (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1916, f° 2, acte n° 10), journalière [Cultivatrice (1872)]. Époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 24 juin 1872 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1872, f° 2, acte n° 4).
• Époux de Marguerite LUZUNOU, née le 19 avril 1870 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1870, f° 4, acte n° 18) et y décédée, le 12 décembre 1938, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 17 janvier 1896 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1896, f° 2, acte n° 2).
Fille de Jean Marie LUZUNOU, né le 9 juin 1829 à Esquibien (Finistère) (Registre des actes de naissance de la commune d'Esquibien, Année 1829, f° 7, acte n° 33), décédé le 19 décembre 1892 à Primelin, au lieu-dit « Poul-ar-Ramet » (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1892, f° 5, acte n° 42), cultivateur [Maçon (1855)]. Et de Marie Anne THOMAS, née le 5 avril 1835 à Primelin (Re-gistre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1835, f° 2, acte n° 7) et y décédée, le 2 mars 1895 (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1895, f° 2, acte n° 8), cul-tivatrice. Époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 4 décembre 1855 (Registre des actes de mariage de la commune de Primelin, Année 1855, f° 4, acte n° 29).
• Père de François Marie QUÉRÉ, né le 7 octobre 1896 à Primelin (Registre des actes de naissance de la commune de Primelin, Année 1896, f° 7, acte n° 47), décédé le 5 mai 1917 à l’Hôpital d’évacuation n° 1 établi à Bouy (Marne) (Blessures de guerre) [Acte de décès transcrit le 11 septembre 1917 à Pri-melin (Registre des actes de décès de la commune de Primelin, Année 1917, f° 26, acte n° 25)].
Soldat de 2e classe, 48e Régiment d’infanterie, 6e Compagnie, matricule n° 8.155 au corps. Classe 1916, n° 815 au recrutement de Quimper.
Dernière modification par Rutilius le mar. déc. 09, 2025 3:26 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
C'est probablement le TROUDE (dont la photo a également été inversée)
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: D'IBERVILLE - Aviso Torpilleur
Bonjour,
Effectivement si on interverti les noms sur les deux photos celà devient bon, toutefois je ne sais pas si vous avez une entrée pour le Troude.
Effectivement si on interverti les noms sur les deux photos celà devient bon, toutefois je ne sais pas si vous avez une entrée pour le Troude.
Cordialement
Alain
Alain
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
Il s'agit, en effet, du croiseur de 3e classe Troude (1886~1907).
Il s'agit, en effet, du croiseur de 3e classe Troude (1886~1907).
V. ici —> viewtopic.php?p=603722#p603722
En revanche, la photographie qui précède représente un bâtiment autre que le croiseur Troude, ses deux cheminées étant, à l'évidence, différentes.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
D’IBERVILLE — Aviso-torpilleur, premier du type (1894~1920).
Bonjour à tous,
D’Iberville — Aviso colonial de la classe Bougainville (1935~1942)
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
